J'aurais volontiers parlé plus amplement de cette mission à l'intérieur du lycée. C'est qu'il commençait à faire froid par ici et je n'étais pas super fan. Cependant, il fallait croire que nous n'étions pas les deux seul citoyens de Bray à avoir eu l'idée de venir ici ce soir. En effet, une voix s'éleva soudainement dans notre dos en nous demandant si on prévoyait un sale coup. Sincèrement, cette femme me fit affreusement, peur et je ne pu me retenir de sursauter violemment. Heureusement que je n'étais pas cardiaque !
Au final, il s'avérait que la jolie Moyna O'Théara était présente ici pour les même raison que nous. Ce qui tombait plutôt bien en fait. Et nous évitait aussi de chercher des explications foireuses quant à notre présence ici. Quoique, question explications, je laissais Sonny s'en charger, c'était lui l'expert des enquêtes. Moi je n'étais que bon pour parler avec les gens et arranger leurs problèmes de logements, financiers, familliaux, bref et tout les bazars sociaux quoi.
Cependant, notre problème restait à savoir comment nous allions bien pouvori rentrer dans le lycée. Les portes étaient toutes fermées à coup sûr. Personnellement, je n'avais pas envie de perdre mon temps à faire le tour du bâtiment pour chercher une porte ouverte. Nous pouvions aussi tenter de forcer une serrure, mais personnellement je ne savais pas faire ça et il y avait sans doute une allarme de lié à ça. Enfin bref, tout ça pour dire que notre discutions dura un petit moment. Et cela m'agaçait de plus en plus qu'on arrive pas à tomber d'accord, en plus j'avais froid, j'avais hâte d'en finir avec ça. Bref, sur le coup de la colère, j'estimai qu'on avait assez discuté et donna un violent coup de poing dans la fenêtre la plus proche.
Au moins, cette affaire était réglé, nous pouvions entrer dans la lycée maintenant. Malheureusement, en même temps de briser la vitre, j'avais aussi déclancher l'alarme. Et merde... J'avais vraiment été un imbécile sur ce coup là. Nous n'avions pas énormément de temps pour agir. Nous introduisant dans le lycée. Nous tombions étrangement tout de suite d'accord sur la suite des opérations. Pas le temps de chercher le casier de la demoiselle, ni le temps de s'attarder pour admirer la déco. Nous fonçâmes vers le bureau du proviseur en espérant y trouver le dossier de la demoiselles, donc des informations sur elle et peut-être certaines qui nous aiderons pour sur son meurtre.