Мне это нравится, quand tu me respires jusqu’à ce que ma peau s’assèche et que mon corps se déchire sous tes baisers. Je crois que c’est ça, la passion, cette tendresse violente, brutale, qui se mélange à cette délicieuse douceur teintée de larmes et de carmin, et qui plonge dans l'embarras. Ça part, et ça revient, envie houleuse comme les colères de l'océan. L'eau de rose est pour les gens normaux, nous ne le sommes pas. Et je dis "nous" sans complexe. Cela m'a pris un an, mais maintenant, j'estime qu'il n'y a plus de raison d'en avoir. J'en reviens pas d'écrire ça, je dois être plus ouvert et plus sentimental une fois ivre. Je t’ai écrit mes ressentis sans trop de retenue, je ne sais pas si c’était une bonne idée. En tous les cas, je sens que je vais regretter. T'emballes pas. Tu restes un illuminé, un fou à mes yeux.
Gamin, Je n’ai peut-être pas la richesse, pour t’offrir les plus beaux artifices, mais je suis présent pour toi à chaque moment, et je le fais avec tout ce que j’ai, comme je peux. Je n’ai sûrement pas le mérite d’être un père parfait, disons plutôt imparfait, mais je fais de mon mieux, quitte à devoir te mettre du plomb dans le crâne pour que ça rentre. Alors, Tête Blonde, profites de quelques mots d'affections, tant que ça tient sur cinq ligne. Les vraies n'ont pas besoin de le dire à vive-voix pour se faire comprendre.
Коще́й
Invité
Ven 7 Déc - 17:46
Pour Castiel.
Castiel, tout n'a pas toujours été très rose entre nous. De la vaisselle innocente a péri sous mes coups de colère ou sous les tiens. Quelques murs ont pris des coups sans raison. La maison a entendu plus d'injures qu'un paparazzi trop curieux. En bilingue, en plus. Quelques-uns de tes vêtements ont mystérieusement disparu, ou rétréci, ou brûlé. Je t'ai haï, je crois, longtemps. Mais ça valait le coup. Ca valait le coup de souffrir, parce qu'aujourd'hui, je crois que je commence à être heureuse avec toi. Et je suis curieuse de voir où ça me mène. Où ça nous mène. Désolée, et merci. Anthéa.
Pour Cillian Craig Chez Inspecteur. Ces mots vous parviendront peut-être. Nos relations n'ont pas été au beau fixe, et nous avons démarré du mauvais pied. Je n'avais pas l'intention de décrire un portrait robot qui vous ressemblerait tant. Mais peut-être est-ce parce que votre charme naturel a brouillé mes sens et ma mémoire. Vous êtes probablement l'inspecteur le plus beau de Bray. D'un autre côté, la concurrence de l'autre Craig n'est pas franchement rude, soyons honnêtes. Et vu son degré d'alcoolisme constant, il ne vous arrive pas non plus à la cheville niveau flair. Ce qui est surprenant, vu la taille de son pif. Mais revenons-en à vous. J'ai été injuste envers vous et j'espère que ces quelques mots vous diront à quel point je vous respecte. Oserais-je dire que je vous admire même? Retrouvez mon sac à main, et nous pourrons en discuter. En attendant, vous êtes l'un des seuls à me parler franchement, et cela, plus que tout, vous garde une place spéciale dans mon cœur.
Basil Egerton
MESSAGES : 3959 AGE DU PERSONNAGE : 49 RACE : Fantôme (ex-fée) MÉTIER/ÉTUDE : Gardien du cimetière
Ven 7 Déc - 18:16
J'AI DÉCIDÉ DE FAIRE PLEIN DE GENS POUR MONTRER A CAS QUE MÊME SANS CŒUR ON POUVAIT ÉCRIRE DES MOTS D'AMOUR BISOUS @Castiel Ò Murchù
Cher Castiel, Comment est la prison ? J'imagine comme on doit s'y ennuyer ferme, je devrais peut-être envisager de revenir te rendre visite à l'occasion, quand je n'aurai vraiment rien d'utile à faire.
