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 (castiel) after, you've gone [terminé]

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after, you've gone
Castiel & Oswald

« After the first glass of absinthe you see things as you wish they were. »
Oswald ne sentait plus cette once de colère. Plus la conversation s’écoulait, et plus elle s’amenuisait jusqu’à disparaître totalement. Le fait d’avoir une autre version de l’histoire l’avait aidé. Jusqu’ici, il ne pouvait se baser que sur des théories. Des hypothèses très influencées par son chagrin et qui l’avaient rongé jusqu’à perdre totalement confiance en lui-même. Il cherchait un coupable pour se débarrasser de cette culpabilité, mais il réalisait aussi que c’était la méthode la plus lâche qui soit. Rejeter la faute sur quelqu’un d’autre que lui. Lui qui était père, lui qui devait guider ses enfants dans le droit chemin, il ne pouvait rien faire contre. C’était son devoir. Un devoir qu’il avait pris bien trop à coeur au point de s’aveugler. Mais maintenant, il commençait à y voir plus clair et il ne regrettait pas d’avoir entamé la conversation avec Castiel. Cela lui faisait du bien d’en parler avec l’un des principaux concernés. Bien sûr, il en avait parlé aussi avec Rod. C’était d’ailleurs avec le marmot qu’il avait eu la seule conversation sérieuse au sujet de Margot, et son naturel défaitiste ne l’avait pas aidé. Il était allé jusqu’à croire qu’elle s’était suicidée, influencé par les larmes du gamin. A cause des on-dit, des langues tellement abattues qu’elles ne croyaient plus en rien. Un chagrin d’amour, hein ? Une fugue ? Si ce n’était qu’une fugue à cause d’un coeur brisé, cela convenait très bien à Oswald. Cela lui permettait de croire encore qu’elle était en vie, et qu’elle était simplement en train de se cacher. Sauf qu’ainsi, elle se laissait bouffer par la haine, et après avoir fait comprendre ceci à son père ainsi qu’à son ex, elle s’était de nouveau volatilisée. Maintenant, il ne restait plus qu’à savoir où. Pour la trouver, et pour l’empêcher de faire une nouvelle bêtise, de proférer de nouvelles menaces. Sans s’en rendre compte, le barman avait redonné du courage au triton. Oz avait relevé la tête à la question de Castiel au sujet de son entêtement malgré sa faiblesse. Un bref sourire nerveux et épuisé avait poussé sur ses lèvres, en échos à ses pensées. Pourquoi ? La question était à la fois complexe et simple. “Parce que je suis son père.” Avait-il commencé en énonçant ce fait comme une évidence. Et ça en était une, à ses yeux en tout cas. Il avait repris assez rapidement : “Même si ça parait impossible, je veux y croire encore. C’est mon devoir, ma responsabilité. Et je t’en remercie Castiel, parce que j’avais envie de laisser tomber. Mais tu m’as donné envie de continuer. Margot est ma fille, je dois la ramener. En tant que père, je me dois de protéger ma chaire et mon sang. Parce qu’elle n’arrivera à rien toute seule, et qu’elle a besoin d’un phare. Les enfants sont liés à leurs parents. C’est un lien solide, un lien plus fort que les lois de l’univers encore. Elle peut m’en vouloir autant qu’elle le voudra, quand elle sera vraiment perdue, elle reviendra sous mon toit. Même si le mot papa ne traversera pas sa bouche.” Difficile d’expliquer ce lien qui unit un parent à son enfant. C’est comme vouloir expliquer le miracle de la vie, le fil qui attache ces deux personnes découle de la même essence. Le fil de la vie, voilà un titre qui pourrait convenir à un magnifique tableau. Le vieux triton s’était redressé, plus assuré. Cela se voyait dans son regard, il avait de nouveau cette flamme à l’intérieur. Celle qui lui donnait envie de reprendre ses recherches dans la minute qui suit.  Cette conversation n’avait plus lieu d’être et il écoutait la dernière réponse de Castiel avec un certain intérêt. Les engueulades de couple, ça le connait plus qu’Oz ne voudrait l’admettre, alors il sait combien c’est une piste qui n’est pas viable. Sa main droit remuait devant son nez pour balayer le sujet. “Très bien. Aller, je ne t’embête plus avec ça. Tu as du travail en plus.” Oswald s’était levé de son tabouret, vacillant légèrement lorsqu’il s’était mit sur ses deux jambes. Une petite perte d’équilibre, rien de bien grave. Et puis, il avait envie d’aller fumer. Il ne pouvait pas à l’intérieur, et il avait de plus en plus envie de dégainer sa boîte de cigare. “Simple curiosité; Le petit, vous lui avez trouvé un nom ? Enfin je dis le, mais c’est peut-être la ?” Demandait-il, histoire de poser une autre question moins sordide et alléger la conversation à son tour.
