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 [+18] Regardez-moi qui a décidé de venir dormir à la maison

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Regardez-moi qui a décidé de venir dormir à la maison


Je suis libre de faire ce que je veux. Je suis la Révolution. Je suis la Liberté. Et toi qu'un humain qui joue avec des flammes.


feat. Belulu


-NON! Mathilda! Il faut pas! Ce con te trompe! Pourquoi tu veux aller avec Richard?! Non, non, non! Choisis Paul. Regarde ce mignon petit mortel! Il est aussi pur qu'un nouveau-né! Aller! Non... NON! PAS RICHARD! Attends un peu que je te trouves, je vais te gifler si fort que ta tête va faire un 360 degré!

Finissant mon monologue avec la télé.. té..télévision (?) je me lève du divan. Aller! On va trouver Mathilda, la gifler et revenir ici avant la tomber du... jour. Je regarde autour de moi dans cette pièce sombre que je suis depuis... em... Depuis? La dernière fois, il y avait du soleil. J'ai pas remarqué qu'il c'était couché. D'habitude, Lulu est là avant qu'il ne se couche. ....Le petit maudit!

Je fonce vers la porte qui ouvre juste au moment où j'arrive devant.  Et le voilà. Le Lulu en personne. Je fronce les sourcils et croise mes bras sur ma poitrine. Ce n'est pas Mathilda qui mérite une gifle, c'est ce mortel impertinent qui pense pouvoir me laisser seul dans cet... ce... truc.. studio (?). Je toise le mortel avant de le saisir violement et le plaquer contre un mur proche.

-Nah, mais t'as vu le ciel!? IL EST NOIR! Tu rentres quand il est orangé! Où tu étais?! Et ne me dis pas avec une mortelle... Parce que je vais te faire pire que ce que je comptais faire à Mathilda sinon!
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Journée longue, journée ennuyeuse, journée éreintante. Journée consacrée à charmer, mentir, plaire. Journée fatigante.
Bon sang que les réunions étaient toujours aussi lentes. Mais je ne pouvais rien faire contre, et je me devais de rester concentré. C’était important. Et puis, j’appris des faits intéressants, j’avais de quoi réfléchir. Encore plus quand un des employés semblait se foutre de moi, persuadé que j’étais un imbécile. Réfléchir à quoi en faire. A quoi lui faire.
Et dire qu’il ne se doutait même pas que je pouvais faire cramer sa maison. Quel idiot.

Toujours est-il que cette réunion se prolongea, et bouffa plus de temps qu’elle n’en devait. De toute évidence, je rentrais quand même après ça. Fallait-il encore que je range mes dossiers. Chose que je fis rapidement.
Je ferais ça demain, avant de provoquer un incendie là maintenant.
Je savais que ma patience n’était pas d’or. Surtout sur le coup.

Tant pis.

J’espérais que Leander serait d’humeur pour baiser. J’avais envie de tirer un coup, avec cette journée de merde.
Je compris rapidement l’humeur du djinn alors que je rentrais chez nous. C’était non. Bordel de merde. Je savais pas ce qu’il avait, mais je terminais contre le mur.

J’aurais préféré finir contre le mur et me faire embrasser, mais non, apparemment ça n’était pas dans son programme. A la place, il beugla pour rien.
Wahou. Je levais les yeux au ciel. Je n’étais pas d’humeur à supporter un pareil caprice. Même si j’étais du genre à en proliférer du même genre. Je ne savais même pas qui était cette Mathilda dont il parlait, mais je supposais que je pouvais bien le laisser dans son trip.

J’avais quand même hérité d’un djinn plutôt bizarre des fois.

- Le ciel est noir, et ? Je veux dire, déjà je te rappelle qu’en ce moment c’est souvent le cas, et ensuite, j’ai une boîte à faire tourner.

Comme j’étais contrarié, mon ton était cinglant, et encore plus, quand je rajoutais avec un air exaspéré :

- Et si je veux aller avec une femme, tu sais très bien que je te demande pas ton avis. Même si là j’aurais préféré plutôt que de rester le cul coincé à écouter des cons.

Enfin, je poursuivis :

- Donc tu peux me lâcher ? J’ai pas envie de me prendre la tête, bordel. Moi, aujourd’hui, j’ai bossé, au moins.

