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 Jeremiah James & you're more blind than me

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Jeremiah James

nom | Je suis né Moran, cependant, après mon mariage avec Leon, j’ai tenu à prendre son nom, histoire d’effacer ma famille de ma vie. Ainsi, je porte le patronyme James.
prenom | Jeremiah
âge | 28 ans
race | Je suis un oracle, capable de voir le futur, bien que je tente de fermer les yeux…
lieu et date de naissance | Je suis né dans la banlieue de Dublin, un 14 juillet, fête nationale française, il semblerait.
orientation sexuelle | Au plus grand déplaisir de mes parents, je n’aime que les hommes, et surtout, un seul homme.
statut marital | Je suis marié au plus merveilleux de tous, Leon James.
metier/etudes | Si j’ai fait des études de commerce, je suis désormais le co-propriétaire d’un magasin de CD et vinyles, avec Leon. Je suis aussi celui qui fait tout, dans les fait.
situation financiere | Le magasin étant encore récent, il tourne au ralenti. Heureusement, nous avons la fortune de Leon pour être à l’aise en attendant que ça s’améliore.
organisation | Je fais partie du Dux Tenebris.
FT | Luke Pasqualino (c)unicorn


détails, anecdotes et caractère

♫ J’aime la musique, elle fait partie de moi de la même façon que d’autres respirent. Quand j’étais ado, je repérais les moments pour enregistrer mes chansons qui passaient à la radio sur cassette. Puis l’avènement des lecteurs mp3 a révolutionné ma tête… A présent, j’ai ces plaisirs un peu bobo du vinyle et du CD. Je hais le silence, j’ai besoin de ces notes de musique. Même si je n’ai jamais appris d’un instrument de musique, en revanche.
♫ Ce n’est qu’en traînant dans le club de musique de mon école de commerce que je me suis réellement rendu compte que j’avais l’oreille absolue. Je m’en doutais mais à ce point-là… Enfin, c’est pratique à présent que je suis totalement aveugle.
♫ Je viens d’une famille juive irlandaise. Oui, ç’en est à ce point-là… J’ai grandi dans un univers sobre, strict, où rien ne devait dépasser. Et être gay, c’était l’une des pires choses pouvant dépasser. L’autre pire chose, c’était de me marier avec Leon. On n’est pas trop en bons termes...
♫ Je ne suis pas bon avec les enfants. Vraiment. Ça me crispe, ils crient partout, font du désordre, bref, si je n’avais pas été élevé correctement, j’en aurais sûrement tué un ou deux. Pareil pour les animaux. Du coup, clairement, j’veux ni l’un ni l’autre chez moi. Jamais. Et Leon le sait.
♫ J’aime la randonnée. Remarquez que j’en parle encore au présent, car même aveugle, j’en fais toujours. Marcher, avec l’aide d’un chien guide et d’un autre guide humain, ça permet de ne pas se perdre. J’ai fait Saint Jacques de Compostelle peut avant d’être totalement aveugle, et ce même si j’ai renié toute trace de religion dans ma vie.
♫ Quand j’étais plus jeune et que j’avais ces flashs me faisant voir le futur, je croyais être possédé par le démon. Mes parents ont bien tenté de m’exorciser, ce fut la pire période de ma vie. J’ai fui ce monde rétrograde en partant faire mes études à Londres, et j’ai aimé la civilisation d’ailleurs.
♫ Comme je disais plus haut, je suis juif irlandais. En revanche, je n’ai jamais retenu un seul mot de gaélique. Jamais. Je suis atroce en langue, l’anglais me suffit largement. L’hébreu ? N’en parlons même pas. Mes parents ont tout tenté, mais non. Merci Leon qui me nargue en l’apprenant...
♫ J’aime porter des chemises, une habitude acquise auprès de ma famille, et encore plus avec mes études de commerce qui poussaient à avoir une tenue exemplaire en toute occasion.
♫ J’ai un permis de conduire qui ne sert plus à grand-chose à présent. Quand je pense que je me suis battu avec mes parents pour l’obtenir… Les boules. Mais à présent, je dois dire que je me suis habitué à la vie citadine, que je pouvais oublier aussi en partant en randonnée.
♫ J’ai une cicatrice au niveau de la lèvre inférieure, qui peut surprendre dans on la voit pour la première fois, et qui me donne cet air un peu pincé. Il s’agit d’un vestige d’un accident que j’ai eu quand je me suis mis en tête de sortir tout seul quand je n’avais pas encore su m’adapter à mon manque de visibilité.
♫ Il semblerait que je sois une personne intègre et droite dans mes baskets. Je n’ai jamais su m’arrêter face à une injustice - ce qui est logique quand on sait que je suis marié à un procureur - bien que finalement, ça ne veuille pas dire grand-chose. Cela ajouté à mon caractère protecteur, c’est peut-être embêtant.
♫ J’ai un sale caractère. Bon, autant le dire, je suis impulsif et caractériel, voire même carrément impatient. Quand quelqu’un m’énerve, j’ai d’abord un moment de flottement durant lequel j’essaye de me contrôler, mais j’ai un tic qui relève un côté de ma bouche nerveusement. Signe de tempête...
♫ Leon me trouve trop mature. Probablement parce que je suis maniaque concernant l’ordre et le ménage, surtout depuis que je suis aveugle. J’ai l’impression que mon nez s’est décuplé, et très honnêtement, buter sur un caleçon en sortant de la douche, je trouve ça assez moyen… D’autant que je gère le budget de la maison “comme si nous étions pauvres”, de ses propres termes.
♫ Pourtant, alors que je suis trop mature, je suis probablement l’homme le plus gêné face à une personne qui se confie, ou qui se sent mal. Surtout depuis que je n’arrive plus à gérer le visuel. Je suis extrêmement maladroit en parole, en geste, d’autant que dire que j’aime une personne me semble être le plus dur à faire.
♫ Je suis aussi un animal assez sauvage. J’aime mes moments de solitude, et choisir à quel moment je reçois une personne. Si quelqu’un sonne chez moi à l’improviste, il est fort probable que je fasse ma “tête de coq contrarié” comme dirait mon homme.
♫ Très rancunier - mis à part avec Leon étrangement - je pardonne difficilement l’erreur de la part de mes proches. Ce qui explique pourquoi j’en veux encore à ma famille de m’avoir autant rejeté quant à mon orientation sexuelle ainsi que mon mariage.


