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 MONSTER

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Òscar Macbeth Lightwood
« I'm only a man with a candle to guide me »


Mes parents m'ont appelé Òscar Macbeth Lightwood ! Je suis né le premier décembre à Inverness, Ecosse. Je suis un élément de vingt-huit ans ans. Pour plus de précisions, je suis hétérosexuel et présentement célibataire. Je suis fier de dire que je travaille en tant que barman , ça m'aide à payer mes factures. Je suis d'ailleurs plutôt à cran à la fin du mois On me dit souvent que je ressemble à Kit Harington, mais en mieux, quand même. Une dernière chose, je fais partie du groupe Les êtres de la Terre, et plus précisément je suis un wendigo  MONSTER  2402467468 .

Les petits détails


I. Il se fait rarement appelé par son premier prénom, Òscar, préférant le second qu'il trouve plus poétique *you poetic little sh.t* et adapté à sa race. Tendance meurtrière, tout ça, on est dans le thème.

II. Bouffer de la chair humaine ne l'empêche pas de profiter des bonnes choses, comme les oreos. Ne vous mettez jamais entre un paquet d'oreos et lui. Jamais. (nb : son addiction au sucre est inquiétante)
    
III. Son air bougon disparaît souvent avec un verre de scotch écossais
   
IV. Il fanfaronne souvent sur sa moto récemment acquise. Un petit plaisir dans ce monde de brute  

V. Fortement dyslexique, il n'a jamais suivi le cursus scolaire "normal" et a baissé les bras lorsqu'il avait treize ans. Sa scolarité n'a jamais été sa priorité au vu de son illettrisme jugé irrécupérable par ses propres mots  
 
VI. Il a commencé à travailler à quinze ans, enchaînant les petits boulots mal-payés jusqu'à ce qu'il atterisse au pub. Il y travaille depuis sept ans  

VII. Mac est plutôt ce qu'on appelle communément "une bonne pâte" : il s'adapte à tout et à tout le monde, sa présence est souvent recherchée et appréciée par ceux qu'il connaît bien. Mais faut pas déconner : comme toute personne humainement constituée, il y a un level à ne pas franchir , celui de la malhonnêteté qui conduit bien trop souvent l'homme à manipuler un tiers. C'est un trait qu'il a en horreur. (cette particularité s'applique dans les bons jours, ceux où il se montre en public)

VIII. Il est plutôt doué avec un piano, ce qui dénote avec son hyperactivité car c'est en général une pratique qui doit être calme, posée et demande de la patience. Ce qu'il n'a en principe pas. Mais l'instrument le fascine et trouve le solfège tant complexe que c'est son cerveau qui passe en mode hyperactif et absorbe toute son énergie.

IX. Il doit toujours garder son corps et son esprit occupés, est toujours à la recherche d'une occupation, c'est un touche à tout. Il a plusieurs hobbies comme la course à pied, le sudoku (non, les chiffres ne sont pas incompatibles avec la dyslexie), les échecs, la boxe, le bricolage et la réparation mécanique.

X. Il a eu peu de relation amoureuse. En fait c'est relativement proche de zéro. Quelques flirts, quelques coups d'un soir, mais il n'a jamais eu le cran d'introduire une femme dans la folie qui lui bousille le cerveau.

XI. Il a bien longtemps essayé de détester les chasseurs, peu importe qui ils étaient. Mais la conviction que chacun était différent s'est imposé à lui. Malgré la rancoeur qu'il devrait éprouver envers eux, il n'y arrive pas.  
caractère


I. A l'écoute, qualité numéro un d'un barman et qui lui assure souvent de bons pourboires. On peut ajouter à ça une qualité indéniable de bons conseils qu'il prodigue à qui le lui demande. A force d'observer le genre humain, il cerne bien la psychologie et guide l'amoureux éconduit à trouver la manière de se sortir de sa misère alcoolisée et amadouer l'élu/e de son coeur

II. Protecteur, qualité du grand frère aux airs paternels, il déteste la plupart du temps voir les gens souffrir. Il n'hésite pas à s'ériger en tant que protecteur et gardien de la personne qu'il apprécie. Ou pas, d'ailleurs.

