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 Phoebe Ò Murchù ~ La petite dernière des Ò Murchù

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Phoebe Ò Murchù

nom | Ò Murchù
prenom | Phoebe
âge | 23 ans
race | Sirène
lieu et date de naissance | Bray, Irlande, le 21 décembre
orientation sexuelle | Hétéro
statut marital | Fiancée
metier/etudes | Étude en journalisme
situation financiere | Riche comme Picsou
organisation | ///
ft | Maisie Williams (c)unicorn


détails, anecdotes et caractère

•Je me suis mise à fumer après la mort de ma mère. Je sais que ce n’est pas bon, surtout quand on a un enfant, mais j’arrive simplement pas à arrêter.
•Je vis encore chez son père. Difficile de faire autrement avec un père-poule dans son genre. Je peux même pas sortir pour chercher le journal sans recevoir un interrogatoire complet à mon retour.
•J’ai eu un petit garçon, Ambrose, il y a un an après une aventure d’un soir. Personne ne doit savoir qui est le père… personne.
•Sous forme de sirène, j’ai une queue de requin tigre. J’adore me retrouver sous cette forme et nager dans la mer.
•Je suis fiancée à un inconnu (merci Papa…) et je ne sais pas quoi en penser. En vrai, ça me fait un peu peur d’être forcée à épouser un étranger comme ça.
•J’aime bien jouer à des RPG autant sur console que sur table. C’est plutôt difficile de trouver des joueurs avec qui faire une aventure quand j’ai un père comme le mien.
•Ma couleur préféré est le jaune-orangé et je déteste tout ce qui est mauve ou violet.
•J’adore la nuit. Je profite souvent de son couvert pour sortir et marcher dans la forêt, seulement guidé par la lumière de la lune et des étoiles.
•Mon arme préféré est la lance puis la hallebarde.
•J’ai une imagination débordante et je n’hésite pas à m’en servir! J’aime bien comparer mon monde à un conte de fée, mais ne pensez pas que je suis la demoiselle en détresse. Je suis la princesse-guerrière chevauchant le dragon qui me tient prisonnière.
•Je suis comme une bulle de champagne. Pétillante et remplis de vie malgré tout ce qui m’est arrivé. Je suis remplie de joie, m’amusant d’un rien, riant de bon cœur et souriant de toutes mes dents. Je suis spontanée et ça déplaît énormément à mon père qui voudrait pouvoir prédire mes moindres faits et gestes. Je reste optimiste, essayant de voir le bon côté des choses dans tous ce qui arrive. Il faut garder le sourire, même quand ça va mal. Le positif amène le positif. C’est ce que je me suis toujours dis. Ne penser pas que je suis naïve! Je ne le suis pas même si je cache ce fait. Je reste la naïve petite fille pour passer sous le radar de tout le monde. Mais je ne suis pas naïve. Je suis la fille de mon père. Je suis tacticienne. Je sais lire les autres au point que ça donne l’impression que je lis les penser. Je suis capable de prévoir les coups de mes adversaires. Je sais faire usage de mes connaissances et mes atouts contre les autres. Je suis la fille de mon père, mais ça, personne ne doit le savoir….
•Hyperactive, j’ai probablement un TDAH même si on ne m’a jamais diagnostiqué. J’ai beaucoup de difficulté à me concentrer sur une même tâche longtemps, surtout lorsqu’elle ne m’intéresse pas. J’ai souvent des tics lorsque je suis obligée de rester immobile longtemps, jouant avec mes bijoux, bougeant mes jambes, regarder partout pour trouver une distraction quelconque, etc. Tout cela me rend impulsive et me fait agir à l’instinct. Je ne réfléchie pas toujours, préférant me fier à ce que je ressens plutôt qu’avec des faits. Ça ne me rend pas stupide! Je peux être très maline, trop même parfois. Ce n’est pas toujours évident puisque j’aime bien foncer dans le tas, mais j’ai un plan. Toujours. De ce fait, j’ai appris plusieurs arts de combats comme l’escrime ou l’iaido ou le naginatajustu. Je sais me défendre et je n’hésiterais pas à mettre en pratique ce que j’ai appris
•Je suis loyale envers moi-même et ma famille. C’est les seules personnes à qui je peux vraiment faire confiance dans ce monde. Alors, je leur suis loyale et je fais tout pour les protéger. J’aime bien me comparer à une maman ours. C’est encore plus vrai avec l’arrivé de mon fils. Je peux être sauvage, dangereuse même contre ceux qui font du mal à ma famille ou à moi. Je crois que je n’hésiterais pas à tuer pour les protéger. Ils sont tout pour moi. Je ne sais pas ce que je deviendrais sans eux… Je suis loyale envers mes racines aussi. Je n’hésite pas à utiliser de mes dons de sirène. Je suis comme les sirènes des livres. Chantant pour attirer les pauvres dans mes crocs. Chantant pour arriver à mes fins. Chantant pour mon malin plaisir à les voir courir vers moi. J’adore ça!


