| Dim 6 Jan - 0:29 | | Kamelye Heather DaCosta nom | DaCosta prenom | Kamelye Heather âge | 24 ans race | Sirène > Eau lieu et date de naissance | Londre le 16 mars orientation sexuelle | Ou je viens, tu n'as guère de choix de prendre ce qui passe... mais habituellement, mon attirance va vers les hommes, même s'ils peuvent paraître désespérants. statut marital | Célibataire au dernière nouvelle metier/etudes | Vagabonde, prisonnière et détruite; c'est un métier situation financiere | La rue est ma maison organisation | Elle n'en fait pas partie pour le moment, mais elle ne saurait pas contre probablement. ft | Cara Delevingne (c)Eponys détails, anecdotes et caractère Pleine de vie - Têtue -Observatrice - Arrogante - Déterminé - Audacieuse - Nerveuse - Rêveuse - Charmeuse - Ronger par ses démons - Fragile même si elle ne veut pas le montré- Intense - Impulsive pour certains points et réfléchit pour d'autres - Orgueilleuse - Méfiante - Amusante par moment - Protectrice - Battante - Compatissente - Généreuse pour ceux qu'elle apprécie - Manque de confiance en elle - Fonceuse - Grande force intérieur même si elle l'ignore - Voleuse - Créative
Elle chante d'une voix si mélodieuse et pleine d'émotion assez pour faire pleurer et aussi pour faire sourire. Elle chante pour s'aider à affronter la vie qui lui est si dure ou pour d'autres moments; se sauver la peau. - Elle vole non que pour elle, mais pour les autres aussi; la sirène est généreuse jusqu'à la fin et même si elle doit se priver de manger pour aider ceux qu'elle aime, elle le ferait les yeux fermés. - Heather est le genre de fille qui sait créer une bulle hors du monde et quand elle en avait la chance, elle se réfugiait dans un café pour observer les passants. C'est devenu son passe-temps favori, observé les beaux souvenirs se former. Un regard lancé entre deux amoureux, un enfant qu'on entend rire, la générosité des gens, les premiers coups de foudre, les conneries de d'autres; tout ça pour être spectatrice du bonheur des autres, croire que la vie peut être autre chose que de la merde. - Heather adore les fraises et les framboises. Elle en a que trop peu mangé, mais le souvenir qu'elle garde de ce goût sucré et juteux est un sentiment aussi proche que le bonheur pour elle. - Comment elle tuerait pour prendre une douche chaude.. - La sirène se réveille fréquemment pendant ses nuits, soit sous l'apparition d'une crise de panique ou alors par des démons qui lui semblent trop réels. C'est surtout pour cela qu’elle ne dort jamais assez, l'insomnie la poursuit telle une maladie. - Heather déteste les araignée et les clowns... C'EST FOU*U CLOWN!
Ton histoire, ta petite histoire
Pendant un instant, tu te surprends à contempler de l'autre côté de la vitre de ce café. Les rues de Londre froide t'appellent et ça te fait penser à ta vie et tout ce que tu as vécu pour ton trop jeune âge. Tu t'es si souvent imaginé ce qu'on t’a raconté môme que tu vois la scène devant tes yeux. Un enfant non désiré, abandonné aux portes d'un pensionnat pour enfant déjà débordée par les bouts de vies qui y règne, par l'espoir que des petits êtres se font en s'imaginant avoir une famille. C'est sous des flocons froids et rares qui tombaient sur ton nez alors que la femme observait les rues désertées par la nuit. Aucune trace, aucun indice, seulement ce bambin roser dormant dans 3 voir 4 foulards trop usés par la vie. Un médaillon à ton cou... c'est la seule chose que tu as gardé en souvenir de tes parents perdus, tels un enfant dans Peter pan et dans ses conneries de contes de fée que tu ne cesses de croire, car sans ça... tu n'aurais plus rien.
3 semaines plus tard, tu t'es retrouvée dans les bras d'une femme, mitigée entre le fait de te laisser quitté le pays vu le débordement de vagabond qui débarque trop fréquemment aux portes de cet endroit ou a confié l'enfant à sa soeur. Car oui, elle en voulait, mais non elle n'y arrivait pas. Mais elle ne se doutait pas du pourquoi, de ce pourquoi que tu as découvert, l'envers de la médaille, l'entré directe aux enfers que tu as goûtés plus d'années que tu ne le voudrais.
