I've got blood on my name + Eldarion L. Grimms

Mes parents m'ont appelé Eldarion Lazarus Grimms ! Je suis né le 23 Novembre à Bray, Irlande. Je suis un élément de 23 ans. Pour plus de précisions, je suis hétéro, bi, homo… J'en ai juste rien à battre et présentement célib. Je suis fier de dire que je travaille en tant que glandeur à temps plein, ça m'aide à payer mes factures. Je suis d'ailleurs plutôt riche depuis que je suis magicien On me dit souvent que je ressemble à Joe Dempsie, mais en mieux, quand même. Une dernière chose, je fais partie du groupe êtres du feu, et plus précisément je suis un magicien.

Eldarion Lazarus Grimms… Je vous jure, ce n'est pas le début d'une mauvaise blague. Quoique, ma vie est un peu une mauvaise blague en elle-même. Bref, j'ai un nom affreusement long et bizarre je sais. On le dirai tout droit sortis d'un bouquin de Tolkien et pourtant mes parents étaient loin d'être des fans de Fantasy. Au grand jamais Monsieur et Madame Grimms ne se seraient abaissé à ça voyons ! Ce serait ternir notre nom et notre réputation par la même occasion. Maintenant, vous avez une petite idée du genre de personne qui m'ont élevé.

Je vous l'accorde, ma vie n'aurait pas eu grand-chose de passionnant si je n'avais pas eu Lala. Mais je vais commencé par le début pour ne pas vous perdre trop rapidement. Je suis né à Bray en Irlande, une petite ville qui ne m'avait jamais semblé des plus exceptionnelles et qui ne me le semble toujours pas, malgré tout ce qu'il s'est passé. Mais je m'égare encore. Mes parents étaient tous les deux avocats, ils s'étaient d'ailleurs rencontré à l'école de droit, mais j'en jamais sur plus leur relation. Tout ce que je sais, c'est que je suis fils unique et qu'ils étaient particulièrement sévère avec moi. Ou tout du moins c'est l'impression qu'ils donnaient.

Et comme je le disais, ma vie n'avait rien d'exceptionnel, j'étais un petit garçon comme les autres qui allaient à l'école, faisait ses devoirs et se faisait gronder par ses parents quand il rentrait plein de feutre ou plein de boue. Bref, rien d'exceptionnel, mais il y avait Lala, ma meilleur amie. La famille de Laoise (car tel est son prénom en entier) était voisine à la notre.  Et si son père voyageait beaucoup à cause de son travail, ils avaient décidé de se poser à Bray quelques années le temps d'élever leur fille. Et je ne peux que les remercier d'avoir choisit Bray. Quand nous nous sommes rencontré avec Lala, nous étions en maternelle, pour vous dire à quel point ça remonte. Le courant et tout de suite passé entre nous, et nous sommes devenu inséparable.

Jamais d'Eldarion sans Laoise ni de Laoise sans Eldarion. Nous étions toujours ensemble, dans les meilleurs comme dans les pires coups. Mes parents étaient peut-être sévères avec moi, ils voulaient toujours que je ramène de meilleures notes, et me punissaient pour mes bêtises. Mais je m'en fichais, j'avais Lala et tout ce qui m'importait, c'était de passer du temps avec elle et de m'amuser. Au yeux de certains, surtout avec l'âge, notre relation était assez ambiguë. Beaucoup pensaient que si nous n'étions pas ensemble, nous allions l'être sous peu. Mais a vrai dire, l'idée d'être en couple, en nous a jamais effleurer l'esprit. Ou tout du moins ça n'a jamais effleurer mon esprit. A vrai dire, on se considérait plus comme des frères et sœurs. Lala a toujours été la jumelle que j'ai toujours rêvé d'avoir, mais en mieux… parce qu'on s'était choisis.

Les années de collège et de lycée filèrent à une vitesse hallucinante, et je ne doute pas que celle d'études auraient filer tout aussi rapidement si, soudainement, en plein milieu de notre première année à la fac, Lala et sa famille n'avaient pas décidé de partir. Je n'ai jamais su pourquoi ils étaient partis aussi vite. Mais je me souviens parfaitement de cette semaine où Lala n'a pas cessé d'être anxieuse, jusqu'à m'avouer qu'elle allait devoir partir avec ses parents, loin de l'Irlande et donc loin de moi. Et le lendemain, ils étaient partis. J'avais bien essayer de poser des questions, mais personne n'arrivait à me trouver de réponse valable. Il n'y avait que mes parents qui semblaient heureux de ce départ. Après tout, de leur avis, Lala avait toujours eut une mauvaise influence sur moi.