Ton histoire, ta petite histoire

Il était une fois, dans un pays lointain proche de la mer, un roi et une reine.  Ils ne s’aimaient pas vraiment, mais c’était un mariage d’alliance comme il arrive souvent dans ce royaume. Le roi et la reine ont eu plusieurs enfants. C’est là que notre histoire commence. Avec la plus jeune des princesses. La jeune princesse aimait bien son père le roi. Comme n’importe quel enfant, elle était naïve. Cette naïveté n’a pas resté pourtant quand elle a vite compris que ce roi qu’elle pensait juste et bon était violent et terrifiant quand il le voulait. Il n’a jamais levé la main sur la princesse, mais la jeune enfant l’a vu frapper ses frères et sœurs. Malgré elle, la princesse c’est refermé sur elle-même, évitait ce monstre royal et préférais rester auprès de sa fratrie plutôt que du couple royal. De nos jours, elle ne s’en souvient pas vraiment. Son cerveau d’enfant à cacher les horribles détailles, les transformant en cauchemars sortant de son imagination fertile.

Si le roi et la reine étaient les méchants de cette histoire, la princesse n’était pas seule. Elle avait sa marraine la bonne fée, son aînée, qui prenait soin d’elle comme une vraie mère qu’elle n’avait pas. La marraine était accompagnée d’un vaillant chevalier qui s’assurait de garder la jeune princesse en sécurité. Ça incluait autant le roi que les horribles araignées qui se glissaient dans la salle de bain. La princesse n’était jamais seule et toujours bien entourée, toujours bien protéger de ce monde terrible qui l’entourait sans qu’elle le sache. Vivant dans son monde parfait, ignorant que les malheurs arrivaient autour d’elle. Puis, petit à petit, le roi a commencé à être moins monstrueux, plus humain. La princesse le voyait. Il ne souriait pas quand elle lui apportait ses dessins, il ne disait rien quand elle réussissait un quelque chose de particulièrement difficile et posait une main sur son épaule lorsqu’elle l’enlaçait. Mais la princesse le voyait. Elle voyait cette étincelle dans ce regard froid. Elle voyait son visage se radoucir. Elle le voyait quand le roi décidait que le repas du soir allait être le plat préféré de la princesse.

Et puis, soudainement, le monde de la princesse c’est retrouvé chambouler. Elle n’avait que dix ans quand elle a vu le pauvre corps de sa sœur aînée. Ça… même son cerveau avide d’imagination ne pouvait trouver un cauchemar assez horrible pour camoufler la vérité. Elle se tenait à son jumeau, ne comprenant pas pourquoi le roi leur montrait ça. Une étincelle a alors enflammé la princesse. La princesse a disparu, laissant naître une renégate. Ce n’est pas arrivé du jour au lendemain. C’était très subtile au début, tellement que la princesse-renégate n’a même pas vu les signes. Elle s’est inscrite à des cours d’escrime et d’autres arts du maniement des armes. Même si les armes n’étaient pas affutées, elle s’avait s’en servir pour tuer. Toujours plus forte, toujours plus agile, toujours plus stratégique. Elle n’avait pas la même facilité avec les mots et les cours théoriques. Apprendre des leçons était un enfer pour elle, surtout avec le roi qui la contrôlait d’une main de fer. La princesse-renégate ne pouvait rien faire d’autre, elle était toujours surveillée par le roi qui contrôlait ses gestes, ses paroles, ses envies. Ça n’a pas empêcher la princesse-renégate de s’échapper dans son imagination dès qu’elle en avait l’occasion. Elle s’imaginait un monde parfait. Elle y intégrait souvent son jumeau et ses autres sœurs et frère. C’était une échappatoire parfaite, mais pour combien de temps?

