Who is Who ? } Nathanaël A. Eschbacher [Terminée]

Mes parents m'ont appelé Nathanaël Anthon (mon premier prénom) et Eschbacher ! Je suis né le 25 Décembre 1989 à quelques part en Angleterre mais dans les papiers il y a marqué Orphelinat de Lancaster. Je suis un élément de 27 ans. Pour plus de précisions, je suis bi mais plus hétéro" et présentement célibataire que voulez vous .... Je suis fier de dire que je travaille en tant qu' acteur,  prof' de théâtre dans une association de Bray et intervenant dans des classes d'école primaire, ça m'aide à payer mes factures. Je suis d'ailleurs plutôt modéré grâce à mes boulots et à l'aide parfois de mes parents. On me dit souvent que je ressemble à Eddie Redmayne., mais en mieux, quand même. Une dernière chose, je fais partie du groupe des êtres de l'eau, et plus précisément je suis un grindylow   .

Quand j’étais petit, on m’a toujours dit de ne pas m’approcher trop près des lacs, des mares, de tous points d’eaux surtout la nuit sous prétexte que des créatures maléfiques enlevés les enfants surtout la nuit. Pour être honnête, je n’y ai jamais cru, et ce n’était pas une chose qui m’effrayait. Après tout, je me disais que rien ne pouvait m’arriver de pire que ce que je vivais présentement. On m’avait abandonné à la naissance et j’étais passé d’établissement en établissement pour finir ici, dans un orphelinat de la ville de Lancaster, digne surtout de ces films d’horreurs où les bâtisses sont délabrées et non d’un endroit charmant du XXIe siècle. Mais bon, quand on a cinq ans, on ne voit pas réellement les choses sous cet angle. De ce que je me souviens réellement, ce ne sont que des sensations, de la peur, de l’angoisse et du malheur. Oh je ne m’apitoie pas sur mon sort, ce n’est pas dans ma nature, cependant je le dis en tout honnêteté, je n’ai pas commencé ma vie dans une très bonne optique. De plus, nos « gardiens » avaient la gentillesse de nous rappeler que nous n’étions que des batards, et que bien entendu nous n’aurions jamais du survivre. Génial n’est-ce pas.

Néanmoins, même si le tableau que je vous dresse est particulièrement noir, il y a eu dans cette enfance humaine une lumière que j’ai eu la chance de retrouver par la suite, mais chut c’est spoiler. Donc, cette chose qui m’a donné quelques sentiments positifs s’appelle Alexandra. Nous nous sommes rencontrés comme dirait l’autre au bord dudit lac interdit. Elle était seule, pleurant doucement dans ses mains. Alors forcément, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller l’a vu et de la prendre dans mes bras. Oui, comme ça, de but en blanc, déjà gamin j’étais un grand séducteur … et déjà je me prenais des monstrueux râteaux. Elle m’a repoussé si violemment que je suis tombé en arrière … dans le lac. Personnellement ça ne m’a pas trop dérangé, enfin je veux dire, j’ai toujours eu une sorte d’attirance pour l’eau, alors faire trempette en plein été n’est pas une chose désagréable. Par contre, Alex’ a eu tellement peur, vous comprenez, elle y croyait dur comme faire à ces histoires qu’elle n’a pas hésité une seule seconde pour me sortir de là, même si je n’en avais aucune envie. A partir de ce moment-là, une amitié aussi dure que du teflon nous as lié. Si vous cherchiez l’un de nous, vous pouviez être quasiment certain qu’il serait avec l’autre. Dire que nous avions fait les 400 coups n’est qu’un petit euphémisme, rajoutez plutôt un zéro derrière pour comprendre les petites terreurs que nous étions. Dites vous-même que nous dormions régulièrement ensemble, alors que bien entendu c’était formellement interdit. Enfin, on le faisait plus couramment depuis le drame qui s’était passé.

Je dois vous avouer, qu’à ce moment-là, quelques mois avant mon sixième anniversaire, la peur commençait à me prendre. Mais c’était surtout Alexandra qui était terrorisée, alors je me devais de la protéger. Mais bien sûr, vu qu’apparemment mon destin avait décidé de me troller, j’ai perdu la seule personne que j’aimais dans cette vie. Vous voulez savoir ce qui nous effrayait tant ? Un garçon c’était fait enlevé quelques semaines plus tôt par la dame de la cantine. La police a dit que c’était elle la responsable parce qu’ils l’avaient vu deux jours après dans un autre endroit de la ville pour finalement perdre sa trace à l’orée d’un grand parc dans une des villes du Yorshire. Exit les histoires de créatures magiques, voilà la preuve que les psychopathes sont dans la réalité. La sécurité de l’orphelinat a été renforcé, les sorties interdites et tout le tutti quanti. Mais voilà, comment voulez-vous que nous résistions à l’envie de fouler l’herbe du champ qui nous appelez derrière ces murs, ou encore l’eau brillante du lac qui scintillait sous la lune ? Mission impossible.