III. Juste, l'injustice étant détesté de sa part -au même titre que la malhonnêteté-, il tient tête quand il pense que c'est nécessaire.

IV. Séducteur, il en use pas mal. Y a pas de mal à se faire du bien.

V. Violent, plus par crise de violence qu'il essaie de retenir le plus possible. Dans la mesure où il n'est pas franchement seul aux commandes, la violence de son comportement surprend ceux qui le connaissent bien, quand ils connaissent la raison ils ont tendance à laisser passer l'orage en attendant qu'il reprenne ses esprits.

VI. Borné. A la fois qualité et défaut de la famille Lightwood.

VII. Réfléchi, il n'a jamais su dire si c'était un défaut ou une qualité. Certaines situations requièrent une impulsion franche et naturelle alors que d'autres demandent effectivement une réflexion. Lui se trouve dans la partie 2 : en cas d'urgence il va réfléchir, plus ou moins vite ; en cas de crise ... idem.

VIII. Maniaque, chaque chose à sa place. C'est la seule chose sur laquelle il a une maîtrise totale.

IX. Bienveillant

on ne change pas le passé

Acte I. Une pensée, émue et larmoyante pour ceux qui ne connaîtraient jamais la chaleur des bras maternels, ceux comme Òscar et Alana qui en naissant laissaient la mort derrière eux. Une mort pour laquelle ils seraient tenus responsables jusqu’à ce que la dernière heure de leur bourreau se termine et emporte avec elle la rancoeur d’un homme qu’ils appelaient « père » seulement par convenance.
L’ignorance, un tel fardeau pour deux âmes qui ne distinguent ni le bien, ni le mal, deux innocents qui ne peuvent dégager l’horreur des maltraitances subies et sont salués par des quolibets, des insultes, des humiliations, lorsqu’ils demandent « pourquoi ».
Pourquoi leur vie ne ressemble pas à celle des autres, cette vie qu’ils voient au loin lorsqu’ils regardent à travers la fenêtre. Pourquoi ils sont privés d’une liberté qu’ils ne connaissent pas mais désirent tant. Pourquoi leur lieu de vie étouffe, petit à petit, devient étroit par l’ajout de nouvelle vie. Les leurs, celle volatile de leur géniteur, de ses « amis » de passage, de nourrissons que les gamins devront élever eux-mêmes. Dommages collatéraux des nuits de beuverie d’un père qu’ils partagent et d’une mère pour la plupart inconnue.
Sept. Sept enfants Lightwood qui se partagent pour l’essentiel un appartement en rez-de-chaussé et vivent sur certaines aides locales qui leur sont accordées. Un père absent la plupart du temps, qui n’hésite pas à utiliser l’affection que demandent ses enfants comme moyen de pression ou de manipulation. Des femmes qui se font appeler « mère » qui passent de temps à autre voir leur progéniture, pour se donner bonne conscience. Le développement social essentiel et critique est erroné, affaibli par un mode de vie qui ne connaît qu’un faible foyer de chaleur humaine : les ainés Lightwood.
Ils vivent dans une époque numérique, s’ils ne vont pas dans le monde extérieur, c’est lui qui vient à eux par le biais des écrans qu’ils côtoient. Ils savent ce que c’est, ce qu’ils sont. Humainement, ils sont invisibles, nuisibles. Ils n’ont pas conscience de leur potentiel, ni de ce qu’ils peuvent accomplir. Ils sont tenus à l’écart de la vie par la peur qui leur a été inspirée de ce monde extérieur. Un monde dangereux, dans lequel ils n’ont pas leur place, dans lequel ils seraient considérés comme des monstres. Honteux, devant fuir pour ne pas mourir. Une seule éthique chez les Lightwood : se cacher et survivre, se montrer et mourir.
Personne n’a pris le temps de leur expliquer que dans leur différence invisible résidait leur force.