Plus le temps passait et plus la princesse-renégate voyait le monde tel qu’il l’était vraiment. L’imagination laissait place à la réalité. Laide. Brutale. Sanglante. Ça n’abattait pas la princesse qui était devenue une vraie guerrière maintenant. Elle souriait au travers de tout. Même quand elle voyait les blessures sur le corps de ses frères et sœurs. Même quand elle a vu son chez soi réduit en cendre. Souriante. Toujours. Garder le masque et voir le bon côté. Même lorsque sa fratrie s’émiettait petit à petit. Fuyant dans le monde sans elle. Devenant folle. S’occupant du business familial. La princesse-guerrière était seule dans le château avec le roi. Elle continuait de sourire, d’être un rayon de soleil dans le sombre château. Mais au fond d’elle, elle voulait sa propre aventure, prouver qu’elle pouvait s’en sortir par elle-même. Elle c’est donc mise à sortir.

D’abord, pour ne pas attirer l’attention, elle est allée voir la marraine sa bonne fée dans la prison où elle était détenue, lui apportant livre et biscuits et autres fantaisies pour agrémenter sa vie. Elle sentait que sa marraine lui cachait quelque chose, mais elle ne dit rien. Gardant le sourire, gardant le masque de naïveté enfantine. Après que l’habitude se soit bien installée, assez pour que le roi ne se doute de rien, la princesse-guerrière allait en ville. Souvent simplement pour marcher, découvrir le monde autour d’elle, rencontrer des gens. Elle était douée pour ça. Gardant le sourire, gardant le masque de la naïveté d’une jeune femme nouvelle dans ce monde. Grâce à cela, elle se faisait payer des verres, des repas, elle allait au cinéma avec des jeunes paysans. Et s’ils devenaient agressifs en voyant le masque tomber, elle les remettait à leur place. Gardant son sourire, arme à la main. Elle jouait. Ce monde était son nouveau refuge. Elle jouait pour obtenir ce qu’elle désirait avait de les abandonner. Ce n’était que des paysans après tout. Le roi leur avait appris qu’ils n’étaient que des moins que rien. Qu’importe les cœurs brisés? Qu’importe les rages ou les déceptions ou les pleurs qu’elle laissait sur son passage? Ils n’en valaient pas la peine. Elle était la princesse. Elle était la guerrière. Elle était au-dessus de tous.

Un jour, la princesse-guerrière a rencontré un homme. Pas un paysan. Ou alors, rien qu’un peu paysan. Elle lui parle et de fil en aiguille elle finit dans ses bras. Ce n’était qu’une nuit, rien qu’une fantaisie, rien qu’un caprice de vouloir sentir ce que c’est l’amour et la chaleur d’un autre corps contre le sien. Mais il suffit d’une fois pour que la vie prenne forme. Le princesse-guerrière aurait pu décider d’avorter. Ou encore de le mettre en adoption. Elle aurait pu oublier tout ça et continuer sa vie. Mais elle a décidé autrement. Elle a gardé l’enfant en elle et lui a donné vie. Au fond d’elle, elle sait pourquoi. Un acte de rébellion. Prouver qu’elle est capable. Prouver qu’elle est la seule à contrôler sa vie et qu’elle décide. Ça n’a pas plu au roi quand la princesse est revenue avec un petit prince, mais qu’aurait-il pu faire contre ça? Le roi voyait enfin sa lignée s’allonger au lieu de rétrécir. Et puis, la princesse-guerrière l’aurait déchiqueté s’il avait osé lever la main sur l’enfant.

Et maintenant? Et maintenant la princesse à peur. Parce qu’elle sait que son père, le roi, l’observe plus que jamais et veut conclure le mariage arrangé depuis longtemps. La princesse-guerrière voudrait fuir, rejoindre son amant d’une nuit peut-être, ou simplement retrouver son frère jumeau. Incertaine, elle attend, observant, analysant. Elle avancera ses pions quand le moment sera venu. Pour l’heure, il faut attendre. Garder le sourire, garder le masque. Ensuite, viendra l’action. La princesse prouvera qu’elle est bien la fille du roi.

Salut salut ! Moi c'est Castor Carnivore et je débarque du haut de mes 21 ans. J'aime la science, je déteste refaire des fiches... et on me dit souvent que rien. On me verra dans les parages ça dépend. Je suis fier(e) de dire que j'ai découvert le forum grâce à Koala Volant et d'ailleurs je le trouve ///. Je suis un scénario et puis je tenais à terminer en vous disant que /// ! Une toute dernière chose: avoir un rp d'intégration avec l'un de nos parrains: Non



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