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 Sous une fine pluie irlandaise ... Ft. Wendy Mayfair

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Sous une fine pluie irlandaise ...
Une journée pluvieuse comme on en connaissait toujours en Irlande s’étendait depuis l’aube. Une journée que trop normale finalement. Il était maintenant près de 17 h : 00. L’après-midi avait vu un arrêt dans la lourdeur des nuages. Un crachin recommençait à tomber depuis quelques minutes maintenant. Le vent s’était tue comme pour laisser toute sa place aux gouttes de pluies, pour les aider à prendre place dans l’immensité de ce monde. Les aider à gagner du pouvoir, à se faire apprécier. Humant longuement l’air chargée d’humidité que la nature lui offrait en cet après-midi, Phelan descendait de Phoenix l’étalon alezan de deux ans qu’il chérissait tant. Tapotant son encolure avec douceur, l’homme murmurait au cheval des mots réconfortants tout en le ramenant tranquillement à son box.

Là, il trouvait Emma ses cheveux telle la flamme frisant agréablement dans cette fine pluie. Elle lui offrait un magnifique sourire. Tenant les règnes de Phoenix, il embrassait la jeune femme avec fougue.

- Wow, doucement. Cela s’est bien passé cette promenade ?

- Parfaite. J’en avais bien de besoin.

Soupirait-il en baissant la tête. Le couple marchait ensemble et entrait dans les écuries avec Phoenix. Phelan était pensif, lui. Il avait eu besoin de se ressourcer, car son travail à l’OBCM ne lui laissait aucun répit dernièrement. Un tsunami avait détruit une partie de la ville. Oh, cela allait maintenant. Pourtant, on savait que la catastrophe n’avait rien de naturelle et pour Phelan, de plus en plus, c’était l’œuvre d’un tempestaire. Oh ! Il devait garder pour lui ses hypothèses et chercher uniquement de l’information que lui dirait Anastasia Lavellan. Certes, les règles et lui n’avaient jamais fait bon ménage.

Et il recevait trois tapes sur l’épaule, la deuxième un peu plus forte que la première et ainsi de suite.

- Phelan ! PHELAN ! La Terre appelle la lune ! Peux-tu aller chercher de l’avoine pour Phoenix s’il te plaît ?

Emma le regardait puis, elle rigolait avec franchise de la rêverie de son fiancé. Phelan sourie bêtement et hochait de la tête avant de se retourner et sortie pour chercher l’avoine dans le bâtiment adjacent. Le crachin tombait toujours, mais Phelan l’écartait littéralement d’un geste de la main marchant dorénavant tel s’il était sous un parapluie invisible. Il entreprenait de prendre le sac d’avoine pour ressortir. Alors, il apercevait un cycliste sur le bord de la route, au loin. Une femme et elle semblait avoir un problème.

- Emma ! Il y a quelqu’un ! J’y vais !

Courrait-il le plus rapidement que le poids du sac le lui permettait vers l’écurie puis, tournant les talons en direction de la route, mais en se prenant aussi maladroitement le jean dans une branche. Emma n’avait même pas eu le temps de dire de faire attention qu’il disparaissait à sa vue.

Joggant jusqu’à la rue à plusieurs mètres du cottage, il pouvait mieux voir la personne. C’était une jeune femme à la chevelure blonde. Ravalant un juron d’avoir oublié, Phelan arrêtait brusquement le parapluie invisible laissant à nouveau la fine pluie parsemer son visage.

- Bonjour ! Vous avez un problème avec votre vélo ? Je peux peut-être vous aider ?