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Castiel & Oswald

« After the first glass of absinthe you see things as you wish they were. »
Parler à Oswald te fait réaliser que ta colère contre Margot avait besoin d’être atténuée. Avant d’être celle que tu as croisé l’autre jour, elle était avant tout celle que tu as connu. Douce, aimante, c’était bien plus simple pour toi de te l’imaginer comme un monstre pour ne pas avoir de remords quant à tes sentiments à son égard, pour ne pas avoir à te rappeler qu’elle était celle avec qui tu voulais faire ta vie il n’y avait pas si longtemps. T’avais laissé tomber tout ce que t’étais à l’époque à cause de Nathan, tu t’étais éloigné d’elle assez pour que ça cause les tensions qui l’ont poussée à partir. Tu ne sais pas ce qu’elle a vécu pendant ces années, mais quelque part, en y repensant, peut-être que tu avais ta part de responsabilité, comme un petit copain qui avait d’autres choses à penser. Ce n’était pas ta faute, tu l’aimais, ça tu en étais conscient, mais tu savais aussi que t’avais pas géré au mieux la situation. Qui l’aurait fait, en vérité ? Le corps de Nathan sur les bras, tu n’avais d’autre choix que de te plier aux exigences de ton père pour éviter que toute la famille ne tombe. C’était facile de tout mettre sur le dos de ton paternel, comme si tu compensais toutes ces années à le suivre sans te poser de questions. Mais les fidèles avaient aussi à répondre de leurs actes, encore plus que les meneurs, sans doute, ayant beaucoup moins à y gagner. Tu ne t’exemptais pas de toute responsabilité, loin de là. Mais il fallait dire que t’avais déjà beaucoup à porter pour ne pas vouloir prendre totalement Margot pour toi. Sans doute que ce poids là pourrait être celui de trop. Mais t’admires Oswald, réellement. En trois ans, il n’a pas baissé les bras, peu importe qu’il ait failli le faire. Il a continué à se battre pour sa fille, même si elle ne semblait pas y porter un quelconque intérêt à l’heure actuelle, où qu’elle se trouve. C’était quelque chose que tu devais lui reconnaître, mais t’es pas encore père, tu ne le comprends pas. Tu ne sais pas ce que tu ferais pour ton fils, ou ta fille, lorsque l’enfant naîtra. Pour le moment, t’es juste enfermé dans l’idée que t’as, te dire que tu pourras pas y arriver. Mais t’as les circonstances, tu sais même pas si tu seras un homme libre lors de la naissance de l’enfant. « Je ne peux pas encore le comprendre, mais j’espère que ça viendra. Pourtant … Je vois un peu ce que vous voulez dire… Je ne suis pas proche de mon père, beaucoup moins que dans une famille disons … Habituelle, mais ce lien là est présent, qu’on le veuille ou non. » Ce qui t’a poussé à ne jamais l’abandonner, du moins pour l’instant. Il restera ta plus grosse trahison, la plus dure. Trahir Phoebe, à côté, ce n’était pas rien, mais ça n’avait pas cette ampleur. « Vous avez cette force que j’admire. Vous ne l’avez jamais laissé tomber, quoique vous puissiez penser, certaines forces vous dépassent, c’est tout. Et s’il ne faut qu’un barman pour vous pousser à continuer, c’est que vous n’aviez pas l’intention d’abandonner aussi facilement. » La posture du vieux triton avait changé, quelque part, ça te changeait d’être la cause d’un bon changement, et pas d’un mauvais. T’étais content d’avoir pu l’aider à retrouver une voie qu’il pensait avoir perdu. Tu souriais face à sa phrase tout en hochant négativement la tête. « Oh, pas vraiment … Je suis là parce que les choses ne sont pas simples à la maison et quelque part je fuis un peu le conflit. Mais je suis pas d’une grande efficacité ici alors que je bosse ou pas, c’est plus ou moins la même chose, heureusement que j’ai un barman qui gagne bien sa paie, sinon j’aurais déjà fermé. » Tu le dis sur le ton de la plaisanterie, mais pas tellement finalement. Si t’étais seul à gérer ton bar, il serait plus là depuis un moment, tu le sais. Mais tu ne retins pas plus le triton, finalement. C’est lui qui finit par se retourner alors que tu retournais à ta vaisselle. « On ne sait pas encore, j’ai le sentiment que c’est un garçon, mais qu’est ce que j’en sais … Comme beaucoup de choses, on est en désaccord… Personnellement je penche pour Caïn.» Prénom lourd de sens, encore plus pour toi.