Aux côtés de ses cries sans cesse pour le manque d'argent, par trop d'alcool. Ton enfance t’a été volée par cet homme qui profitait du dos tourné de sa femme pour pratiquer sur toi des fantasmes pervers. Si jeune, mais trop de découvertes, tu t'ai laissé entré dans ce cercle vicieux sans réellement savoir quoi faire. Pourtant, malgré l'enfer que tu vivais entre les abus discrets et la violence physique comme psychologique, tu t'es rattaché à ce petit garçon deux ans plus vieux nommé frère. Adam... Un prénom qui restera marqué à jamais dans ton esprit, non parce que vous pleurez ensemble le soir pendant qu'ils croyaient que vous dormiez, mais parce qu'il était ta bouée sur lequel tu pouvais reposer de temps à autre. Pour mieux respirer un bref instant, mais pour te sentir humaine de nouveau, là où tu pouvais être écouté et/ou la compassion se créait. Mais cet homme, ce bourreau, il a tout fait pour détruire ce petit bout de rêve. Forcé de vous touchez, forcé de faire des actes sous la caméra pour mieux se faire de l'argent sur votre dos. Vous êtes devenu populaire au bout d'un temps face aux pédophiles, mais aussi pour la mort de ton frère. Tu n'avais que 13 ans quand c'est arrivé, car il n'a pas voulu l'écouter. Pourtant tu l'as supplié pour ne pas qu'il continue, pour ne pas qu'il le frappe encore et encore sous tes yeux ébouriffés. Le film qui tournait toujours, c'est au bout d'un moment que cet homme est parti et tu as pu enfin le prendre dans tes bras. Pleuré sur la carcasse de ton frère, ton protecteur, ton épaule sur lequel tu pleurais chaque nuit. Les gémissements étouffés par sa peau devenue froide, ça t’a pris un courage monumental pour le laisser partir. Mais les policiers ont dû le faire, pour votre bien à tous les deux; pour commencer ton propre deuil.
Ton bourreau fut envoyé en prison, tout comme cette femme qui se disait mère pour toi. Figer dans cet espoir perdu, tu as été envoyé dans une nouvelle famille comme un vulgaire chaton abandonner. Là ou tu as vu cette lumière, tu tes surprises à la fuir, car tu étais trop détruite à l'intérieur, mort avec lui, sous tous ses regards pervers... pourtant, tu n'avais que 14 ans...
Tu t'es réfugié dans ce café de merde. L'argent volé par cette famille trop plastique pour toi, tu l'as gardé le plus possible par simple sécurité. Mais à ta fuite, après les marches incessantes, tu t'ais arrêtée ici pour prendre de quoi te réchauffer et tu tes surprises, à admirer les passants, ce qui est devenu ton passe-temps préféré. De ton imagination si pure, tu captures les moments des gens, leur beau souvenir pour te faire croire en un monde beaucoup plus beau qu'il ne l'est en réalité. C'est sans doute pour cette unique raison que tu es si accroché à la vie, te disant secrètement que la vie ne peut pas être pire, que le destin ne peut pas que te faire jouer à la roulette russe, mais étrangement... si... même si tu veux croire en la belle vie, à tes contes de fées.
La rue est devenue ton refuge. Tu les connais par coeur, tu connais chaque coin et tu sais où tu peux aller et ou tu dois faire attention. Sauf que rien ne pouvait en être sans sa rencontre. Cet homme devenu père pour toi, cet itinérant qui t’a appris à survivre. Il n'était pas en accord avec tes voles, par tes diverses manipulations psychologiques, mais dans la rue, on survit comme on peut et l'important, c'est que vous mangiez, même si c'était que trop minime par moment. Même si le soir tu entendais ton ventre se plaindre sans cesse; tu as survécu... Tu vivais bien, tu te sentais aimée, mais malheureusement la vie est chienne et quand on n'est bas, elle ne cesse de nous tombez dessus... Tu voulais donner un bout de son sandwich préféré à ton père, mais pour ça tu devais soudoyer un pauvre homme par ton charme. Car oui tu en as malgré tout et tu le sais, mais c'était trop un gros jeu pour toi, surtout sous ce regard de vautour qui t'observait depuis la nuit où il t’a entendu chanté pour ta famille; les itinérants. Il t’a entendu, il t’a vue et il avait tout les pièces pour te faire chanter. Trop fort dans ce jeu de manipulation, tu es devenue sa prisonnière, pour la deuxième fois, ta vie sait réduit à la terreur, à l'argent et aux coups. Lysander. Ce bourreau, ce traite qui te manipulaient en disant qu'il allait te balancer aux chasseurs, qu'il buterait ton père; cet homme pour qui tu avais de l'affection. Pourtant tu lui as dit au revoir et tes pleurs lui ont fait comprendre que c'était hors de votre gré, hors de ton contrôle. Quittant tout ce que tu connaissais, quittant la rue; ta vie pour une vie pire encore. 20 ans et une nouvelle fois plonger dans cette bassine d'eau avec une encre à tes pieds; tu as piqué directe au fond, jusqu'à ce que la lumière a apparu de nouveau au bout de quelques semaines.
