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 Film et pellicule - Sirius J. Brown

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Invité

Sirius J. Brown

nom | Brown
prenom | Sirius James
âge |  27 ans
race | métamorphe (Chouette chevêche d'Athéna)
lieu et date de naissance | Londres, 2 décembre
orientation sexuelle | Il aime un corps, pas un sexe.
statut marital | Célibataire
metier/etudes | Chômeur
situation financiere | Catastrophique est un doux euphémisme.
organisation | Nous verrons en rp
ft | Richard Harmon (c)Shirosaki


détails, anecdotes et caractère



Anecdotes et détails.
Artiste incompris tu es, artiste incompris tu resteras. Passionné de photographie, tu vis pour tes photos. A travers tes photos. Presque à te perdre derrière ton appareil. A en oublier le monde dans lequel tu vis vraiment. Les autres ne sont rien. Juste des modèles. Tu as trop souvent commis cette erreur. Doucement, tu commences - tu essayes - de la corriger. De t’intéresser aux autres. Mais c’est chose difficile… Adepte du nu et du contraste, tu cherches une vérité dans tes clichés que tu ne connais pas dans l’homme. Mais tu commences à comprendre que quelque chose ne va pas. Sans vraiment savoir quoi. + Pauvre comme un sous, t’en es au stade où tu vis au crochet de quelqu’un. Un certain Basil Egerton, il paraît. Un homme dont tu es complètement dépendant. Pas seulement pour le logement, si vous voyez ce que je veux dire.  + Tu es un être nocturne qui a accepté la lune. Tu ne dors pas la nuit, ou si peu. Mais ce ne sont pas tes cernes qui t’empêchent de sourire. Enfin sourire… En as-tu encore la force ? + Si la nuit est ton repère et la ciel ta maison, tu adores le contact de l’eau. Tu aimes t’y reposer. Y rester pendant des plombs. Va savoir pourquoi. C’est juste… Physique. La sensation de ton corps mouillé. Qui se laisse dériver. Ou sombrer dans le liquide en retenant le plus possible ta respiration.  + Niveau art, tu aimes ce cinéma oublié en noir et blanc, particulièrement l'expressionnisme allemand, ou les films noirs à l’esthétique glamour. Bien sûr, tu aimes également la photo. Ce serait stupide de ne pas l’aimer. Toi, tu accroches à ces arts qui fixent sur papier la réalité avec objectivité ou subjectivité.  +Pour ce qui est de la musique, tu aimes ce qui n’a pas de paroles. Où tu peux te concentrer sur les notes. Les musiques de films. Ou la musique classique. Un son est toujours fidèle à lui-même. Il veut dire ce qu’il veut dire. Pas autre chose. Contrairement à un mot. + Tu n’as jamais réussi à te trouver beau. Jamais. C’est physique. Ton corps te dégoûte. Tu ne comprends pas comment certains peuvent l’apprécier. Alors, tu as essayé de “l’habiller”, de le décorer. Teinture. Tatouage.  Un vieil appareil photo sur la hanche droite. Scarification.Un relief approximatif qui dessine une constellation du Grand Chien incertaine. + Autrefois, on ne se doutait pas de qui tu étais. Aujourd’hui, c’est différent. On te sent usé. Fatigué. On te sent abattu. On sent qu’il s’est passé quelque chose. Tu parais bizarre à qui ne te connaît pas. Et ce, même si tu dis que tu es photographe - ce qui pourrait pourtant excuser bien des choses. On te sent moins sûr de toi. Moins arrogant. Tu doutes Sirius. Tu doutes de tout. Ou presque. Tu doutes beaucoup trop. Surtout, on sent ce regard étrange que tu vas poser sur les autres. Ce regard que tu sembles toi-même fuir.  + Tu es un oiseau de nuit, Sirius. Métamorphe qui commence enfin à s’accepter. Tu aimes voler. Tu aimes enfin prendre cette forme pleine de plumes. Petite chose mignonne que tu peux être - que tu acceptes enfin d’être. Ça te vient enfin naturellement. Enfin.  