Acte II. Il avait treize ans. Aucun signe ne s’était présenté à eux jusque là de leur nature anormale, unique.
L’invocation s’est faite par hasard. Un hasard poussé par l’ennui que leur procurait cet enfermement constant et l’isolation d’un monde qu’ils voulaient parcourir. Un livre sous le matelas de la chambre paternelle, ce lieu qui leur était interdit, leur semblait être un trésor exotique ; quelques mots étaient griffonnés, tachés d’encre et de traces de doigts. Oscar ne pouvant les lire, c’est Alana qui s’en chargea. L’apparition les terrifia tout aussi bien qu’elle les fascina. Cet être se dressait devant eux, fièrement, dans un naturel qui leur semblait être venu d’un autre monde que celui dans lequel ils évoluaient tant bien que mal. L’invocation étant bancale, l’apparition fût brève.
Mais cette apparition ne fût pas le seule à les surprendre. Celle, soudaine, de leur paternel leur flanqua une frousse encore plus grande. Menaçant, imbibé d’alcool jusqu’à la moelle, il ne prit le temps que de molester deux ados sous les yeux implorants de leurs frères et soeurs. Ce jour là, ils ne retinrent qu’une leçon : la curiosité est malsaine.
Leur salut vint d’une femme qui se présenta à eux sous le nom de Marlène. Leur tante maternelle. Elle avait essayé de les retrouver toutes ces années qui avaient suivies la mort de sa propre soeur jumelle, mais le père des enfants avait pris soin de changer son patronyme et son adresse. La tâche avait été ardue, mais la détermination familière d’une femme aimante les sauverait.
L’horreur décomposa son visage quand a fratrie lui expliqua ses conditions de vie. Des conditions inhumaines, intolérables et détestables qui pointaient le véritable monstre de la famille : le géniteur des sept enfants emprisonnés dans un taudis bouffé par les nuisibles.
Il s’avéra que leur père était un chasseur qui avait un penchant pour les créatures surnaturelles. Sacré penchant, sacré numéro. Tout son chemin était écrit noir sur blanc sur un carnet qu’il tenait dans sa chambre. Si la séduction des créatures surnaturelles avaient été son point de départ -suivi d’une humiliation en règle-, l’engendrement de bambin n’avait été qu’un contretemps qu’il avait mis à profit. Suite à la naissance, il enlevait les enfants en faisant du chantage à leur mère pour les garder. Non, il n’avait jamais eu l’envie d’avoir des enfants autre que ceux de sa femme, la mère d’Oscar et Alana, mais suite au décès de celle-ci et des gènes surnaturels qu’il tenait pour responsable de sa mort, il était devenu fou et s’était mis un point d’honneur à humilier les autres races surnaturelles qu’il pourrait. Pour de nombreuses femmes, les inconnues des enfants, celles qui n’avaient pas engendré, c’était passé par la mutilation et autres joyeusetés … Le sadisme était écoeurant, insupportable.
La vie de leur paternel se termina misérablement. Marlène lui infligea une mort lente et douloureuse, une mort qu’il méritait pour tous les crimes commis, la maltraitance sur autrui et les atrocités commises sur ses propres enfants.
La fratrie suivit sa nouvelle bienfaitrice sans mot dire, voyant cette opportunité comme une bénédiction, non sans éviter quelques séquelles post-traumatiques.
Ils atterrirent en Irlande une semaine plus tard, ils découvraient pour la première fois « l’extérieur », ce monde merveilleux qui leur avait été interdit pendant trop longtemps et qui ne cessait d’émerveiller leurs sens.