Je me rappellerais sans doute toute ma vie de ces deux épisodes que je vais vous raconter. Un souvenir parfait tant les émotions que j’ai vécu étaient fortes, gravés à tout jamais dans ma chair. Nous avions décidé de faire le mur pour profiter encore un peu de cet été indien qui continuait jusqu’en milieu septembre. C’était génial, nous courions comme des petits fous, et je faisais tout pour apaiser les craintes d’Alex, quand à la possibilité qu’on se fasse soit punir par les surveillants, soit enlever par un détraqué. Le soleil n’était pas encore totalement couché et le paysage était magnifique. Je m’amusais à cueillir des fleurs pour les mettre dans la belle chevelure de ma presque sœur. Tout allait bien dans le meilleur des mondes, mais il a fallu que je vienne tout gâcher. Oui, même maintenant je pense que ce qui est arrivé est de ma faute, alors imaginez quand j’étais un bambin. J’avais trop chaud, je n’ai jamais réellement supporter la chaleur et l’été que l’on venait de passer avait été infernal. Je ne trouvais la paix qu’en me rafraichissant. N’écoutant pas les dire d’Alex’, j’ai commencé à barboter sur la rive du lac, là où j’avais pied. Je m’amusais à l’éclabousser, adorant l’entendre râler. C’est dans cette ambiance d’insouciance que le drame arriva. Je sentis quelque chose m’agripper le pied, pas fermement, plutôt doucement. Pour tout vous avouez, je n’avais même pas pu imaginer ce qui se tramait, contrairement à Alex’ qui me hurla de m’accroupir, me poussant par la même occasion dans une sorte de position fœtale. J’écarquilla les yeux, surpris en voyant cette petite tête blonde se comportait quasiment en guerre, une pierre tranchante dans la main, attaquant à son tour ce qui avait osé me toucher. Cependant, j’étais sonné de par ma chute, et je n’ai pu réagir attend, quand l’immense créature, humain ressemblant étrangement à un poisson l’attrapa par la taille pour l’emporter dans le lac. Je revoie encore le regard empli de terreur d’Alexandra et des larmes coulent sur mon visage. Quelques minutes après, le lac redevint aussi calme et lisse, comme si en réalité je n’avais fait qu’un mauvais rêve. Non, j’étais bien dans la réalité, il ne me restait d’elle qu’une chaussure. Je peux vous assurer que toute la nuit, j’ai passé à la chercher, dans le lac, m’épuisant à la nage, m’étouffant plusieurs fois car je ne remontais pas assez vite, mais rien, elle avait disparu.

Quand les surveillants m’ont trouvé, trempé jusqu’au os, épuisé, malade, ils n’ont pas cru à mon histoire d’homme-poisson. Clairement pour eux, j’avais été drogué et j’avais surtout eu de la chance de ne pas finir comme Alex’. Les policiers allaient aussi dans ce sens, que mon cerveau m’avait donné des hallucinations et que par conséquence je ne pouvais être d’aucune utilité. Alors là, c’était mal me connaître que de penser ça. Jour et nuit, je rodais autour du lac, en hurlant le nom de celle qui était ma seule quasi famille. Je criais à m’en casser la voix, à m’en faire saigner les cordes vocales. Plusieurs fois on dû m’amener à l’hôpital en urgence mais ça m’était bien égal. Cependant, plus les mois passaient, plus je devais taciturne, toute notion de bonheur s’étant envolé. Je restais autour du lac, mais l’espoir commençait lui aussi à me quitter. Les autres se moquaient de moi, les professeurs ne faisaient pas cas de mon existence et je me demandais bien à quoi je pouvais servir, alors que je n’avais même pas été capable de protéger quelqu’un. La seule personne qui avait averti de mon état était le psychologue. Plusieurs fois je l’avais entendu dire, que je n’allais pas bien, que j’avais besoin de soin mais lui non plus, personne ne l’écoutait. Forcément, le jour fatidique devait arriver. Trois jours exactement après mes six ans. Si vous pensez que la dépression ne touche que les adultes, je vous annonce que vous avez tout faux, allez ouvrir un manuel de psychiatrie et vous comprendrez que même des bouts de choux comme nous … pouvaient penser au pire. Moi, je n’y faisais pas que penser, je l’ai mis en action.