Je disais ça parce que je voyais bien la télé allumée. Je savais ce qu'il avais fait durant mon absence.
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Regardez-moi qui a décidé de venir dormir à la maison


Je suis libre de faire ce que je veux. Je suis la Révolution. Je suis la Liberté. Et toi qu'un humain qui joue avec des flammes.


feat. Belulu


Je le regarde avec énervement alors qu'il ose me parler comme si j'étais qu'un gamin mortel insignifiant. Comme si je ne savais rien de son monde, comme si je lui devais tout de mon existence. Mes mains se dirigent instinctivement vers sa nuque que je presse lentement, mais sans couper sa circulation d'air. Je pourrais le détruire d'un claquement de doigt. Je pourrais l'étouffer et il ne pourrais rien y faire. En quelques minutes, tout serait finis. Il serait qu'un cadavre sans vie et sans histoire. Mais quel ennuie ça serait!

Je le relâche lentement, reculant un peu, mais restant assez près pour imposer ma présence sur lui. Je souffle longuement avant de croiser les bras sur ma poitrine. Un geste pour m'empêcher de lui sauter de nouveau dessus.

-Oh, arrête, tu vas me faire pleurer! C'est toi qui as choisi ce métier et tout ce qui va avec. SI tu n'aimes pas ça, change. C'est pas bien compliqué. Je ne vous comprendrez jamais, humains, à vouloir rester faire la même chose redondante encore et encore alors que vous avez le choix d'y foutre le feu et partir. Et c'est encore plus vrai dans ton cas, Lulu.

Je le regarde de haut en bas, roulant lentement mes épaules pour essayer de me relaxer et être plus en contrôle de la situation.

-Et c'est pas ma faute si mon producteur me donne des horaires étranges de travail. Il n'a pas que mon... mon... é...émission à produire. Chacun son tour. Tu devrais t'y connaître plus que moi sur... cette partie de la technologie.
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Je le sens vouloir m’étrangler, je le sens presser mon cou, je le sens. Mais il ne presse pas assez pour que ça me fasse réellement mal, et moi, je continue de le toiser. Je n’aime pas me laisser faire. Même par lui, même par cet être qui reste impressionnant. Je déteste avoir l’air faible.
Encore moins quand je suis en colère.
Je grimace, détestant qu’il me remette complètement en question. Bordel, il ne veut pas accepter mes responsabilités, jugeant que c’est de ma faute, et j’ai à mon tour envie de l’étrangler. S’il savait combien j’avais envie de mettre le feu parfois à la boite où j’étais. Mais je ne pouvais pas. C’était mettre le feu au château de cartes que je construisais avec une conscience impliquée totalement. Je n’avais pas envie de tout cramer maintenant.

Je laissais échapper un soupir :

- Ne crois pas que c’est aussi facile.

J’avais laissé passer le surnom. Depuis bien longtemps je le laissais me donner ce truc ridicule. Toujours. Même quand j’avais envie qu’il me foute la paix.

- Je m’y connais oui. Et si toi et moi on ne gagnait pas assez pour être bien, je te dirais d’aller trouver un travail en plus.

Je me permettais juste un peu de le provoquer.

- Mais j’imagine que tu préfères regarder des émissions médiocres à la télévision. Celles que tu ne présentes pas. Je ne savais pas que les djinns aimaient se détruire le cerveau. J’ai besoin de toutes tes capacités, « Lele », donc fais attention à tes neurones.

Je me poussais de l’entrée, et commençais à enlever mon manteau et tout ce qui allait avec, réfléchissant à ce que j’allais faire comme repas à manger le soir.
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Je suis libre de faire ce que je veux. Je suis la Révolution. Je suis la Liberté. Et toi qu'un humain qui joue avec des flammes.


feat. Belulu


Les humains... toujours à se plaindre et dire que leur vie est difficile. Vraiment. Ils n'ont aucune idée de ce qu'ils racontent. Et voilà qu'il voudrait que j'aille un deuxième travail si jamais on fait pas assez d'argent. L'argent... quel ridicule invention. Je ne fais pas mon travail pour ça! Je le fais parce que c'est amusant! N'est-ce pas le but des humains, s'amuser jusqu'à en mourir? À quoi bon travailler si ce n'est pas amusant?

Je le regarde enlever son manteau, les yeux plissés. Je ne perds pas de neurones en écoutant ça! Il ne sait décidément pas de quoi il parle. Tu ne peux pas perdre de neurones en écoutant des cons parler. Ne sait-il donc pas comment les... té..télévisions marchent? Ce n'est pas des machines qui détruisent le cerveau! C'est juste... des trans..metteur de minuscules particules.

Je me rapproche rapidement de lui, lui saisissant les hanches par derrière et le plaquant contre mon corps alors que je dépose ma tête sur son épaule pour murmurer dans son oreille doucement.