Acte III. Ils étaient vivants. Bien vivants. Et heureux, par dessus toute chose. Ils n’étaient plus les enfants trouvés dans un taudis à l’abandon, à la santé instable, aux os saillants et à l’esprit éteint. Ils vivaient cette nouvelle vie pleinement, par peur que tout s’arrête, leur soit repris, qu’ils repartent d’où ils viennent. Certains des Lightwood avaient domptés cette peur, d’autre ne pouvaient s’en départir et hantait leur nuit. Mais ils étaient ensemble, c’était l’un des points les plus importants.
Oscar et Alana étaient tous deux enfants de magicien, leur mère. Cette femme qu’ils n’avaient pas connu mais qu’ils voyaient à travers leur tante, cette femme qui dispensait sans compter tout l’amour dont elle était capable à l’égard de cette fratrie qu’elle avait pris en affection au delà du geste humain.
C’est cette même femme qui leur donna la formation nécessaire, celle qui leur permettait d’embrasser leur nature, non sans mal au premier abord. Alana était bien plus doué que son frère et elle prit rapidement le coup. Oscar, beaucoup moins. Il était même plutôt à la traîne malgré ses innombrables efforts pour se fondre dans un moule auquel il voulait correspondre entièrement, celui auquel il se pensait destiné.  Forcer la nature est souvent une chose qui ne donne rien de durable. Il ne lui en voulait même pas, à vrai dire. Il la voyait si épanouie qu’il partageait son nouvel univers bien qu’il n’en soit pas à cent pour cent. C’est à la même époque qu’il a décidé de totalement laisser tomber sa scolarité. Jusqu’ici, elle n’avait été qu’un tumulus tortueux, et avaient véritablement découvert l’institution lorsqu’ils avaient été délivré. Mais une dyslexie qui n’a pas été suivie et qui s’est aggravée durant l’adolescence ne lui a laissé aucune chance de survie scolaire. S’occuper l’esprit, les mains, c’était d’une importance capitale pour qu’il ne perde pas pied. Sa vie passée le rattrapait et accaparait ses pensées, le plongeant dans un état de transe statique qui lui faisait revivre les pires moments, sentant les coups sur sa peau, les mots résonnant dans ses tympans, mais il était paralysé, incapable d’empêcher cette transe. Plus incapable de rester dans cette paralysie qui lui bouffait le corps et l’esprit, il commença à travailler. Des métiers techniques, manuels, qui ne demandaient qu’un travail mécanique mis bloquait toute immobilité psychologique. Son esprit fusait, son corps se mouvait de mieux en mieux.
Ses muscles s’étaient développés. Il avait maintenant vingt ans et déjà cinq boulots à son actif. Il est loin encore le temps où il sera un être surnaturel exceptionnel et reste dans l’ordinarité frustrante qui le sépare de ceux qu’il aime. La fratrie Lightwood a plus ou moins trouvé son équilibre dans cette ethnicité surnaturelle qui la rend unique. Ils sont libres et sains. Chacun décide de sa vie, de son équilibre. Mais il est connu que la stabilité ne dure qu’un temps avant de s’effondrer.

Acte IV. Il est tard, cette nuit là. Il rentre du boulot, exténué, les mains pleines de suif, endolories, éraflées. Mais il tient debout, heureux, il ne laisse plus la noirceur occuper son esprit. Il gagne. Il gagne sa vie, sa liberté, ses droits, ses choix. Il n’est plus l’enfant terrifié qui protège ses frères et soeurs contre l’abus d’un tyran, il n’est plus l’ado dépassé par son passé et essuyant les échecs de sa nouvelle vie.
Ses sens s’affolent, passer le pas de la porte amène son lot de sentiments contradictoires, un courant d’air froid lui passe sur la nuque, ses poils s’hérissent. La maison, cet endroit familier qui amène la chaleur dans son corps et son esprit, est silencieuse. Aucun mot, aucun geste, personne n’est présent. L’obscurité à envahit le foyer, éteint le feu qui crépitait dans la cheminée et emporter les rires des plus jeunes pour ne laisser qu’un silence pesant.  « Alana ? », aucune réponse de sa soeur, l’écho de sa propre voix lui répond. Ses pensées se confondent dans une mêlée qui met la cohérence à mal. Il avance, ses gestes sont mécaniques. Il passe toutes les pièces en revue, personne ne se met dans son champ de vision. Il monte à toute vitesse à l’étage en criant les noms des membres de sa famille, désespérément. Ce pressentiment terrible s’est insinué dans ses veines et lui a glacé le sang. Il est vide.
Dans l’obscurité se dessine l’horreur.
Des corps inanimés, des traînées écarlates maculent les murs et le sang. Il s’approche d’un des corps. Marlène. Sa gorge a été tranchée, ses yeux sont exorbités. L’agonie passe encore sur son visage, le sang macule tout son corps. Il referme ses yeux, lentement. Aucune émotion ne passe sur son visage, sa gorge est nouée. Il passe au corps suivant, l’une de ses soeurs,blessée et inanimée. Elle vivra.
Un cri, un appel à l’aide.
Il laisse sa soeur pour monter au grenier. Alana tente de protéger sa vie et celle de ses frères et soeurs, pétrifiés face à un inconnu. Il ne le voit pas, profite du moment de faiblesse de la jeune femme pour se jeter sur elle et enfoncer son arme dans son corps. Le reflet de la lame jette des éclats rubis dans le pièce éclairée par le clair de lune.