C’est le deuxième évènement dont je me souviens parfaitement de tous les détails. Tout était silencieux, et le manteau de neige qui recouvrait Lancaster donnait un air mystérieux et mystique à l’endroit où je me trouvais. La lune était à un quart d’être pleine, et nouvelle, si bien que la plaine et le lac n’étaient pas éclairés par les rayons comme à son habitude. Je marchais doucement, tout semblait si irréel. Je n’avais pas clairement conscience de ce que je faisais, je me disais juste, que j’allais rejoindre Alexandra, même si pour cela je devais mourir. J’ai commencé à me déshabiller, le froid rendant ma peau translucide, montrant mes veines bleues. Attrapant une pierre, j’ai brisé la glace, faisant un trou assez gros pour pouvoir m’y glisser. J’ai frissonné plusieurs fois quand je suis rentré dans l’eau mais ce n’était pas ça qui allait me faire aller en arrière. Je me suis élancé, brisant la glace, étant anesthésié par le froid, je ne sentais pas les coupures que je me faisais. En temps normal j’aurais pu même rire de la trace rouge qui me suivais mais pas cette nuit, vous l’aurez compris. Je hurla une phrase à l’attention d’Alexandra et sans même prendre une respiration je lâcha la pierre que je tenais dans les mains et qui m’entraina ainsi vers le fond de l’abîme, vers le fond de ma vie.

Bon je sais, ce n’est pas très joyeux tout ça, mais restez, vous allez voir, ça s’arrange dans quelques minutes.

Donc reprenons, j’étais en train de couler comme une pierre, mes poumons me brûlaient et je commençais à perdre connaissance quand j’ai cru entendre un hurlement. Ayant perdu mes lunettes suite à mon plongeon, je n’arrivais pas à distinguer ce qui m’arrivait dessus. Ou alors c’était parce que réellement je tombais dans le coma. Perso’ j’ai toujours opter pour la seconde option. Vu que j’avais perdu pied (hahah blague très drôle), je vais vous raconter ce qu’on m’a raconté bien plus tard. Ce qui m’a sauvé (sinon vous comprendrez bien que je ne serais pas là pour vous raconter mon histoire) est ce que j’appelle encore aujourd’hui papa. Mon père est un grindylow, un être de l’eau si vous préférez. Comme son nom l’indique, il vit dans l’eau (génius), dans ce lac précisément avec ce qu’il considère comme sa famille. Il y a toute une société ici-bas, mais là n’est pas le propos. Donc être de l’eau oui, mais avec un défaut, un gros défaut, enfin dans mon cas c’était plus une qualité : les enfants. Je vois que vos cerveaux chauffent, c’est bon vous avez fait le rapprochement entre les contes, mythologies ect … et ça alors revenons un peu à moi s’il vous plait. Ce qui deviendra mon père, William me surveillait déjà depuis un bon bout de temps car la créature qui m’avait pris Alexandra n’était rien d’autre que sa sœur. Plus tard, il m’expliqua qu’il avait toujours été contre l’idée de nous séparer, mais que voilà, ma tante ne voulait qu’un enfant. Puis même si au début c’était sur moi qu’elle avait jeté son dévolu, le caractère bien trempé d’Alex’ lui avait fait un peu comme un coup de foudre maternel si vous voyez de quoi je parle. Bref, papa qui n’avait jamais osé franchir le pas de m’enlever, même si ça le rongeait de l’intérieur, hurlait de terreur et de douleur quand il comprit que s’il ne me sauvait pas dans les quelques minutes, j’allais mourir. Il me griffa au niveau de la poitrine pour me transformer tout en espérant que ce n’était pas trop tard tout en m’amenant vers la petite cité des grindylows. Le temps lui sembla une éternité avant que le venin ne fasse effet mais quand il vu des petites branchies s’ouvrirent à la naissance de mon cou, il fut soulagé. Même si pour le moment j’étais toujours hors circuit, il avait réussi.