-C'est dommage que tu dis ça. Parce que, tu vois, dans ma journée, j'ai vu une émission. C'est juste un porno. Ça montrait des choses très intéressantes. Innovative. Tellement qu'elles feraient rougir Vātsyāyana lui-même... J'aurais pu te montrer...

Je vais pour mordiller son lobe d'oreille avant de reculer rapidement, l'air faussement désolé et stupide.

-Mais tu as totalement raison, ça rend stupide, regarde moi! J'ai perdu mes neurones! Envolées! Détruite par la télé...vision! Partie! Rah, lala... la malchance. Tu aurais du voir toutes les positions!
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Alors qu’il m’attrapa, je me laissai faire. Je ne pouvais pas le nier : j’aimais quand il était entreprenant comme ça. J’aimais son corps. Et il était un des meilleurs coups que je connaissais.
Pire encore, j’aimais ce qu’il me murmura à l’oreille. Ce qu’il avait vu à la télévision. Et moi qui avait pensé qu’il n’avait rien regardé de bien intéressant. Et moi qui pensais aussi que les pornos passaient plus tard dans la nuit. Mais je me rappelais de mon abonnement spécial.
J’imaginais que Leander en avait profité.

Maintenant, je me doutais de ce qu’il avait sur le cœur. Enfin je cru me douter, parce qu’au final, il se recula, me narguant, me mettant au devant ce que je venais de lui dire. Je soupirais, levais les yeux au ciel.
Quoi ? Il m’avait fait languir pour rien, j’avais le droit d’être agacé un brin, merde !

- C’est bon j’ai compris ce que tu veux dire par là.

Il voulait gagner cette bataille sur la télévision. Forcément, j’avais bien remarqué que le djinn était fasciné par l’engin, alors je n’étais pas très surpris. Mais moi, là, à l’instant, j’étais fasciné par un autre engin, et j’ignorais s’il avait vraiment vu un porno ou pas.
Bordel.

- Tes neurones n’ont pas été détruites, tu peux continuer ce que tu faisais ?

Je lui demandais, comme j’aimais bien. Au pire je m’imposerais. Je détestais être frustré quand on me faisait envie comme ça.

- Je suis curieux de voir ce que tu as pu apprendre…

Je m’approchais de lui.
J’étais assez faible pour le coup, mais bordel, vous l’avez déjà fait avec un type qui a suffisamment d’expérience pour anéantir toutes celles que j’avais avant ?
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feat. Belulu


Je ne peux m'empêcher de sourire largement, retenant péniblement un rire au fond de ma gorge. J'avais eu ce que je voulais : Avoir raison. Je regarde attentivement mon humain, amusé de le voir si facilement abandonner son argument au profit de quelques bouts de chair dans son derrière. Que les humains étaient amusants! Je l'observe attentivement alors qu'il se rapproche de moi. Décidément, il voulait voir la suite de mon histoire. Mais est-ce qu'il la méritait? Je me mordille la lèvre inférieur, prenant un air sérieux.

-Hm... Pourquoi je devrais t'offrir ce plaisir exquis de ma connaissance? Tu es arrivé en retard. Seul les bons garçons peuvent savoir...

J'approche mon visage du sien, frôlant sa peau, mon souffle se mélangeant au sien avant de le contourner. Je lui tourne autour comme un prédateur tourne autour de sa proie, un sourire énigmatique sur les lèvres. Mon regard brille d'une lueur malsaine.

-Ton corps dit quelque chose... Il est impatient. Il veut ce que mon corps lui a promis, mais il se retient... Difficilement, mais il y arrive. Tu l'as bien dompté dit moi! Mais de tes lèvres s'échappent un langage différent. Toujours sur tes gardes, toujours polie. C'est à croire que je suis le maître ici, et toi le Djinn!
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J’avais envie de me le taper, j’avais envie de le prendre comme il avait pu me plaquer contre un mur. Mais j’essayais quand même de me retenir. J’avais l’air d’un idiot comme ça. Bon sang que je détestais ça. C’était comme quand Leander s’amusait à dire que j’étais mignon. Je n’étais pas mignon. Mais là c’était pareil.
Il s’amusait de moi.
Je n’aimais pas ça, parce que je ne pouvais rien faire. J’avais pas envie qu’il fasse sa mule et qu’au final on ne fasse rien du tout. Ah bordel de merde.

- Je ne suis pas arrivé en retard, je n’ai pas d’horaires pour rentrer

Du coup, j’essayais de me rattraper avec mon caractère.
Je le voyais bien, qui tournais autour de moi. C’était un brin déplaisant. Je savais qu’il jouait de moi, maudit djinn ! Il devait bien se marrer. Seul lui savait le faire comme ça.
Seul lui savait me désorienter.
J’avais l’air d’un idiot, et ça lui plaisait.