Ton histoire, ta petite histoire

♫ Je suis né dans une famille assez modeste irlandaise et juive de la banlieue de Dublin - à l’opposé de Bray, par ailleurs. J’ai pu naître avec une grande soeur déjà présente, qui s’est chargée de me donner ce petit sens de la rébellion face à des parents stricts, croyants, voire même fanatique. Ils croyaient en l’existence simple, où les plaisirs de la vie résident en la dévotion la plus pure. Ce qui aurait pu m’aller si je ne voyais pas par la fenêtre, d’abord les enfants qui s’amusaient entre eux dans la rue, pour devenir ensuite les beaux garçons qui me faisaient baver. Mais à les voir gambader, être heureux, tandis que j’étais surveillé, mené à la baguette, sans réels moment de “jeux” comme les autres enfants… J’avais même régulièrement ce que j’appelais la “prévention” : je ne devais pas fréquenter ces filles, elles n’étaient pas fréquentables, et ces garçons, ils me mèneraient vers la voie du mal.

♫ C’est ma soeur qui, la première, s’est détachée de nos parents. Elle a passé le permis toute seule, avec l’argent qu’elle a économisé on ne savait pas trop comment, pour ensuite se barrer aussitôt eût-elle la majorité.

♫ J’ai commencé à avoir mes premières visions à 16 ans. Ma famille a bien cru que j’étais possédé. Les médecins n’ont pas pu se prononcer sur mon cas, étant donné que je n’en avais jamais rencontré. Je n’oublierai jamais ma première vision… Il s’agissait de l’accident de ma soeur. Un accident qui a bien failli lui coûter la vie. J’étais dans la rue, avec ma mère, à l’aider à porter des sacs de courses, quand d’un coup, je fus comme transporté dans une hallucination visuelle qui était bien trop réaliste, j’étais à la place de ma soeur, je la voyais en train de se regarder dans le rétroviseur, elle allait à un rendez-vous amoureux, je le savais… Quand je vis ces lumières, ces phares, foncer sur elle. J’étais elle, je voyais ça arriver, je la sentais paniquer, j’ai hurlé, et j’ai voulu appuyer sur le frein. Ce faisant… Je suis revenu à la réalité, ma mère me regardait comme si j’étais le diable en personne. J’avais le visage hanté, je ne parvenais pas à croire ce qui m’arrivait. Je n’ai rien osé dire sur ce qui était arrivé. Encore moins lorsque mon père répondit à un appel de policier, lui expliquant que ma soeur était dans le coma suite à une collision avec un camion. J’en devins presque fou.

♫ Par la suite, j’eus plusieurs visions, presque successivement, qui m’handicapaient réellement. J’eus du mal à m’habituer, surtout que mes parents me pensaient possédés par le malin, voulant m’exorciser. Divers charlatans sont venus, m’ont jeté de l’eau dessus, voire même m’ont drogué, ce furent trois mois horribles. Ce fut suite à la tentative de trop que je fis un véritable malaise, poussant mes parents à appeler une ambulance. Je n’ai jamais rien dit sur ce qui m’était arrivé… Mais les menaçant de les dénoncer à la protection de l’enfance, ils m’ont laissé finir mon année avant la graduation, pour que je parte ensuite à 18 ans à Londres, faire des études de commerce.

