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 just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad

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T. Sól Skjeggestad
« LE DELUGE EST PORTEUR DE SAVOIR
DE SA VOIX CREE LE SOUFFLE QUI VIENT SE LOGER DANS SA VOILE
DU COUP L'ORAGE, SUR LA VITRE, JOUE SON TEMPO RITUEL »


Mes parents m'ont appelé Torgeir Sól Skjeggestad ! Je suis né le 15 août à Bergen, en Norvège. Je suis un élément de 36 ans. Pour plus de précisions, je suis pansexuel et présentement célibataire, et à vrai dire je m'en fiche un peu. Je suis fier de dire que je travaillais en tant que danseur, à présent je peine à retrouver un boulot mais ça m'aidait à payer mes factures. Je suis d'ailleurs plutôt à sec. On me dit souvent que je ressemble à James Thiérrée, mais en mieux, quand même. Une dernière chose, je fais partie du groupe créatures de la terre, et plus précisément je suis un tempestaire d'orage.

Les petits détails

♦ Torgeir Sól sent les feuilles mortes et le tabac froid, et parfois il sent les feuilles mouillées et le tabac mouillé.
♦ Il ne supporte pas qu'on écorche son nom, c'est pourquoi il préfère que les non-initiés se contentent de l'appeler Sól, c'est déjà moins difficile à maîtriser que Torgeir Skjeggestad. Ah, ces anglophones qui ne savent pas prononcer les R...
♦ Il aime le thé au lait et les framboises ainsi que les mûres sont ses fruits préférés. Pourtant, il boit du café sans lait pour qu'on le prenne au sérieux et mange des oranges pour la même raison. Et il n'aime ni les cappuccino, ni les agrumes.
♦ Ses orages préférés sont les orages d'été, l'atmosphère pesante lui donne des frissons et il trouve ça jouissif. D'ailleurs, quand il était petit, il avait une peur bleue du tonnerre.
♦ Il vient d'une très grande famille en trois branche, une branche tempestaire, une branche humaine et une branche sirène. Il ne connaît pas très bien ses cousins qui sont pour la plupart plus jeunes que lui. 
♦ Il ne défait jamais ses lacets et force pour enlever et mettre ses chaussures.
♦ S'il dit qu'il n'a jamais réussi à se débarrasser de son accent, la légende raconte qu'il fait quand-même un peu exprès de le garder assez prononcé.
♦ En théorie il sait jouer du violon bien qu'il n'ait pas touché un archet depuis des lustres.
♦ Tous les ans sa famille au grand complet fait un grand repas à Kolding, au Danemark pour la saint Jean. Ces weekends finissent souvent mal et Sól ne comprend pas pourquoi ses oncles s'obstinent à réitérer l'expérience chaque année. Lui, ça fait longtemps qu'il n'y est plus allé.
♦ Sól a une très bonne descente.
♦ Il se déplace presque exclusivement à vélo.
caractère