Caractère.
Passionné. Malgré tout ce qui t’es arrivé, tu le restes. Passionné tu étais, passionné tu resteras. Tu aimes toujours autant la photo. C’est ta vie. Tu vis pour ta passion - ou ta passion vit pour toi ? Mais ça aussi, ça évolue. Tu ne restes plus seulement sur tes acquis. Tu cherches à rendre ton art plus vivant. Tu cherches autre chose. D’artiste sûr de lui, tu as enfin passé un cap : tu doutes de tout. Tu remets tout en questions. Enfin   + Gentil. Gentil Sirius. Tu l’étais pas autant avant. Maintenant, t’as failli crever. T’as compris qu’être juste égoïste, ce n’était pas possible. C’est pas que t’es vraiment gentil en fait ; t’as juste peur. Peur des inconnus. Peur de ce qui t’entoure. Peur de ce qui pourrait te tuer.  + Calme. T’es devenu plus réfléchi aussi. Toi qui était tellement instinctif, t’as appris à te poser pour réfléchir. Tu aimes toujours savourer l’instant présent, mais tu aimes aussi prendre le temps maintenant. Surtout celui de réfléchir au conséquence. C’est nouveau pour toi. T’as encore du mal. Mais t’es encore dans cette incertitude continuelle qui accompagne chacun de tes pas.  + Doux rêveur. Ca, tu ne pourras jamais cesser de l’être, pas vrai ? T’es encore ce grand enfant. Toi qui a dû grandir trop vite, tu restes encore attaché à cette image de l’enfance qui tu n’as pas eu. Tu aimes toujours te raconter des histoires. Peut-être que maintenant, tu vas essayer de les raconter en photo, ce serait bien non ? Avec, pourquoi pas, une sucette dans la bouche ? + Discret. Discret petit Sirius. Tu continues d’observer en silence. Sans un mot. Tous ces tics. Ces manies. Ces petites choses qui rendent une personne unique. T’aimes bien les noter. Toujours. Les vieilles habitudes sont tenaces, hein ?  + Effrayé. T’as peur. Tout le temps. Tout le temps, hein ? Depuis que tu t’es fait refaire le portrait. Depuis que t’as eu l’impression de mourir. Tu vis avec ce souvenir constant. Il est là. Tout le temps. Il te hante. La voix de cet homme. La sensation des coups dans ton corps. Ta difficulté à respirer. Ta crise de métamorphose aigu. Tout. T’as du mal à en dormir. On en est là quand même…



Ton histoire, ta petite histoire


Banlieue de Londres, il y a 27 ans.
Un cri. Un cri unique dans la nuit. Le premier de Sirius James Brown, fils d’Elisabeth Brown et d’un connard random qui a pris la fuite en apprenant la grossesse de sa petite amie du moment. Un homme qui n’avait pas voulu de lui. Pourquoi ? Et s’il avait fui en apprenant son existence, pourquoi aurait-il voulu le voir plus tard ?  C’est dans cette fatalité, avec cette idée en tête que Sirius a grandi. Sa mère ne lui a jamais caché la vérité de toute façon : c’était de sa faute si l’homme de sa vie l’avait quitté. Il n’aurait pas dû arriver aussi vite. Voir pas du tout. Sa mère ne voulait pas de lui. Son père l’avait fui. Il n’était personne. Un grain de sable dans l’océan. Un grain de sable à la dérive.
Silencieux et discret. Les deux mots qui pourraient le mieux qualifier Sirius pendant sa jeunesse. Il était ce petit garçon assis au fond de la cour, qui regardait les gens sans aller vers eux. Ce petit garçon qui retenait ses larmes lorsqu’il se blessait, en faisant mine que tout allait bien, alors que tout n’allait pas bien. Mais il traversait tout cela avec le sourire. Après tout, il ne devait pas être encore plus un poids pour sa mère qui avait déjà suffisamment à faire avec un boulet pareil, pas vrai ?

Banlieue de Londres, il y a 14 ans.
S’il fallait trouver un déclic, un tournant dans la vie de Sirius, ce serait cette journée. Cette soirée où il est rentré plus tôt que prévu. Où il a entendu des bruits étranges venir de la chambre de sa mère. Où, inquiet, il s’y est rendu. Et qu’il a vu. Deux corps, s’imbriquant l’un dans l’autre. Ce dos, qui avait vu tant de fois en treize ans. Pour la première fois, il le voyait autrement. Fasciné, il lui fallut plusieurs minutes et le cri de sa mère pour reprendre ses esprits et quitter la chambre. Mais ça y est. La roue s'était mise en marche.
C’est à peu près à cette période qu’il découvrit également la photographie. Qu’il associa les deux pour créer le début de sa nouvelle passion. Il commença par découvrir son corps au travers de l’objectif. Un pied. Un main. Beaucoup trop limité. Ce n’est pas à sa mère qu’il allait demander. Alors il commença dans la rue. A prendre des passants. Des amis. Des inconnus. Le début d’une nouvelle vie. Enfin, un but. Un objectif.

Banlieue de Londres, il y a 12 ans.
La douleur. La souffrance. La métamorphose. Une métamorphose inattendue. Une mère qui tenait tellement à lui qu'elle ne lui avait jamais parlé de sa nature. Une métamorphose en solitaire, dans un espace trop petit. Incapable de contrôler son nouveau corps, il s'assomme contre une fenêtre. Retour à la case départ. Les transformations suivantes furent progressivement moins chaotiques. Moins douloureuse. Mais Sirius garde le souvenir de cette première nuit. Il accepte sa nature, mais n'en profite pas plus que nécessaire. Surtout, il en veut toujours énormément à sa mère de ne lui avoir rien dit, et de l'avoir laissé passer seul cette épreuve…
C’est aussi à cette période qu’il commence à s’intéresser à son père. Qu’il le recherche. Il le retrouve d’ailleurs. Un homme qui a trouvé femme. Et surtout, qui a des enfants. Deux pour être exact. C’est sans doute découvrir ça qui le fait le plus souffrir. Au moins, maintenant, il sait : c’est lui l’erreur. Tout est bel et bien de sa faute. Alors il fuit. Il fuit sans se retourner. Il passe une ou deux nuits dehors. Sa mère a-t-elle seulement remarqué son absence ? Il en s’est rien. Il s’en fout. Il se réfugie dans la photographie. Tu découvres un homme qui t’y aide. Qui prend la place de celui qui aurait dû t’éduquer. Il devient ton modèle. Ton guide. Celui qui permet à la photographie d’enfin prendre la place qu’elle mérite dans ta vie.