♫ Cependant, cela ne se passa pas aussi bien que prévu. Déjà, je perdais la vue au fur et à mesure que les visions venaient. J’arrivais à m’empêcher de crier, de hurler, mais c’était difficile à gérer, en cours, au travail. Pourtant… J’aimais cet endroit, j’aimais être à Londres, j’aimais ce que je faisais, mais ça… Ça me gâchait tout. Surtout lorsque d’un coup, mes visions concernèrent une créature en particulier. Régulièrement, je le voyais tuer des femmes, les endormant de son chant de sirène, avant de les emmener se noyer avec lui sous l’eau. Mais je ne savais pas quoi faire… Et cela me rendait fou. Voir ces femmes mourir, et les revoir quelques jours, semaines plus tard au journal télévisé car elles avaient été retrouvées. Mais je suis parvenu à me rassurer lorsque je revis cet homme, en vision toujours, se faire tuer par une personne. Qui était du Dux Tenebris… J’avais tenté de le retrouver, et ce fut au hasard d’une rue que je parvins à le revoir. Il m’aida à devenir une source d’information, petit à petit. Je leur disais ce que mes visions me dictaient.

♫ Mais la vie était difficile, et je me sentais devenir aveugle, petit à petit. Je sentais que c’était ma dernière chance de voir le monde, que bientôt… Ce serait fini. Alors, je lâchai tout : mes études, mon travail, mon appartement, mes affaires, ma famille. Je partis à la conquête du monde. Commençant par mes randonnées adorées, juste marcher, découvrir la nature, la tranquillité, entendre les animaux, les insectes, juste là où ils étaient. J’avais des lunettes comme autant de culs de bouteille, mais je voyais encore. Je me souvins encore de mon désespoir un soir, quand je m’étais un peu éloigné du camps, que j’étais tombé à cause d’une racine que je n’avais pas vue… Et j’étais tombé en larme. Me disant que je finirai dans le noir, à cause de ce que je voyais. Mais petit à petit, j’arrivais à mes vingt ans, et j’avais pu admirer les montagnes d’Afrique du nord, les grandeurs de l’Italie du sud, ainsi que la magnificence des îles Canaries. Tout ça, avec juste un sac à dos et de l’huile de coude.

♫ Je suis rentré ensuite à 20 ans, à Londres. J’avais récupéré ma voiture chez mes parents, et je me rendais chez mon ophtalmologiste, pour qu’il me dise si j’étais fichu ou pas. Je conduisais, quand j’eus une nouvelle vision, d’un accident, qui me ferait rencontrer quelqu’un. Ce fut une vision étrange, qui montra en accéléré des scènes que je ne comprenais pas… Moi qui me mariait, avec un homme. Un vieux en plus, s’il vous plaît. Cela me déconcentra totalement de la route, et j’emboutis quelqu’un, exactement comme dans la vision. Et je rencontrai Leon… Exactement comme dans la vision.

♫ Cela commença avec déjà une belle prise de tête pour la voiture, je voulais juste signer un constat, appeler les assurances et me barrer à toute vitesse, encore sous le coup de cette vision qui me promettait un avenir, avec cet homme infect. Puis, sans vraiment savoir comment, je finis par boire avec lui un verre, puis à passer la nuit aussi… Pour qu’on s’engueule à nouveau, d’ailleurs. Au bout d’un moment… Je finis tout de même par être amoureux. Un peu. Pas grand chose… Mais assez pour envoyer mes parents “se faire foutre” - oui, j’ai utilisé ces mots et tellement scandalisé ma mère qu’elle s’en est évanouie. Seule ma soeur, sortie depuis un moment de son coma, m’a soutenu.

♫ J’ai voulu continuer mes études, mais ce fut peu après notre mariage que je finis par avoir la Vision, avec le grand V, celle qui me plongea dans le noir. Il s’agissait du plan de plusieurs fées d’organiser un braquage, qui devait finir dans le sang et l’horreur, à Bray. Je pus en informer le Dux Tenebris, qui les arrêta avant que cela n’arrive. Mais à peine avais-je raccroché de mon appel avec mon contact que je sombrai totalement. J’avais 22 ans.