Tu étais sous son contrôle, mitigée entre la peur et la colère. Tu lui as tenu tête souvent, même si à chaque fois, tu le payais fort. Mais tu t'es promis de ne plus te laisser faire comme dans ta jeunesse donc, tu fonces encore et tu tombes sans cesse. Un jour tu te vengeras, surtout pour ta virginité prise par un pédé maso qui a payé le gros prix. Tu lui rapportes de l'argent et tu le sais, mais pourtant, tu dégringoles, prise dans cette roue trop connue; qui ne cesse de continuer à tourner. Tu viens à te détester, à ne plus regarder le miroir aux toilettes, car tu as honte de l'image que tu projettes. Tel un tableau trop sombre et dépouillé ou que peu de gens s'arrête pour donner de l'attention, où alors c'est toi qui ne le permets pas. Plus tu vois des clients, plus tu les sens encore sur ton corps et plus de temps tu restes ce semblant de douche. Plus de temps que tu pleures silencieusement sous l'eau et au bout de quelques mois; ton rêve de jeune fille est pratiquement réduit à néant. Tes crises de paniques sont plus fréquentes, tu perds le contrôle de toi même et à chaque fois tu as peur de perdre l'air de tes poumons. Étouffer par le stress qui te ronge, étouffer par les démons qui règnent dans ta tête et qui ne cessent de se multiplier. Tu tombes et tu te relèves encore plus égratignée que tu l'es déjà, pourtant la vie ne pouvait pas être pire que tu te disais... Mais cette fois, tu n'as pas renoncé à cette lumière quand elle est venue. Tu l'as prise de plus belle et cette lumière même si elle avait du mal à briller tu l'as vu chez lui, chez Jasper. Tu ne sais pas encore pourquoi, mais depuis, ta vie est moins douloureuse et ton espoir est revenu à petit pas. Il t’a aidé, comme tu l'as fait. Reposant l'un sur l'autre, votre amitié est devenue forte et vous avez décidé de changer votre vie, de fuir pour votre bien commun. Vous vous êtes enfui et tu avais que 21 ans.
Un plan trop bien travaillé, un plan étaler sur plusieurs semaines. Tu l'as pensé pendant un temps, mais vous avez tout réussi avec des nouvelles identités, des nouvelles têtes, de la chance et votre courage si grand. Tu as sorti ton coussin, cet argent que tu gardes si précieusement depuis plusieurs années. Tu as même donné une pensée à celle-ci alors que tu le donnais pour cet appartement petit comme une chambre, mais ça ferait l'affaire comme tu t'es dit. Le sevrage a commencé. L'enfermant avec toi pour l'aider à combattre, pour l'aider à tenir bon. Devenant à ton tour cette bouée, devenant à ton tour l'espoir au bout de cette vie de merde.
Pour la première fois de ta vie, tu as pris un boulot tout simple pour survivre avec Jasper. Tu aimais bien, même si tu ne te voyais pas faire ça pendant trop longtemps, mais au moins, tu avais assez pour tenir de peine et de misère dans cette sorte de stabilité créer en papier mâché. Toutes les fois ou tu as du plongé dans l'eau pour te débarbouiller afin de paraitre décente pour les autres. Mais l'air est rapidement devenu lourd et tu avais peur de te faire retrouver par votre bourreau. Tu t'es donc mit à vagabonder, retrouvant les repères de la rue, disant un dernier salut à ce que tu as connue depuis tant d'année pour partir à la marche sans but précit, mais avec lui. Ta vie semblait moins triste en sa compagnie.