Mais là n'est pas la question. J'ai beaucoup (enfin, disons... un peu) réfléchi à toute cette histoire, j'ai pris du recul et j'ai trouvé nécessaire de t'en toucher un mot. Pour être franc, je ne t'aimais pas. Il faut reconnaître que tout chez toi, plus ou moins, est relativement insupportable. Ce que j'ai fini par reconnaître toutefois, c'est que tu m'as finalement rendu un grand service. Si tu n'avais pas été si cruel et stupide, Charlotte aurait été en vie, je ne serais jamais venu à Bray, et j'aurais su vraisemblablement beaucoup moins de choses. Du coup : merci.
Bien sûr, tu t'en moques. Que je me plaise à Bray t'es égal, d'autant que tu ne reverras pas la lumière du jour de si tôt. C'est dommage d'ailleurs, je commence à trouver que tu manques au paysage. A mon paysage, dans ma vie, je veux dire. Je m'étais habitué après tout ce temps à ta sale gueule et à ton nom de famille traînant un peu partout et ça me manque un peu. Et puis très franchement, ta femme n'est pas aussi appréciable.
J'y pense, tu veux être le parrain de mon fils ? Je ne sais pas, ça se fait encore ces choses-là ? C'est peut-être déjà fait, remarque. Sait-on jamais qu'il ne commence pas déjà sa vie assez mal. Et puis, autant qu'il soit baptisé avant de mourir - si ça peut consoler Phoebe, parce que Dieu, personnellement je m'en cogne un peu.
Ce n'est pas une nouveauté, d'ailleurs je l'assume plutôt très bien. Mais toutefois, j'y pense. J'essaie de comprendre ce qui te rend si particulier à mes yeux. J'ai passé un temps infini de ma vie à ne pas me soucier des autres, à les rayer de mon esprit lorsque je n'avais pas un intérêt immédiat avec eux. Et leur décès m'a toujours laissé indifférent : après tout, n'est-ce pas l'enjeu même d'être vivant ?
Mais avec toi, c'est différent. Je ne sais pas si je pleurerai ta mort, mais l'idée qu'elle advienne me rend malgré tout colérique. Elle m'arrangerait beaucoup pourtant. Tu en sais trop. Et parce que tu en sais trop, tu as emporté avec toi une partie de moi qui me manque désormais. Je me sens... exhibé, mis à nu. Vulnérable, à l'idée qu'il y ait quelque part une partie de moi sur laquelle je n'ai plus d'emprise. Que je suis avide de posséder. Autant que je désire te posséder. C'est cela qui me tourne dans la tête, c'est cette pulsion qui me jette après toi. Un manque, un besoin et je ne sais pas où il me mène. Je commence à me dire qu'après tout mes efforts pour gagner du terrain sur ton être si plein de secrets et volatile, en fin de compte, c'est peut-être toi qui me possède.
Je ne pleurerai pas ta mort, sans doute pas, mais tu ne pleurerais pas non plus la mienne. Plutôt, je l'attends avec un soupçon d'impatience et m'y oppose passionnément tout à la fois. J'espère avoir le plaisir de te connaître plus entièrement chaque heure qui m'en sépare. Et de cela j'en suis sûr : si toutefois j'ai le plaisir de vivre encore le jour où elle adviendra, je soulèverai ciel et terre pour que ton corps me revienne. Et être celui cette fois qui possède, et te posséder comme jamais je n'ai possédé personne.
Bonjour Emily, c'est Basil. J'ai trouvé votre adresse e-mail à la mairie. Je suis plutôt lettre manuscrite, mais j'espère que de cette manière vous parviendrez à me lire.
J'ai été assez négligent pourrait-on dire, j'ai manqué de courtoisie. Je tenais à vous remercier du fond du cœur pour tout ce que vous avez tenté de faire pour Charlotte, pour moi. Je ne sais comment l'exprimer, mais vous m'avez remis sur pied, vous m'avez secoué et en toute honnêteté, il le fallait. J'étais bien seul dans cette histoire, j'avais profondément besoin de vous, de cette main tendue qui fut bien heureusement la vôtre.