S’avançait-il jusqu’à la jeune femme tout reprenant encore son souffle. Les mains sur ses hanches, de manière confiante, Phelan passait son regard du vélo à la jeune femme.
(c) AMIANTE
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Se réveillant, Wendy regarde par la fenêtre. Elle décide de retourner dans son lit, la température étant pluvieuse. Ça lui semble être parfait pour paresser un peu au lit. Ce qu'elle ne fait pas très souvent, alors elle ne se sent pas coupable de le faire. Elle ne le fait tout de même pas très longtemps, son estomac lui rappelle que lui, il ne veut pas paresser. Environ trente minutes plus tard, elle est debout, elle prend son petit déjeuner tout en parlant à Picasso. Elle sait bien que sa tortue n'est pas affective comme un chat ou un chien, mais elle sait qu'elle la reconnaît. Elle ne se cache pas quand elle approche d'elle comme elle peut le faire avec des inconnus et elle mange toujours ce qu'elle lui donne. Bref, la blonde sait qu'elle ne doit pas s'attendre à grand-chose de la part du reptile, mais elle l'aime tout de même.
Elle fait ensuite un peu de ménage, lit, regarde quelques épisodes d'une série. Rien de très épuisant, ce qui est le but. Son travail l'est déjà assez comme ça, alors elle se repose lorsqu'elle le peut. C'était son idée de base, jusqu'à ce qu'il arrête de pleuvoir. Après vérification, il ne devrait plus pleuvoir. Elle décide donc d'aller faire du vélo, elle veut continuer de découvrir les alentours de la ville. C'est donc ce qu'elle fait, sans tarder. Une dizaine de minutes plus tard, elle est sur la route, vers l'extérieur de Bray.
Elle roule depuis environ un heure, elle regarde le paysage, elle ne voit donc pas le tas de papiers par terre. Elle s'en aperçoit seulement lorsqu'elle roule dessus et qu'elle écrase quelques objets. Quelque chose brise, peut-être un morceau de plastique. Le tout ressemble à un sac d'école vidé rapidement, c'était peut-être une règle ou elle ne sait quoi d'autre. Elle n'a pas eu le temps de voir. Elle ne s'en préoccupe pas très longtemps, s'est passé, et elle veut continuer de regarder. Ce qui ne dure pas très longtemps, la pluie se met à tomber, tant pis pour la température stable. Elle regarde autour d'elle, essayant de trouver un abri. Elle n'en a pas vu précédemment, mais elle ne leur a peut-être pas prêté attention. Il y avait bien une maison, avec une écurie, mais elle ne sait pas s'il y a quelqu'un. Elle se dit qu'elle ne tente rien d'essayer et rebrousse chemin
Comme si ce n'était pas assez, elle roule de plus en plus mal. Elle débarque de son vélo, l'un des pneu est très mous. Elle le regonfle avec sa pompe à main, mais ça ne sert pas à grand-chose. Au moins, elle est presque arrivée à la dite maison. Où elle n'est pas passée inaperçue. Un jeune homme s'approche d'elle, lui demandant si elle a un problème avec son vélo. « J'ai dû rouler sur un clou ou une vitre, mon pneu est percé. » Elle ne voit pas trop ce qui aurait pu se produire d'autre, cela allait très bien lorsqu'elle est partie ce matin. Cela doit s'être passé après qu'elle aie passé sur ce tas de papiers, quand elle a entendu le bruit de bizarre. Ce n'était peut-être un morceau de plastique. Les gens laissent vraiment tout n'importe quoi n'importe où. C'est déprimant, chez certaines personnes, le respect n'existe pas.
Elle a ce qu'il faut pour lui redonner de l'air, mais cela n'a pas été suffisant. Elle a aussi ce qu'il faut pour une crevaison, sauf qu'elle doit trouver où est le trou et avec cette pluie, ce n'est pas très facile. « Vous avez un parapluie ? » demande-t-elle. Comme ça, elle va pouvoir mieux voir la roue et voir où cela a percé.
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Sous une fine pluie irlandaise ...
La jeune femme semblait vraiment désespérée. En fait, il y avait de quoi l’être. Un pneu crevé, on pouvait bien s’en passer toute sa vie. Phelan sourie en coin et eut un petit rire. Cela lui rappelait des souvenirs au final. Oh ! Combien de fois un pneu se crevait-il dans sa courte vie ? C’était arrivé bien trop souvent et pas plus tard que deux semaines auparavant aux commandes de sa moto Suzuki. Malheureusement pour cette jeune femme, notre homme n’était probablement pas bon à marier – désolé Emma. – Ainsi, il était resté planté là sur ses jambes avec des souvenirs apparaissant de manière plutôt rigolote aujourd’hui, mais ne l’ayant évidemment pas été sur le coup. Non ! Aujourd’hui, ce n’est pas drôle pour cette jeune femme non plus en passant !

Et elle demandait un parapluie. Parapluie ? Il soupirait et baissait la tête, penaud. Phelan se sentait un véritable zouf en ce moment. Il ne connaissait rien aux pneus de vélo et ne se promenait pas avec un parapluie en plus. Évidemment qu’on en avait un au cottage, mais pour une raison complètement folle, il ne l’avait pas.

- Euh .... Non. Je peux aller en chercher un, si vous le désirez. Je … Je ne connais pas grand-chose aux vélos en fait.