Depuis mon seul et unique rêve était de partir. J'avais toujours voulu quitter Bray. Lala partait souvent en voyage avec ses parents et me racontait tout à son retour, ce qui m'avait donné envie de partir de cette petite ville perdue pour voir le monde. Mais là, j'en avais envie plus que tout. Après tout, j'atteignais presque mes vingts ans et je voyais pas pourquoi, tous les gosses de mon âges pouvaient partir faire des études qui leur plaisent ailleurs alors que moi je devais rester à Bray à étudier le droit sous obligation de mes parents. C'était injuste. Et maintenant que Lala n'était plus là, plus rien ne me retenait ici. Je me rebellais donc véritablement contre mes parents pour la première fois de ma vie. OK, j'avais déjà eut des accrochages avec eux, mais pas à un degré pareil. Pendant plusieurs jours j'avais sous-entendu que je voulais partir, mais sans réponse de la part de mes parents. J'ai donc fini par prendre le taureau par les cornes et dire clairement ce que je souhaitais. Ce qui est très mal passé. Je me suis violemment disputé avec mes parents ce soir là.

Je n'avais jamais été particulièrement proche de mes parents, la famille ce n'était pas franchement notre truc à vrai dire. Mais cette dispute m'affecta bien plus que je ne voulais le croire. Les jours et même les semaines qui suivirent furent des plus difficiles pour moi. Loin de Lala, l'incapacité de la rejoindre, cette montée de tension avec mes parents… Même si je pouvait toujours parler avec ma meilleure amie par sms, appel et internet, je me sentais plus seul que jamais. Je passais mes journée enfermé à ne vouloir voir personne. Je mangeais peu, je dormais beaucoup, et je n'avais envie de rien. J'étais dans un état pitoyable et ce n'était pas beau à voir. Aujourd'hui je me dis que j'ai été bête de m'être laisser aller ainsi. J'aurais pu faire quelque chose, j'aurais du faire quelques choses.

Évidemment, tout cela ne fut pas sans inquiéter mes parents, après plusieurs jours où je refusais tout aide, je finis par me laisser convaincre et laissai mes parents me traîner chez un psychologue. Enfin, une psychologue pour être exacte. Les premières séances ne furent pas bien concluantes, mais je n'y mettais pas franchement du mien non plus. Je voulais simplement changer de vie. J'en avais marre d'avoir mes parents sur le dos H24, j'en avais marre d'être loin de la seule personne qui comptait vraiment pour moi, j'en avais marre de faire des études que ne n'aimait pas, j'en avais marre de ne pas avoir une seule motivation dans ma vie, j'en avais marre d'être un cas désespéré. Ma relation avec ma psychologue a donc commencé à partir de là, quand j'ai pris conscience de tous ça. Part relation, je n'entends rien de sentimentale ou de physique voyons ! C'est à partir de là que j'ai commencé à lui faire vraiment confiance et qu'elle aussi je pense…

Je n'étais plus au bord de la dépression grâce à ma psychologue, Arabella. Ces séances avec elle m'aidaient vraiment et m'aidèrent encore plus quand elle me révéla qu'elle avait peut-être un moyen de m'aider efficacement. C'est comme ça que j'ai appris petit-à-petit (évidemment), l'existence de la magie et de tout le monde surnaturel en général. J'eus du mal à y croire, bien sûr, mais Arabella arriva à me persuader et à me prouver que tout ce bazars était vrai, qu'il ne s'agissait pas de simple histoire pour faire peur aux enfants. Arabella était une magicienne, apparemment c'était un don qu'elle avait hérité de sa mère. Et elle n'avait jamais ressentit le besoin de transmettre à son tour ce qu'elle savait avant… Et bien avant de me rencontrer de ce que j'ai compris.

Il faut dire, je ne comprends pas toujours comment les choses m'arrivent, elles arrivent c'est tout. Mes séances chez ma psychologue ont finis par se transformer en cours de magie régulier. Je n'avais pas retrouvé Lala, ni une relation stable avec mes parents, mais j'avais autre chose à quoi m'accrocher. De toute ma scolarité, je n'avais jamais été aussi passionné par un domaine que je l'étais pour la magie. J'étais intrigué par tous ces mystères, ce qui pouvait bien se cacher derrière ces paroles étranges, ces sorts, ces cercles étranges, ces pentacles. En parallèle de mes séances avec Arabella, j'allais toujours en cours, histoire que mes parents me fichent la paix. Mais je passais plus de temps à la bibliothèque à étudier la magie que le droit.

Deux années s'écoulèrent ainsi, j'avais tout de même redoublé ma seconde année en droit, mais je n'avais pas cesser mes études. Mais il faut croire que ma vie n'est qu'un cercle d'événement qui continue de se reproduire encore et encore. Un jour, je reçu un coup de fil de la part du cabinet d'Arabella qui m'annonça que la psychologue avait disparue, comme ça. Personne ne savait pourquoi, c'était étrange, mais apparemment cette femme ne connaissait pas grand monde d'autre en ville en dehors de ses clients. Ou tout du moins, elle n'avait personne d'assez proche à Bray pour qu'ils aient idée de prévenir la police et ouvrir une enquête. J'aurais pu le faire, j'aurais peut-être même du le faire. Mais au lieu de ça, je me laissais retomber… Me retrouvant de nouveau incapable de faire quoique ce soit d'autre que de rester dans mon lit à attendre que le temps passe.