Banlieue de Londres, il y a 9 ans.
Enfin. Le morceau est lâché. Il a dit à sa mère qu’il partait. Il attend ce jour depuis plusieurs années. Qu’importe les études. Qu’importe l’argent. Il prend ses affaires, son appareil et adieu. Elle ne le reverra plus. Il est majeur et bien décidé à travailler dans la photographie. N’ayant pas l’argent pour des études (et puis, des études en photographies… vraiment ?), il a fallu du temps à Sirius pour trouver quelque chose. Il vécut toute une période de sa vie dans la rue. Il aurait pu vendre son appareil pour s’en sortir, mais il refusa. Cet objet était la seule chose qui comptait à ses yeux. La seule avec un peu de valeur que son incapable de mère avait accepté lui offrir. Il quitte l’Angleterre pour l’Irlande. Un parent éloigné (l’ancien compagnon d’une tante, quelque chose comme ça) avait accepté de l’héberger le temps qu’il trouve quelque chose.

Quelque part en Irlande, il y a 8 ans.
Pendant ses recherches, Sirius tombe sur quelque chose de plus intéressant encore qu’un travail. C’est la période où quelques une de ses photos commencent à être reconnue. Pas à l’échelle nationale, bien sûr. Mais quand même. Certains apprécient. C’est déjà beaucoup.
Et c’est à cette période qu’il tomba sur cette scène. Cette scène qu’il ne put jamais oublier. Une femme agonisante. Une suicide ratée, probablement. Qu’importe. La personne ne l’intéressait pas. Ce qu’elle avait fait pour en arriver là non plus. Mais son corps par contre… Son corps agonisant le fascinait. Plutôt que d’appeler quelqu’un, il resta là, à la regarder. En tant normal, il aurait pris des photos, mais il n’avait pas son appareil à porté de mains. Alors il la regarda. Jusqu’à ce qu’elle rende son dernier souffle. Aussitôt, elle perdit tout intérêt pour lui. Le corps venait de perdre quelque chose.
Cette scène le hanta pendant longtemps. Il chercha à retrouver quelque chose pour le faire vibrer autant que le corps de cette femme. Pour compenser sa frustration de ne pas avoir pu la prendre en photo. Il trouva une alternative dans les clubs BDSM. Mais rien d’aussi puissant.

Bray, il a quelques années seulement.
Enfin, il trouve. Une petite boutique anonyme accès sur la photographie accepta de le prendre et de le former. Peut-être le propriétaire avait-il su descellé quelque chose en lui. Le début d’une nouvelle vie. Après avoir galéré pendant longtemps, enfin, sa chance tournait. Bien sûr, sa situation n’a rien de parfaite. Il est loin de gagner correctement sa vie, mais au moins, il a dû temps pour faire ce qu’il aime.

Bray, très récemment.
Malheureusement, la vie est loin d’être un long fleur tranquille. Depuis qu’il est à Bray, Sirius est passé par tous les états possible. La joie. Celle de retrouver un ami - un pilier - de longue date. La découvert et ses plaisirs. La découverte d’un nouveau lieu inconnu. De nouveaux modèles à exploiter. Puis la fin. La sensation de mourir. Plus encore. Il a vraiment cru l’être. Pendant un instant. Tout ça à cause d’une photo. Une photo qui a fait perdre à Sirius métier et logement. Une stupide photo. Il faut peu de chose pour détruire la vie d’un homme, pas vrai ? Heureusement que d'autres sont là pour s'occuper de lui et le loger...

Bray, aujourd’hui.
Aujourd’hui est une page blanche qui reste encore à écrire. Tout peut encore arriver. Tout est possible. C’est pour ça que la vie est belle : elle est imprévisible.  


Salut salut ! Moi c'est Scénary et je débarque du haut de mes 23 ans. J'aime Urban Legends ♥️ , je déteste peu de choses D8 et on me dit souvent que je suis irrégulière. On me verra dans les parages a priori, au moins 4 jours dans la semaine, mais là, déménagement, donc ça sera moins 8D . Je suis fier(e) de dire que j'ai découvert le forum grâce à je sais plus ? et d'ailleurs je le trouve BEAUCOUP TROP BIEEEEEN . Je suis un inventé et puis je tenais à terminer en vous disant que bje vous aime plus que tout ♥️ Et niveau modification, j'ai changé le caractère et j'ai ajouté des lignes dans l'histoire (celles en italique)   ! Une toute dernière chose: avoir un rp d'intégration avec l'un de nos parrains: Non



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