À ce même moment, un aboiement se faisait entendre et Phelan qui aurait pu reconnaître ce bruit entre milles, voyait venir Flora la belle golden retriever jusqu’à eux joyeuse et ayant toujours adorée la pluie. Oui, comme on disait tel chien, tel maître. La chienne s’arrêtait aussitôt de courir lorsqu’elle voyait la main de son maître paume et doigts vers le bas : cela voulait dire de ne pas faire la folle. La chienne se calmait et venait renifler autour du vélo jusqu’à le faire sur les chaussures de la jeune femme.

- Je suis désolé. Elle est très affectueuse. Elle veut juste apprendre à vous connaître …

Il s’approchait donc pour ramener Flora à lui grâce à son collier, ce dernier étant rose serti d’étoiles dorées. Mais ne pensez pas que Phelan ne pensait pas aussi. De toute manière, Phelan doit sûrement être dans l’incapacité de ne pas penser. Flora assise sur son train arrière près de lui, il relevait la tête vers la jeune femme.

- … Je pourrais appeler la police ou un dépanneur pour votre vélo. Venez, je vous invite.

Sourie-il gentiment, mais évidemment lorsque cet homme le faisait c’était plutôt séduisant et il ne se forçait même pas en plus. Enfin, jusqu’au moment que Flora choisissait pour enlever l’eau présente dans ses poils. Ahhh … Phelan détournait la tête ses cheveux déjà un peu trop humides. Toutefois, il n’arrêtait pas son geste pour autant allant prendre le vélo de la jeune femme pour l’amener vers le cottage.
(c) AMIANTE
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Le jeune homme lui indique qu'il ne s'y connaît pas beaucoup en vélo après lui avoir dit qu'il n'a pas de parapluie. Wendy hausse les épaules, cela peut très bien arriver et il aime peut-être être trempé ou cela ne le dérange pas. Ou il n'y a juste pas pensé, bien que cela peut être étrange puisqu'il pleut en ce moment. Peu importe la raison, le parapluie ne va pas apparaître comme par magie parce qu'ils en veulent un. Elle ne se doute pas que le jeune homme a une méthode encore plus efficace pour s'abriter de la pluie et que c'est pour cela qu'il n'a rien pour l'en protéger. Un instant après, c'est un chien qui apparu. Des aboiements se firent entendre et ensuite un... chien blond qui s'arrête rapidement sous le geste de son maître... et qui vient renifler ses souliers. Le chien est une chienne, comme il l'indique, alors qu'elle renifle ses souliers. Toutefois, c'est une histoire impossible pour toutes deux. « Je suis allergique aux poils de chien. » dit-elle, tout en commençant à reculer légèrement pour éviter que la chienne ne vienne trop près d'elle.
Elle n'a donc pas vraiment envie de la connaître. Elle n'a rien contre elle, elle est sûre qu'elle est très affectueuse (malheureusement), et gentille, et obéissante, que c'est un bon gros toutou, mais elle n'a pas envie d'être près d'elle. Pour toutes les deux, c'est impossible, condamné d'avance par ce qui créé les allergies.
Elle reporte son attention sur le jeune homme, qui lui propose d'appeler la police, ce qui semble être inutile pour un simple incident de roue crevée, ou bien un dépanneur de vélo, qui est bien plus approprié. « J'veux bien que vous appeliez un dépanneur pour vélo. » dit-elle, lui souriant aussi, quelque instant après. Elle ne connaît juste pas le numéro par cœur. Elle l'a sur son frigo par contre, sur une feuille de papier retenue par un aimant de Lilo et Stitch. Pas très pratique. Elle ne sait même pas pourquoi elle ne l'a pas enregistré sur son téléphone, elle en aurait eu bien de besoin en ce moment plutôt que de devoir importuner le jeune homme. Certes, il l'a invité, mais il a sûrement mieux à faire. Elle sait bien que d'accepter d'aller chez un inconnu n'est pas très une très bonne idée, mais elle ne voit pas d'autres options très rapide. Et cette pensée ne l'effleure pas très longtemps, elle voit trop le positif dans chaque événement pour qu'elle pense à ce qui pourrait arriver de mal. À vrai dire, elle a juste hâte d'être à l'abri de la pluie. Cette dernière vient même de s'intensifier.
Avant d'avoir eu le temps de prendre sa bicyclette, le jeune homme la devance. Elle lui sourit une nouvelle fois pour le remercier, tout en venant enlever ses mèches de cheveux trempées de sur son front. « Je suis Wendy. » se présente-t-elle, tout en le suivant.
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