A sa dernière réplique, autre chose naquit dans ma cervelle, et de fait, je l’attrapais par le col aussi rapidement que je pus.

- Oh, ne crois pas pouvoir interchanger nos places. N’oublie pas que si tu ne veux pas me proposer ton corps, j’en ai d’autres qui seront ravis de s’offrir

Je voulais regagner mon statut supérieur par rapport à lui. Ma fierté. Mon honneur. Quitte à le provoquer en proposant d’aller voir aux putes ou ailleurs.
Je savais que peu de gens vaudraient ce qu’il me promettait, mais j’avais besoin de me détendre. Et je haïssais qu’on me fasse languir de la sorte.
Je n’avais jamais été très patient.
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feat. Belulu


Mon tour autour de Lulu s'arrête net lorsqu'il me saisie par le col de mon chandail. Hey! C'est un beau chandail! Il va le briser s'il continue de faire ça. Mes yeux restent pourtant amusés par la réaction de mon partenaire de jeu.... jusqu'à ce qu'il sorte ce qu'il ne doit pas sortir. Mes lèvres s'écartent pour laisser montrer mes dents alors que même mon regard s'éteint. Deux morceaux de glaces. Des yeux glacés qui peuvent brûler. Il n'oserait pas. Ce n'est pas que mon enveloppe qui s'enflamme. Je sens ma vraie nature venir aussi. De l'électricité crépite dans ma main. Littéralement.

Je pose ma main ''sécuritaire'' sur le poignet de Lugh, serrant aussi fort que je peux.

-Tu joues avec un feu que tu ne peux pas contrôler, Humain. Fais bien attention. Tu es autant à moi que je suis à toi. Si je dois tuer chaque humain de cette misérable dimension pour que tu t'en rappelle, je ne vais pas hésiter. Et si tu me pousse jusque là, tu vas trouver que ta main gauche bien vite ennuyante.

Je tords son poignet pour qu'il me lâche avant de m'éloigner rapidement de lui, toujours aussi en colère par sa phrase. Il est à moi. IL EST MON HUMAIN! Il n'a pas le droit d'aller voir ailleurs. C'est le mien! Je l'ai choisi! J'aurais pu le tuer, mais non! Je décide de l'aider! Et c'est comme ça qu'il veut me remercier.
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L’effet est immédiat, et je ne pouvais même pas dire que j’étais surpris. Je voyais sa colère, je la sentais aussi. Moi qui brûlait de partout, je me sentais un peu plus frais, un peu plus gelé. J’avais provoqué la bête, et celle-ci me le rendait bien.
De fait, j’avais un brin mal au poignet mais je faisais avec. Il ne m’impressionnait pas. Je ne voulais pas qu’il m’impressionne. Je n’avais aucune envie que Leander ait le dessus sur moi. Que personne n’ait le dessus sur moi.
Quel couple mal assorti. Moi le tempestaire trop fier, lui le djinn fulminant. Parfois je me demandais pourquoi j’avais décidé de le garder. Pourquoi j’avais tué le magicien.
Leander me crachait dessus son venin, pensant m’attendre, et je n’avais pas peur.
Il se pensait impressionnant.
Mais il ne faisait que gémir de jalousie.

Je le possédais, et il ne pouvait pas s’échapper de mon contrôle, et du fait qu’il me voulait moi plus qu’un autre.
Je lui étais nécessaire.
Je ne sourcillais pas quand il me tordit le poignet, bien que je laisse mon autre main le récupérer pour le caresser lentement, pour l’aider à guérir par ce geste bien que c’était idiot.

S’il pensait que tuer des humains pour moi me dérangeait, bien autre contraire. Qu’ils vivent ou qu’ils meurent avaient peur d’importance. La mort, la vie, deux mots pour deux faces d'une même pièce. Et qu’ils crèvent, tant pis.
Tant que je vivais.

- Et toi alors ? Où mettras-tu en pratique ce que tu as vu aujourd’hui ? Je suis sûr que ce que tu voyais te donnais envie aussi.

Je restais proche de lui, sourire mauvais en coin, un peu narquois, surtout moqueur, surtout prêt à lui faire envie aussi.
Je voulais retourner les choses, et j’avais l’impression d’y arriver.

- Et comme tu ne veux que moi, tu n’auras pas d’autres choix que d’être frustré… Alors tu vois, au lieu de me menacer vainement, ou de te moquer, tu devrais plutôt continuer ta proposition, celle de me montrer ce que tu sais faire à présent. Ce que tu as appris.
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