Il ne se souvient pas bien du reste de la scène.
Juste la colère qui l’a envahit et les mots qui lui sont venus. Ceux qu’il a prononcé pour mettre fin à la vie de l’inconnu. Un chasseur. Oscar n’avait jamais invoqué la magie jusqu’à ce jour. Mais ses mots étaient incorrects. S’ils ont eu le but espéré et ont fait exploser la menace et blessé les membres de sa famille présents, ils ont aussi invoqué un djinn qui a pris possession de sa personne.
La faim, le sang … Seules pensées cohérentes qui envahissaient son esprit lorsqu’il s’est réveillé. Une faim grandissante, une faim qu’il n’avait pas connu jusqu’alors. Une présence. Envahissante, invasive, l’entraînant sur une pente dont il ne connaissait pas l’inclinaison.

Acte V. Il regardait la maison de loin. Toute sa famille était là. Sauf lui. Depuis qu’il était devenu un autre, il avait déserté pour ne plus faire de mal à quiconque. Sa stabilité réactionnelle n’était pas viable, pas encore. Il travaillait dessus sans relâche, allant jusqu’à prendre un boulot dans un bar pour l’y aider. Ses sautes d’humeurs et la violence soudaine qui s’emparait de lui le desservait, personnellement, professionnellement. Il n’était plus que l’ombre de l’homme qu’il avait été, esseulé, se battant constamment pour la stabilité de son esprit, pour rester maître de lui-même et combattre la faim qui le taraudait de tuer.
Il ne comprenait toujours pas comment le chasseur avait trouvé la maison, mais le repère surnaturel qu’était la ville représentait un terrain de chasse exemplaire pour assouvir des pulsions ancestrales et héritées. La prudence n’avait jamais été leur devise, ils comptaient désormais deux membres de leur famille en moins et portaient leur deuil sans cesse. Mac s’en blâmait chaque jour, portant la responsabilité de cet évènement alors qu’il avait été imprévisible. Sa seule fierté avait été d’éliminer l’intrus avant qu’Alana, l’autre moitié de son âme, la personne avec qui il avait tout partagé, toute sa vie, ne soit tuée aussi sauvagement que leur tante.
Il n’avait jamais été un magicien averti, mais ce jour là il avait réussi pour sauver la seule chose à laquelle il tenait plus que sa propre vie : sa famille.
Le sacrifice fait, la douleur, l’incertitude endurés aujourd’hui valent la peine.  