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Castiel & Oswald

« After the first glass of absinthe you see things as you wish they were. »
Ce lien qu’Oswald avait tenté d’expliquer tant bien que mal était complexe. Proche de la loi universelle puisque aussi puissant que cette dernière. Même les pires monstres ne peuvent renier leurs racines, il faut être un démon pour atteindre sa propre famille, aussi complexe ou bien envahissante soit-elle. Quelque part, heureusement que le patriarche O’Neill était loin, très loin de connaître tous les problèmes des Ò Murchù. Sinon, ils seraient une belle démonstration de ce qu’il vient d’exposer. Ce genre de chose, il n’y a nul besoin de les comprendre. Il suffit de les accepter et de ne pas chercher à lutter contre elles. On pourrait s’attarder à trouver une raison, une faille, quelque chose pour couper les ponts. On pourrait chercher à démentir, à chercher des exemples pour contredire, mais il met au défis qui que ce soit de trouver quelqu’un capable de renier son père ou sa mère. Même décédés. Oswald sourit lorsque Castiel assure qu’il ne peut pas comprendre, pas tout de suite en tout cas. Mais ce n’est pas le cas. Le fait même qu’il interprète avec sa propre expérience vis-à-vis de sa relation avec son père prouve qu’il a saisi où il voulait en venir. Bien entendu, Oz était curieux de savoir comment Gidéon entretenait ses relations avec ses enfants, mais il n’était pas pressé de savoir. Ne serait-ce que pour ne pas avoir d’ennuis. Il en a suffisamment comme cela déjà, inutile d’en rajouter. D’autant plus que leur notoriété les précède et elle ne plaide pas en leur faveur. Le vieux triton se pince brièvement la lèvre et acquiesce silencieusement ainsi, touché quelque part par les paroles du barman. Comme la situation est ironique. Celui même qu’il aurait refusé autrefois d’avoir comme beau-fils est en train de lui redonner du courage. Oswald est au pied du mur, persuadé que tout est de sa faute. Peut-être qu’il aurait mieux fait de se taire. Peut-être aurait-il dû laisser Margot faire sa vie avec Castiel. Il ne s’était que très peu mêlé de leurs affaires, mais il avait l’impression maintenant que cela avait été suffisant pour tout brisé, tel un effet papillon. Il n’y a rien à dire de plus, sinon son élan de courage allait se volatiliser. Il s’était contenté de relever la tête et de sourire. “Je suis entêté, il paraîtrait que je tiens cela de ma mère. Je te remercie. Pour le moral et pour le verre.” Dans le lot de vaisselle, il y avait le fameux verre. Celui qui avait été le déclencheur de cette conversation. Un verre renversé parce que son agacement était au plus haut point. Il l’avait pointé du doigt rapidement dans l’élan de ses mots, plus souriant et plus motivé qu’à son arrivée. Une motivation dont il n’aurait rien contre partager un peu. Il écoute les complaintes du barman à son tour et Oz jette un oeil autour d’eux. Une antre, un cocon, un abri, cela se voit. L’endroit est soigné, personnifié et entretenu. Il y a une intention et une ambiance particulière qui se dégage de cet endroit. Il ignore si cela est dû à la fréquentation élevée des étudiants, mais Oswald comprend aussi que côtoyer des personnes un peu plus sympathiques que des vieux cons aigris comme lui ou bien Gidéon, cela doit faire du bien à Castiel. Il tapote un peu sa main contre le comptoir, comme un tic annonçant son départ, puis il marche en direction de la sortie. Sur le chemin, il s’arrête. Une question innocente, une petite demande curieuse qui s’échappe de sa bouche. “Caïn… C’est court et efficace, c’est un nom sympathique. Je renouvelle mes excuses, à toi et à ton épouse, et je vous souhaite bon courage.” Un signe de la main, et Oswald s’évapore par la porte de sortie. Des excuses, il lui en donne en donne car il est certain que Margot ne lui en fera aucune. Cela aussi, ça rentre dans les responsabilités de père. De demander pardon au nom de sa fille.