En vérité, je vous apprécie beaucoup. Il est presque regrettable que ce soit cette malheureuse affaire qui ait provoqué notre rencontre, mais malgré tout je suis ravi que ça ait été le cas. Si mon attitude ne vous a pas encore trop fait fuir, je serais enchanté de profiter de votre compagnie autour de sujets plus réjouissants.
Vous êtes véritablement une femme remarquable. J'ignore si c'est le bon mot, mais je tenais à ce que vous le sachiez, vous êtes de ces rencontres que l'on n'oublie pas et qui fascinent. Je vous souhaite de vous débarrasser de ce qui vous tracasse, et si toutefois vous aviez besoin d'une oreille attentive - ou d'une aide fiable pour s'occuper d'une belle-famille intenable, vous savez où me trouver.
Je suis de très méchante humeur et j'ai décidé que c'était le moment idéal pour vous dire à quel point je vous aime. Vous êtes, de loin, le voisin le moins contrariant que j'ai eu de ma vie. Vous êtes un véritable plaisir à côtoyer, si vous n'étiez pas en colocation (concubinage?) avec un attardé mental j'aurais même du plaisir à sortir chercher mon courrier. Je vous souhaite beaucoup de bonnes choses et des amitiés d'une qualité moins médiocre.
A twa que jaime Maime si tes gronion, maime si tu ve po me faire de calun, je te suis reconésan de mébergé ! Je taime de tou mon keur et maime si té pa dakor, je te considaire come mon popo Peu taitre kun jour tu voudra bi un me faire dé calun cen pensé ke cé bizare
bisou de cooky é et un desun magik ! Cé rigolo il i ia une souri ki é aparu :3
@V. Shura Bäckähäst Chaire Shura, Je sé ke tu me porte po dan ton keur depui ke jé esaié de fer un barbecou avec twa ! Je conpren ta aine mé sage ke jé jamé voulu sa, cété un ordre de mon mètre et jété obligé de lui obéir :'( Jespaire kun jour tu me pardonera et kon ira fer dé chato de sable ensenble
Je tofre cete bwate renpli de cooky fé par mé soin unsi ke ce desun
Moon
un papiyon é une fleur se renkontre é saime pour la vi
Invité
Ven 7 Déc - 22:37
Adam Belladone
Je vait essayer de m’appliquer pour t ‘écrire c’est rare alors profite en ! Je n’ait jamais était très doué pour parlé aux gens et encore moins pour leur écrire. Mais je tenait a te dire que c’est sans doute la première fois que j’apprécie autant quelqu’un. Que je pensait pas pouvoir vivre si longtemps avec quelqu’un et je regrette pas. J’espere que tu pourra me supporté encore longtemps. Si j’ecrit cette lettre c’est pour te dire a quel point je tiens a toi et que t’es le seul pour qui je ressent un truc pareil. Bon je sait pas si tu recevra cette lettre un jour c’est trop gênant mais au moins je l’ai écris ….
Vali
Shura Bäckähäst
Coucou papa ! Oui je sait t’etait pas prêt a lire sa hein ? Tu sais que si je t’embete avec sa c’est que tu est pour moi ce qui se rapproche le plus d’un père pour moi. Et sa me fait bizarre parce que je pensait pas que les parent ca pouvait etre cool comme toi. J’espere que tu trouvera pas sa bête mais je tiens plus a toi qu’a mes parent. J’espere que je te décevrais jamais.
Vali
Basil Egerton
Désolé pour les sms que tu a pu recevoir, c’est une lettre d’excuse que je t’envoi mais aussi une lettre pour te dire que tu est le voisin le plus chouette que j’ai jamais eu. C’est toujours un plaisir de discuté avec toi. J’espere que tu n’est pas trop faché après moi.
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