Entendant parler de cette ville avec des gens comme vous, vous avez pris votre sac et vous êtes partie avec de petites réserves pour survivre. Tu le sentais mal, mais n'ayant plus de quoi à nourrir vos ventres affamés, il est partit dans une quête de nourriture pour revenir et toi, tu as cherché des branches, de quoi pour vous réchauffez pour la nuit. C'est en ouvrant ton sac que tu as sorti un vieil article de journal de parole d'une chanson. La touchant du bout de ton doigt, tu as perdu connaissance soudainement et perdu ton unique bijoux qui te tenait à coeur.
Et ta malchance t’a bouffé de nouveau. Aux mains de chasseurs tu as été, aux mains de chasseur tu fis marquée, mais malgré la douleur, malgré les tortures qui t'amenait à souhaiter trouvé la fin, tu n'as jamais parlé, tu n'as jamais fait allusion à ton ami si cher à tes yeux. Tu t'es retrouvé là, grattant tes ongles aux sols par réflexe, pour rediriger ailleurs ce mal que tu ressentais péniblement sur ton corps, meurtri de ses tortures incessantes. Le bruit du métal t'alerte et malgré cette terreur qui te bouffe l'estomac, tu ne bouges pas. Ils te reprennent pour recommencer ce manège de torture, mais ça, à force, ils ne le savent pas, mais ils ne sont pas les premiers à le faire. Ils ne sont pas les premiers à te marquer de la sorte et tu te déconnectes pour survivre une autre nuit. Entre la douleur du fer rouge, des marques qu'ils ne cessent de te faire; tu résistes difficilement. Satan ne semble pas vouloir de toi encore; donc tu survie. La faim, devient morte, enterrée sous les tonnes de douleur et de haine porter vers ses gens, mais pourtant... tu as une forte tête, tu vas sortir de là, mais il faut seulement le bon moment. Tu te résignes à bouffer un rat pour survivre, affamer; ton corps se bouffe de l'intérieur et tu ne peux plus résisté. Soit tu crèves, soit tu manges. Le choix fut simple, mais dure. Tu l'as fait et tu as pris assez de force pour user de ton don une nouvelle fois et sortir de là. Ta possibilité de ta fuite fut apportée de main par un membre de l'intérieur et heureusement que tu as fait sa rencontre, sinon tu seras morte entre ses murs à l'heure qu'il est. Sauf que ton calvaire ne te laisse pas sortir en vain. Tu n'as jamais été aussi mince, ton corps n'a jamais été aussi douloureux et tes poumons veulent t'achever. L'eau t'a fait du bien, mais pas assez pour effacer toutes cette horreur vécue... tous ses abus. Tu as hérité plus que des blessures à vie, tu as perdu une partie de ton âme et Dieu sait à quel point elle est si pauvre. Pourtant, tu retrouves terre. Un pied devant l'autre, tu résiste à l'envie de mourir pour une chose; tu ne peux laisser Jasper seul à lui-même, tu ne peux te résoudre à leur donner raison sur ta peau. Même si tes jambes ont envie de céder, tu marches jusqu'à en trouver une affiche de toi. Tu l'arraches pour essayer de la lire et tu cherches, tel un cabot pathétique et même si la peur te dévore, tu sais que tu vas le retrouvé. Que ce soit par toi-même ou alors de ton chant qu'il a si souvent entendu. Non par envoûtement, mais seulement pour alléger votre vie de misère, seulement pour se coucher dans une note plus mélodieuse que votre état dans cette destinée rude. Puis, tu te ravise, te disant qu'il vaut mieux faire profile bas pour un moment.
Salut salut ! Moi c'est Paradise et je débarque du haut de mes 25 ans. J'aime la vie, les licornes et les rires, je déteste le manque de respect et les cons qui comprennent rien et on me dit souvent que je suis un sunshineeeee. On me verra dans les parages de 4 à 5 jours sur 7. Je suis fier(e) de dire que j'ai découvert le forum grâce à Jasper... Vilaine tentatrice et d'ailleurs je le trouve littéralement parfait. Je suis un scénario et puis je tenais à terminer en vous disant que je suis là pour vous échevelez ! Une toute dernière chose: avoir un rp d'intégration avec l'un de nos parrains: Non ça va, je crois que je pourrais gérée! ^^
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