♫ Je dus alors m’adapter. Apprendre à vivre avec cette vision définitivement morte. Je devais me faire à l’idée que je ne verrai plus le visage de Leon me sourire… Cela me frustrait. Cela me frustrait d’autant plus que je ne voulais plus être capable de voir l’avenir. Je voulais juste être Jeremiah, ne pas avoir à tendre l’oreille en permanence, à devoir toucher le visage de Leon pour ne pas l’oublier. Je traversai une période difficile… Je voulus même un jour sortir par moi même, ne pas compter sur lui, pour aller faire des courses. Je pensais avoir assez retenu le trajet pour ne pas me tromper. Mais… Je tombai dans une bouche d’égoût ouverte pour des travaux. Je n’avais pas vu les panneaux demandant de passer le chemin… Je me foulai une cheville, et m’ouvrit méchamment la bouche, de façon à ce que j’aie aujourd’hui encore une cicatrice à cet endroit.

♫ Ce fut vers 24 ans que réellement je parvins à aller mieux, à m’habituer au fait que je ne voyais plus rien. J’avais mon chien guide, ma canne, et je me plaisais à me balader sans lunettes de soleil. J’avais appris à garder mes yeux fixes… Histoire que l’un ne dise pas merde à l’autre par accident. Et comment je parvins à réellement remonter la pente ? Tout simplement car je m’étais rendu compte qu’en me concentrant comme un dingue… Pour juste quelques instants… Je parvenais à guider mes visions pour quelques secondes dans le futur, juste pour voir Leon me sourire. J’arrivais à voir ma main sur sa joue, ses lèvres bouger. C’était peu… Mais c’était déjà ça. Je le voyais, quelques secondes dans le futur, c’était comme si c’était dans la réalité non ?

♫ Si j’avais poussé mes capacités aussi loin, m’en rendant parfois malade de migraines, c’était pour le voir lui. Mais aussi, un peu, pour le Dux Tenebris, qui pouvait m’en demander beaucoup dans certains cas. Je devais pousser loin mes recherches, et si ça ne marchait pas à tous les coups… Je parvenais parfois à les provoquer. Quitte à payer cher après. Avec des migraines qui me collaient au lit, toute la nuit à souffrir, ou bien même plusieurs jours. Je ne le faisais pas souvent. Car ça pouvait empiéter sur ma vie de couple avec Leon, et je le refusais. Je parvenais aussi à refuser que certaines visions viennent. J’étais ainsi parvenu à en repousser sur Leon. Je ne voulais pas… Je refusais de savoir s’il allait mourir, ou tomber malade. Je ne voulais pas. Je niais. Alors, je “fermais” cette double vue.

♫ Petit à petit, je vis Leon sombrer dans la maladie, l’épuisement. J’étais parti en croisade déjà contre ses excès, au travail, sur le cigare, sur les soirées. Il en faisait trop et, même si ça m’attristait, il n’avait plus vingt ans. Je voulais le garder longtemps. Mais il ne m’écoutait pas… Alors, je lui ai fait la guerre pour qu’il lâche tout, pour qu’il vienne avec moi à Bray, dans mon pays natal, loin de mes parents, mais pas trop de ma soeur. Nous avons ouvert une petite boutique, ensemble, de vente de CD et de vinyles. Elle était sans prétention, j’avais aussi ouvert un petit studio d’enregistrement dans l’arrière boutique, pour des groupes amateurs. Ca me permettait de m’investir dans la culture musicale de cette ville, et surtout, ça nous offrait un train de vie plus doux, plus calme. Nous pouvions ainsi être ensemble, vraiment.

♫ Nous éloigner de Londres de façon aussi radicale nous a certes rapprochés, mais à bien des égards, ça nous a éloignés aussi. Je suis perdu entre Leon qui est malade, le Dux Tenebris qui se dévoile de plus en plus à mes yeux. Tout va trop loin pour moi, et je n’arrive plus à contrôler mon avenir. Je voudrais allonger son espérance de vie, mais j’ai peur de déclencher mes capacités pour savoir ce qui le tuera, je voudrais laisser tomber le Dux Tenebris, mais dans ce cas, comment me battre pour mes principes ? J’ai peur de l’avenir, et pourtant…

Salut salut ! Moi c'est Orion et je débarque du haut de mes 25 ans maintenant. J'aime le rp, le respect, je déteste qu’on me prenne la tête et on me dit souvent que je suis trop con (ou cool, je sais pas, je suis dur de la feuille). On me verra dans les parages assez régulièrement, comme d’hab. Je suis fier(e) de dire que j'ai découvert le forum grâce à anciennement Siam et d'ailleurs je le trouve plus beau que jamais. Je suis un inventé et puis je tenais à terminer en vous disant que cette maj est au top ! Une toute dernière chose: avoir un rp d'intégration avec l'un de nos parrains: Non, j’suis intégré, là, depuis le temps !



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