Torgeir Sól Skjeggestad, c'est un corps. Un corps qui bondit, un corps qui rampe, qui ondule, qui vibre. Des mains qui palpent, qui effleurent, des yeux qui papillonnent, qui disent bien des choses en somme. C'est un corps qui transmet, qui prend et qui donne, plus fort que des milliers de mots mis bout à bout. Plus qu'une simple carcasse, c'est une carcasse habitée. Un flot d'émotions et de pensées dans un poitrail presque décharné. Un visage particulièrement expressif, aussi, une palette d'expressions étonnamment large.
Ah, ça, c'est un artiste, un vrai de vrai, du moins c'est ce qu'il aime à croire. Homme à tout faire d'un théâtre miteux, danseur expérimental incompris, Skjeggestad est pour ainsi dire un de ces ratés qui se pensent en avance sur leur temps. Dans trente ans ils comprendront ses partis-pris, qu'il se dit. Le talent est présent, les idées non. Et c'est là toute la tragédie de cet homme, ballotté sans cesse entre son absence totale d'inspiration compensée par des gitanes qu'il fume presque compulsivement et sa fureur qu'il peine à extérioriser faute de forme adéquate.
C'est un être ambivalent que nous avons là, rien que dans son nom survient un paradoxe. D'un côté il y a Torgeir, la lance de Thor, et de l'autre Sól, déesse du soleil. La dénomination de chaque chose - vivante ou non - est d'une importance capitale et il n'est pas bon de créer des antithèses. Lui, il est à la fois le tonnerre et le rayon de lumière après la tempête, à la fois léger et puissant, taciturne et extraverti. Tactile, il privilégiera toujours la communication silencieuse bien qu'il maîtrise avec aisance l'art de peser ses mots. C'est juste qu'il n'aime pas spécialement parler. Pourtant, son exaltation est identifiable à travers ses yeux comme des billes de céramique, Skjeggestad est un passionné. Aussi intense et émotif qu'une vieille valse russe, c'est comme une impétueuse folie qui parfois s'empare de sa petite carcasse et y insuffle avec violence une énergie toute neuve ; c'est seulement dans ces rares moments de fantaisie que Sól trouve la volonté de créer ou d'utiliser ses pouvoirs, les deux actions étant synonymes dans son esprit un peu usé. C'est par pic et ça reste aussi rare qu'aléatoire. Le reste du temps, il traîne son corps qui bondit, qui rampe, qui ondule et qui vibre d'un bout à l'autre de Dragon Alley en équilibre sur son vélo qui grince, cherchant du travail sans grande conviction, roulant ses clopes du bout de ses doigts écorchés.
Remuant, médiocre, fougueux mais passif, que dire de plus sur cet individu ?
Torgeir Sól Skjeggestad est plutôt pessimiste. C'est qu'il s'en est mangé des bonnes grosses désillusions, alors au bout d'un moment, ça sature, aucune lueur d'espoir ne prend la peine de montrer le bout de son nez. Son défaitisme, c'est un peu de désenchantements, un peu de rancœur, mais aussi de l'orgueil. Quand on est déçu, on est loin de faire bonne figure, autant envisager le pire. Pas qu'il soit vaniteux, mais presque. En tout cas, c'est resté un grand insolent. La courtoisie c'pas son truc, lui c'est plutôt l’irrévérence qui l'amuse. Il provoque, il offense, on le trouve bien impoli et c'est sa façon de se divertir. Comme un gosse.
Et pourtant, malgré son métier le mettant littéralement sous les feus des projecteurs, il a besoin de tranquillité. Il préfère vivre dans de moins beaux quartiers (et de toute façon il n'a pas les moyens de se payer un logement en centre-ville) et qu'on le laisse en paix. Sól n'aime pas non plus les conflits, et c'est pour ça que, malgré qu'un tiers de sa famille soient des sirènes, il reste neutre concernant les affrontements prenant place à Bray. Dux Tenebris ? OBCM ? Lui s'en moque, toujours avec insolence. De toute façon, ce n'est qu'un saltimbanque.

on ne change pas le passé

Jusqu'à ses sept ans, Sól ne se rappelle presque rien. Une sortie en mer. Une mauvaise chute. Quelques oiseaux. Que des bribes n'ayant aucun sens. Comme la plupart des gens, en somme. Et puis il y a eu ses pouvoirs. Il n'était pas surpris, il avait l'habitude, ses parents en avaient des pareils. A l'époque, il ne se débrouillait qu'avec des gouttes de pluies, le tonnerre l'effrayait. De toute façon, c'était pas un gosse qui sortait beaucoup, il restait la plupart du temps cloîtré dans sa maison à l'embouchure du port, près de l'aquarium, pour écouter de la musique. Il essayait d'apprendre le violon, il essayait de danser, il lisait de plus en plus de livres.
Sól n'allait pas à l'école, il ne parlait que nynorsk et ne voulait de toute façon pas y aller. A vrai dire, il ne se plaisait pas dans la grande ville de Bergen. De toute façon, l'heureux hasard faisait que ses parents comptaient se retirer dans les fjords. Heureusement qu'on lui faisait ses cours à la maison. Ils installèrent donc une cabane près de la flotte. C'était humide, il faisait froid, mais ils étaient heureux. Sól lisait toujours plus et savait presque jouer du violon, il avait 10 ans. Il venait de découvrir qu'en plus de maîtriser la pluie il pouvait faire des trucs marrants avec les nuages les plus foncés.
Les cinq années suivantes furent relativement monotones et inintéressantes. Pas de soucis du côté de Dame Puberté, ni avec les filles, ni avec ses pouvoirs dont il testait tranquillement les limites. Les orages n'étaient décidément pas facile à contrôler. Torgeir passait du temps avec des gamins plus âgés que lui et perdait de longs après-midis à aller à vélo jusqu'à leur lycée en ville pour faire le chemin du retour avec eux. Puis il y eut sa petite sœur. Un joli bébé aux joues toutes roses duquel il était totalement désintéressé. Il n'avait pas que ça à faire, fallait qu'il apprenne l'allemand et qu'il se fasse de l'argent. Il avait entendu parler d'une école de danse à Salzbourg.