Derrière l'écran

Salut, toi  :yoda: Vuquejesaispasquoidire je vais juste t'informer de mon petit nom (Lucy), de mon âge avancé (21 ans) et t'informer de mon goût prononcé pour (attention, ça va être long) le chocolat, le cinéma, l'Histoire -avec un grand 'H'-, les tutos DIY, la création et l'élaboration de costumes, les classiques littéraires de l'époque shakespearienne et ceux du XI-XIII ème siècle (ouais, aucun rapport), les vidéos de chat, Bob Morley et la procrastination intensive. Le mélange est assez sympa, je vous l'accorde (non, je déconne).  MONSTER  1714186267  
Un petit mot sur le forum : j'en suis tombée raide dingue. De un, ça se passe dans ma patrie d'adoption, de deux ce surnaturel fichtrement bien développé et pensé, ça m'émoustille  MONSTER  3221233331  MONSTER  575596807 *merci de prendre ceci au second degrés*  MONSTER  1116555643  
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Je dis ça. Mais on as un Hamlet sur le fo MONSTER  118876108 (qui as une longue chevelure aussi MONSTER  118876108)

TOUT CAS! BIENVENUUUUE MONSTER  3764945929

Et plein de courage pour ta fiche MONSTER  2077382092
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Sayanel Z. Pritchard
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KIIIIIIIIIIIIIIIIIT MONSTER  2981188539
WENDIGOOOOOOOOOOOOOOO MONSTER  2077382092
Bon SINON, y a un truc que je voulais dire qui m'a fait trop rire ... Mon premier compte s'appelle Hamlet ... Voilà, Hamlet / Mcbeth ... TOUSSA TOUSSA MONSTER  1579509432
Si tu as des questions n'hésite pas et il nous faudra des liens MONSTER  379025902

(kye t'es une voleuse de réflexion PF, heureusement que t'es mignonne )
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Sweet Jesus, j'avais même pas vu MONSTER  84095573 C'est déjà rare de voir un prénom shakespearien, alors deux :oook: (on va former une super belle équipe MONSTER  2981188539 MONSTER  2981188539 MONSTER  2981188539 ) Merci pour l'accueil
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entre djinn et wendigo mon pote, on va tout faire cramer MONSTER  1116555643 (en plus au recensement il a perdu son copain wendigo, moi je dis on se fait une nouvelle team MONSTER  1159721841 )
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Nah. Mais il meurt dans pas long tho MONSTER  118876108
(En fait, tu le sais pas mais tu viens de débarquer sur un fo' de sadique MONSTER  1116555643)

(Cas : Mais je je le sais que je suis mignone mrrr MONSTER  2077382092)
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Il a le temps encore, tu peux le laisser vivre un peu stp ? MONSTER  3759818440 (il faut qu'il règle son compte à son magicien d'abord MONSTER  1116555643 )

(mais oui on aime bien se tuer des fois, genre là Gaïa est en train de mourir, par exemple. Tout de suite, d'ailleurs, actuellement.)
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Castiel Ó Murchú a écrit:
entre djinn et wendigo mon pote, on va tout faire cramer MONSTER  1116555643 (en plus au recensement il a perdu son copain wendigo, moi je dis on se fait une nouvelle team MONSTER  1159721841 )

Puta*n grave, notre team va dépoter MONSTER  1553370087 MONSTER  1553370087

Skye Kinkaid a écrit:
En fait, tu le sais pas mais tu viens de débarquer sur un fo' de sadique  MONSTER  1116555643
Pile comme je les aime ... MONSTER  2748173677 MONSTER  686602479
*intérieurement MONSTER  2402467468 MONSTER  2402467468 MONSTER  2402467468 MONSTER  2402467468 MONSTER  2402467468 MONSTER  2402467468 MONSTER  2402467468 MONSTER  2402467468 MONSTER  2402467468 *

EDIT : je vais aller de ce pas mater les RP de mise à mort MONSTER  1116555643
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Du coup je me suis dit que Smael allait te faire coucou MONSTER  1579509432 (oui parce que bon le nom du djinn c'est Smael, il aime juste trop Shakespeare MONSTER  3309239086 )
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On tue tout plein de gens et on met nos perso en couple que pour mieux les faire souffrir MONSTER  1116555643 MONSTER  1116555643

Tu vois, t'as trouver le forum parfait MONSTER  3764945929

(L'art de faire fuire les nouveau. NON. PART PAS!)
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