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after, you've gone
Castiel & Oswald

« After the first glass of absinthe you see things as you wish they were. »
Après un dernier sourire, tu vois Oswald passer le pas de la porte et disparaître dans la nuit. Tu peux dire ce que tu veux, cette entrevue t’as fait du bien, t’as donné quelque chose à quoi te raccrocher. Parce que si tout n’est pas perdu pour Margot, peut-être que tout n’est pas perdu pour toi. Et même si pour la jeune femme, tu es loin d’en être persuadé, l’espoir que ça te donne n’est sans doute pas à négliger. Il faut qu’elle revienne. Pas pour toi, il est bien trop tard pour ça, mais pour les autres, ceux qui tiennent à elle. Si elle ne le fait pas pour elle, qu’elle comprenne au moins l’impact qu’elle peut avoir sur ceux qui l’entourent. Comme toi. Tous tes actes, dernièrement, tu les fais pour toi. T’as beau te dire que tu penses à Anthéa, à ton futur enfant, mais surtout pour l’image que tu leur renvoies. Tu veux mériter l’amour de ton enfant et pour ça t’es prêt à sacrifier toute ta vie. Juste avec l’espoir que tu en ressortiras plus méritant ? Comme si tu pouvais réellement effacer le mal que tu as fait, les morts que tu as semé derrière toi et dont tu ne t’es jamais excusé. Gaïa, Charlotte. Les métamorphes qui ont été les victimes de ta vengeance qui n’avait, en réalité, pas lieu d’être. Tous ces morts dont tu ne peux pas réellement te repentir. Mais le plus important, le plus important tu y feras face. Nathan. Pour lui, pour Phoebe, pour Niamh, pour Hécate, il faut que tu le fasses. T’as pris ta décision bien avant ce soir, mais c’est réellement là que tu comprends qu’elle est nécessaire. Mais ce qui t’attend dépasse tes prévisions. Tu vas perdre ta famille entière. Peut-être pas Hécate, mais les autres, c’est une certitude. Parce qu’Hécate elle sait déjà, et elle est restée. Elle a mis trois ans à le faire mais elle est toujours là, parce qu’en un sens elle n’a pas le choix, parce que t’es comme son fils et comme Oswald, elle ne peut pas t’abandonner alors qu’elle devrait. Tu sais qu’elle voudra te représenter, tu sais que tu ne peux pas la laisser faire, que de toute manière elle est trop proche de l’affaire pour que quiconque l’y autorise. Mais toi tu veux pas vraiment d’un bon avocat qui te fera sortir aussi rapidement que t’es rentré. Toi tu veux souffrir, tu veux rester, tu veux te séparer du monde dans lequel tu seras plus le bienvenu. Elle te fait peur, la réaction de ta sœur. Tu flippes comme t’as jamais flippé de ta vie. Phoebe. Elle pourra sans doute jamais te pardonner. Toi à sa place tu pourrais pas. Si Niamh venait à être tuée, tu déchirerais les entrailles du responsable, même s’il s’agissait de ton propre père. Tu l’as pas fait pour Hayley, mais tu pourrais sans l’ombre d’un doute pour ta jumelle. Alors t’attends pas de miracle. T’as juste l’espoir d’arriver à te sauver, même si t’es le seul qui pourra le voir. Avec un soupir, tu détaches ton regard de la porte pour le fixer sur l’horloge murale. Il est bientôt l’heure de la fermeture. Ça te soulage sans te soulager. Il faut que tu rentres chez toi mais t’es pas encore prêt à tout avouer, pas maintenant, pas ce soir. Tu vas laisser traîner encore et encore jusqu’à ce qu’il soit trop tard, tu le sais. Pourtant il faudra bien qu’Anthéa comprenne. C’est fini. La vie dans le luxe, la position privilégiée, le but même de ce mariage. C’est terminé. Et elle en sera la première victime. Tu débarrasses les tables, passe un coup avec ton chiffon, essaie de pas te perdre dans tes pensées. Puis quand les quelques clients qui restaient semblent s’essouffler tu fais ton annonce. « On ferme dans cinq minutes les amis !» ça râle un peu, mais sans grande conviction, et toi tu les ignores. Ils finissent par payer, et en dix minutes vous finissez de ranger. Le ménage sera fait le lendemain matin. Une routine qui finira par te manquer, sans doute. T’éteins les lumières, souhaite du repos à ton collègue, puis tu fermes boutique avant de te diriger vers ta voiture. Tout ce que tu veux c’est dormir, mais sans doute que c’est encore trop demandé, alors tu te contenteras de fixer le plafond, comme d’habitude.

FIN.
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