Tout juste 18 ans, une valise dans une main et un caban beaucoup trop lourd dans l'autre, Sól venait de poser les pieds dans l'aéroport Wolfgang Amadeus Mozart. Il ne savait pas ce qui l'attendait dans cette ville, dans cette école huppée. Il s'était embarqué pour quatre ans. Mais bordel qu'il aimait danser !
Malheureusement, ce genre de choses, ça ne se passe pas toujours aussi bien que prévu. L'école était encore plus exigeante que prévu et si la première année s'est déroulée sans trop d'accrocs, Sól s'était vite retrouvé complètement à sec financièrement. La danse lui bouffait tout son temps et son énergie. Il ne lisait plus, ne jouait plus de violon, ne sortait plus chercher des coins tranquilles pour s'entraîner à mieux maîtriser ses pouvoirs. Pas le temps ni la motivation. Salzbourg était une ville sublime, mais les seules rues qu'il empruntait étaient celles entre son studio minable et l'enceinte de la prestigieuse école.
Non seulement le niveau était trop élevé pour lui mais en plus Sól ne se sentait pas bien avec cet esprit de compétition aussi important. Et puis il y avait cette fille qui lui parlait tout le temps, qui passait régulièrement pour prendre des nouvelles, qui avait des paillettes sur les bras et les joues. Torgeir avait senti qu'il y avait quelque chose de particulier chez elle, un sentiment familier. Il ne connaissait que ses parents les tempestaires et ses cousins Danois les sirènes. Il venait de rencontrer une authentique fée. Elle lui avait expliqué que de nombreuses fées dansaient, hommes comme femmes, qu'il était le premier tempestaire qu'elle rencontrait, qu'elle l'avait deviné tout de suite, que ça se voyait sur sa tronche. Sól n'avait jamais compris en quoi il avait particulièrement un faciès de tempestaire mais il buvait ses paroles avec avidité. Ils dansaient ensemble et ne tardèrent pas à vivre dans la même piaule. Gigoter ça créé des liens. Puis ça l'aidait à tenir, elle le motivait à ne pas laisser tomber la danse, elle l'avait aidé à trouver un travail pas trop chronophage et qui permettait de payer la location du studio, elle lui avait montré les plus beaux secrets de Salzbourg, elle lui avait appris de nouveaux pas, à communiquer plus aisément avec les autres, à ne pas avoir peur, à être lui-même. Ça avait duré des semaines, des mois. C'était joli, un peu comme dans les contes. Et puis elle est partie.