Quoique, cette fois-ci, j'avais mes livres de magie avec moi. Donc il y avait certains instant où je sortais de mon lit pour me plongé dans ma lecture et dessiner quelques pentacles. Cette fois-ci ce furent pendant plusieurs mois que mes parents me laissèrent ainsi. A vrai dire, c'était les vacances, j'avais fini mon année que j'avais superbement ratée… Du coup, je n'avais plus a aller en cours pendant un certain temps et il faut croire que mes parents se fichait bien de mon état pendant tout ce temps. Il fallu attendre jusqu'au mois d'Août pour une mes parents se souviennent de moi apparemment. Et cette fois-ci, ils étaient bien décidés à me faire bouger. Mais cette fois-ci, moi aussi j'avais un plan en tête.

J'avais passé des semaines à plancher dessus. Mes parents ne voulaient pas que je partent, ils voulaient me garder enchaîner à vie dans cette maison. Mes connaissances en magie n'équivalaient pas cette d'Arabella ou de tout autre sorcier confirmé, mais cela ne m'empêcha pas d'avoir idée d'invoquer un génie. Enfin un djinn. Mais au début je n'avais rien à part un nom : Smaël. Mais ça ne m'a pas empêcher d'ouvrir ce vieux grimoire que j'avais trouvé au fin fond de la bibliothèque municipale, de prononcer les formules et dessiner les pentacles avec un soin particulier. Oui, je n'avais jamais été un bon élève à l'école, mais en magie c'était différent, j'étais bien plus appliqué que dans n'importe quel domaine. C'est alors qu'il est apparu. Mon djinn, même si je n'étais pas sûr de ce que je faisais, j'étais bien sûr de ce que je voulais. Je voulais que mes parents me laissent définitivement tranquille et je n'attendis pas une seconde avant de transmettre mes désires à mon djinn. Après tout, il était là pour ça. Arabella m'avait appris que les génies étaient là pour servir les magiciens.

Cependant, tout ne se passa pas comme prévu. Je voulais simplement maintenant mes parents à l'écart, qu'ils me laissent vivre ma vie. Mais au lieu de ça, Smaël les tua froidement sans aucune force de procès. Choqué de ce qu'il venait de se passer, je fus plus perdu que jamais. Je me rendis compte que je ne savais rien de la magie et que j'avais sans doute fait une connerie énorme en invoquant ce vieux nom sans savoir d'où il venait. Surtout que le Djinn ne semblait pas des plus heureux d'être ici. Mais j'étais incapable de renvoyer Smaël. Non pas parce que je ne savais pas comment faire, mais parce que j'avais peur de me retrouver seul. Puis je me sentais bien trop coupable aussi. C'est con, mais c'est comme ça. Au final, il me fallu bien plusieurs semaines pour me remettre de mes émotions. Cette fois, il n'était plus question de se laisser sombrer dans un semblant de dépression. J'avais trop peur que Smaël… Enfin Hamlet, utilise de nouveau mes faiblesses contre moi pour ça.

J'ai donc commencer à tirer parti de mon invocation, lui réclamant des tâches banales et même parfois ingrates, comme aller me chercher des vieux grimoires qu'on pensait disparut ou des objets puissants qui avaient appartenu à des sorciers. En ce qui concernait mes parents, j'étais tellement perturbé que personne n'eut de mal à croire qu'il s'agissait d'un cambriolage qui avait mal tourné. Il faut dire aussi que les voisins me connaissaient bien et ils savaient que j'étais un gosse inoffensif. Certes, j'avais de mauvaises relations avec mes parents, mais pas au point de souhaiter leur mort. J'ai donc hériter à la fois de leur maison et de leur petite fortune. Cependant, cela ne signifie pas que je ne me sens pas coupable pour leur mort. Mais à présent, j'étais bien sûr de plus pouvoir quitter Bray. Ce serait bien trop suspect et… Et je ne voulais plus causer de dégâts. De toute façon, ce serait pour aller où hein ? Rejoindre Lala ? Elle était bien plus en sécurité nulle part ailleurs que dans cette petite ville sans intérêt.

C'est toi le vieux nom èé ( oui je me répète désolé APPAREMMENT JE SUIS VIEUX)
BREF, trêve de plaisanterie, merciiii de prendre ce mini scénario Alors même si t'e un flemmard et que du coup t'as laissé passer plein de fautes d'inattention, ton histoire elle dépote (j'ai beaucoup aimé le surnom Lala, t'as mal vécu tes années Télétubbies?) J'aime le génie de Hamlet (oui bah quoi? Je m'aime ...) et comment t'as tourné ça, et puis JOE QUOI. JOOOOE. Donc du coup je te valide à deux cent pour cent parce qu'on va pouvoir se faire des rps de fou
Oublie pas de faire un tour près des orgas si y a un truc qui te tente !

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