Il s'était levé un matin et elle n'était plus là. Elle n'avait rien laissé. Pas une lettre d'adieu griffonnée en coup de vent. Pas un rouge lèvre à peine entamé. Pas un foulard qui sentait encore son parfum. Juste un peu de poussière de fée sur son oreiller. Sól n'était même pas en colère. Il a juste pleuré. Il se rappelait tout ce qu'il avait lu sur les fées étant petit. Que parfois elles aidaient les gens et s'en allaient sans dire un mot. Que c'était comme ça et que les pauvres humains n'y pouvaient rien. Mais lui il n'était pas humain, pourquoi avait-elle fait ça ? Il lui restait encore presque deux ans à Salzbourg, pourquoi l'avait-elle laissé tout seul ? Elle avait quitté l'école, personne ne savait où elle était allée, Sól ne savait même pas si elle avait de la famille en Autriche. Il ne savait rien.
Il essayait d'oublier ce fâcheux événement. Il essayait vraiment, malgré les regards tristes que lui lançaient certains élèves qui l'avaient vu danser avec la fée disparue. Il travaillait toujours plus dur et avait de nouveau envie de jouer du violon. Il s'en était fait quelques cheveux blancs, de cette histoire. Une de ses professeures qui avait elle aussi des paillettes aux coins des yeux lui avait donné un bout de carton plié. Dessus, une adresse à l'encre à moitié délavée. Il s'y était rendu le soir même. Qu'avait-il à perdre ? C'était une petite porte en bois dans une ruelle mal éclairée, l'enseigne était illisible. C'était d'un cliché. Et pourtant Sól hésita à peine à entrer. Une fois à l'intérieur, ça semblait beaucoup plus grand. Il y avait un bar, quelques tables et quelques chaises. Une radio sur le comptoir vomissait La Chevauchée des Valkyries de Richard Wagner, la mélodie se mêlait aux éclats de voix, toutes sortes de personnes étaient présentes. Certains avaient des ailes translucides, d'autres des cheveux roux flamboyant, ils donnaient tous ce sentiment familier à Sól.
Un peu intimidé, il s'était avancé vers le comptoir, avait demandé au barman rougeaud et bedonnant quel était cet endroit. Celui-ci lui répondit en anglais. « Si t'es arrivé jusqu'ici, pourquoi tu te poses encore la question ? Tu viens d'où, petit ? Qui t'a donné l'adresse ? » Alors Sól expliqua qu'il venait de Norvège, que sa prof de danse lui avait fait comprendre qu'il devait venir ici. Le barman ria de bon cœur, lui dit qu'il n'avait vraiment pas une trogne de fée, Torgeir rétorqua qu'il était tempestaire, quelques visages blasés se tournèrent vers lui à cette annonce. Une Nuit sur le Mont Chauve, Moussorgski. De quoi se mettre en confiance. Le barman regarda rapidement sur les côtés et posa une grosse main sur l'épaule du jeune danseur. « Reste pas là, gamin. Rentre dans tes montagnes, pars en Irlande, mais reste pas en Autriche. Les Chasseurs reviennent à Salzbourg, on n'est plus en sécurité ici. Quoique, retourne même pas chez toi, va en Irlande dès que tu peux. Tu cherches un boulot ? » Sól bafouillait qu'il était danseur, qu'il lui restait encore un an et demi d'école et qu'il ne quitterait pas Salzbourg avant d'être diplômé. « Un saltimbanque, hein ? Reviens quand t'auras ton papelard alors. »

C'était donc décidé. Sól allait faire de son mieux pour rattraper son retard sur les autres élèves, le barman lui avait parlé de la ville de Bray, il lui avait dit que c'était l'endroit parfait pour les jeunes comme lui, qu'il y avait un beau théâtre, qu'il y serait bien. Alors l'année passa à toute vitesse, Skjeggestad n'avait plus que cette idée en tête, aller à Bray. Et il eut son diplôme, et il était fier de lui, et il ne pouvait s'empêcher de se dire que son amie la fée aurait été fière de lui aussi, lui qui était désormais officiellement talentueux. On était en juin. Avec le peu d'argent qu'il avait mis de côté il se paya un aller-retour pour le Danemark. Pour la saint Jean. Ça faisait quatre ans qu'il n'avait pas participé au repas de famille annuel, il devait au moins faire ça avant de partir pour l'Irlande.
Ce qu'il n'avait pas prévu en arrivant à Kolding, c'était les reproches. Les Alriksen trouvaient que quatre ans sans nouvelles c'était beaucoup trop long, surtout qu'il était dans un pays étranger. Les Skjeggestad en voulaient à leur fils de ne pas avoir cherché à venir au moins à Bergen. Et Sól qui se faisait une joie de revoir sa famille, sa sœur. Et le ciel qui était couvert ce jour là. Et les nombreux sirènes et tritons qu'étaient ses cousins. Encore un reproche, pas la moindre félicitation, ça ne manqua pas, l'orage éclata. Torgeir repartit directement pour l'aéroport de Kolding. Tant pis pour eux. Il lui restait plus qu'un dernier passage à faire à Salzbourg pour récupérer son billet d'avion auprès du barman.
Ça l'épuisait, tous ces trajets en avion, alors quand il passa la porte du petit bar caché, il n'attendait qu'une chose : une bonne nouvelle. Et il fut bien optimiste. Le barista en sueur eut l'air bien embarrassé en voyant le danseur, il lui expliqua qu'il n'avait rien trouvé sur Bray mais qu'un petit théâtre de Letterkenny voulait bien de lui, qu'il lui avait même trouvé une chambre d'hôtel et qu'après il pourrait regagner Bray facilement. Si Sól s'était douté une seule seconde de la distance qui séparait Letterkenny de Bray il n'aurait jamais accepté l'offre. Mais maintenant il y était, dans la petite ville du nord, dans le petit théâtre récent mais déjà has been. Il n'y était pas pour danser, non, il s'occupait des lumières, des rideaux, du ménage, de la billetterie... Et il était bloqué là jusqu'à ce qu'il rembourse ses dettes à ce foutu barman et à l'hôtel. Ensuite il pourrait enfin aller à Bray. Inutile de préciser qu'il était payé au lance-pierre et qu'il vivait seul comme une vieille bête nerveuse. Mais c'était pas grave, il allait leur montrer ce qu'il valait.

Letterkenny avait failli avoir sa peau en plus d'avoir bouffé de trop nombreuses années de sa vie. Mais c'était enfin fini. Avec son vieux vélo et sa valise il était dans le train pour Bray. Il ne savait pas ce qu'il allait faire là-bas, regretta presque sa décision à mesure que le train descendait vers le sud. Il repensa à sa famille restée en Norvège, à ses connaissances à Salzbourg, à la fée qui l'avait abandonné. Mais il resta sagement à sa place. Après tout, s'il avait quitté l'Autriche il y a si longtemps, c'était pour ce moment précis.

Derrière l'écran

Bonjour ! Je m'appelle Naomi, je suis tombée sur ce forum par hasard et ce fut : le coup de foudre. Actuellement j'attends les résultats du bac sinon ça va la vie ? J'adore les comics de chez Marvel, le cinéma, la mer, le dessin, les langues étrangères, les mythologies, la Scandinavie et la c A n N e L l E!1!!11 J'utilise pas d'après shampoing mais je fais deux lavages à chaque fois, en ce moment j'utilise un shampoing spécial cheveux bouclés, ça les rend tout doux ! ** C'est tout ce qu'il y a à dire je crois ? c: 
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just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad Welcome-to-hell-gif

Ca va ? Pas trop angoissée pour le bac ? just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 2210271934
Enfin bref, bienvenue, jeune personne au nom que je n'écrirais jamais en entier autrement qu'en faisant copier/coller just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 2571641524
J'ai lu "tempestaire d'orage" j'ai pensé "X Men" voilà, désolée mais Marvel c'est ma vie. #Nerd

Mihi j'espère que tu t'installeras bien sur le site ~ just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 3764945929
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Bienvenuuuuueee!!! just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 3764945929

Moi je trouve comique, parce que Sol, c'était le nom d'artiste d'un vieux comédien que mes parents adorait just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 2210271934

(Ici, on aime ça la procrastination just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 118876108)

Bonne chance pour le reste de ta fiche (et pour ton bac) just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 379025902
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Qu'est-ce que l'angoisse, franchement ? just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 2402467468 Pis Tornade dfghj j'y avais pas pensé en vrai just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 2981188539
Vive la procrastination, et merci pour vos encouragements ! **

(roh mais même les smileys sont adorables ici)
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Bienvenue sur le forum.

Un tempestaire d' orage, c'est trop la classe! just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 508348443 Et je ne connais pas ce monsieur mais il en jette, il fait vraiment très élégant.

Bon courage pour la suite de ta fiche de présentation.
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Bienvenue ! Oui la procrastination chez nous c'est très courant just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 3764945929
Si tu as des questions n'hésites pas à contacter le staff just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 61255853
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Sayanel Z. Pritchard
Sayanel Z. Pritchard
MESSAGES : 4496
RACE : Humain
MÉTIER/ÉTUDE : Mercenaire / Vigile au DH / Chasseur de Surnaturels
Alors du peu que j'ai lu, je réclame (oui je fais ça des fois just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 3309239086 ) un lien avec Ksenia, mon ukrainienne just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 2981188539

Bienvenue, je sens déjà que je vais t'aimer d'amour just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 1410023967
Bon courage pour ta fiche (et ton bac ! ) , et content que le forum t'ait tapé dans l'oeil just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 2077382092
Si tu as la moindre question n'hésite pas à MP ! just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 508348443
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Bienvenue just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 2981188539 Bon courage pour la suite de ta fiche just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 2077382092
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Je ne connais absolument pas l'avatar mais j'aime beaucoup. Vive les tempestaires just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 2981188539
Bienvenue parmi nous sweetie et bon courage pour ta fiche just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 1410023967
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Bienvenue chez les fous et bonne chance pour ta fiche! just say no more, use your eyes ♦ torgeir sól skjeggestad 3764945929
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