Heureusement j’ai été plus rapide que la Belle au bois dormant pour sortir de mon coma. Quand j’ouvris les yeux, au bout du troisième jour, je crus être au paradis, que mon action avait marché car la première chose que j’ai vu, et que j’ai senti surtout, c’est Alexandra. J’ai mis du temps à comprendre que je n’étais pas mort mais juste plus humain. Papa à lui aussi mis du temps avant de m’approcher. Enfin « mis du temps », le soir il me serait dans ses bras en me disant qu’il avait eu la peur de sa vie. Vous savez, pour un enfant qui n’a jamais eu de câlins aussi fort de la part d’un adulte, c’est une sensation étrange mais très agréable. Je crois si je me souviens bien que j’en ai même pleuré. Néanmoins ne pensait pas que tout est allé rapidement sur des roulettes. Comme je vous l’ai dit, nous avons eu un grand temps d’adaptation, puis Papa n’arrêtait pas d’engueler sa sœur, en lui disant qu’il avait toujours eu raison, et qu’il lui en voulait pour le geste que j’avais fait. Or ça, c’étaient des problèmes de grandes personnes, moi tout ce qui importait été le fait que j’avais retrouvé mon Alexandra et inversement. Elle avait changé, physiquement c’était une chose par laquelle j’allais aussi passer, genre la peau verte, les doigts allongés et palmés, et tous autres sortes de petits détails, mais mentalement. Mais comme papa le prédit, elle redevint bien vite la fillette que j’aimais comme mon propre sang. Au bout de quelques années, les choses se calmèrent enfin, et je pu alors connaître la même joie que les autres enfants, n’enviant plus ceux dont les parents adoptifs venaient les cherchaient à l’accueil. La vie sous l’eau à quelque chose de magique (non sans déconner …), de merveilleux où tout simplement je pensais ça parce que j’étais heureux ? That is the question. En tout cas, je m’assagis un petit peu, le temps sans doute pour moi de grandir une communauté un peu bizarre je vous l’accorde mais avec un énorme cœur.

Vous vous doutez à quel âge j’ai décidé de reprendre du service au niveau bêtise en tout genre ? Ouais l’adolescence, je devais avoir 14/15 ans quand je me suis mis en tête, et que j’ai convaincue Alexandra bien sûr de rompre l’interdiction de sortir du lac pour aller roder sur la plaine. Parfois nous montions jusqu’à la surface pour étancher notre soif de curiosité, où même quand nous faisions les fous, on sortait sur la petite île au milieu du lac pour bronzer et profiter tout simplement. Or là, c’était différent, j’avais envie de rencontrer d’autres personnes, et d’essayer de deviner qui était qui. Papa m’avait tellement parlé des différentes races qui peuplaient la terre, qu’il m’avait fait comme un déclic dans mon imaginaire et mon but était de toutes les rencontrer. Nous nous sommes donc jeté à l’eau (it is the joke) avec Alex’, et nous avons déjà appris grâce à ça, que nous pouvions reprendre notre aspect « humain ».  Mais bon, tout ne se passa pas comme prévu. Après tout, nous étions portés disparu depuis environ une dizaine d’années, alors réapparaitre comme des fleurs, ce n’était peut-être pas le meilleur des effets. Certains ne nous ont pas reconnu, les nouveaux, et les quelques anciens nous ont pris pour des fantômes. Mais après ce n’est pas de notre faute, à la base, on ne voulait pas passer à l’orphelinat, c’est juste qu’on avait oublié qu’à cette date, c’était les portes ouvertes. Comment vous dire que nous avons détaler comme des souris, mais malheureusement pas dans la bonne direction. Impossible de faire marche arrière, nous venions nous même, encore une fois, de causer notre malheur.

C’est comme ça, qu’avec Alex’ nous partîmes à la découverte du monde. Bon je dois vous avouer qu’on l’a fait exprès aussi car nous étions persuadés que nos parents respectifs sortiraient de leur tanière pour bouger. J’avais toujours voulu essayer de convaincre papa de m’amener voir le monde, mais ce dernier avait bien trop peur qu’il m’arrive quelque chose. Je suis conscient que je lui ai fait de la peine, que je l’ai fait souffrir, il me le reproche de temps en temps, mais moins souvent depuis qu’il a rencontré celle que je considère comme ma mère, une sirène. L’histoire est bien trop longue à raconter mais sachez seulement que grâce à elle, nous sommes vivants, que Papa et sa sœur nous ont retrouvés, et que j’ai véritablement développé une passion pour trôler les leprechaum. Ce n’est pas de ma faute si à chaque fois on me confond avec eux, et s’ils n’ont pas d’humour. Bon je vous l’accorde, parfois mon humour est assez douteux mais quand même, c’est drôle de le voir essayer de remonter à la surface quand ils ne savent pas nager.

Bref, passons passons et accélérons la cadence. Donc grâce à maman, nous avons pu être à nouveau une famille au complet, mais sur un autre continent, celui de l’Irlande. Un grand voyage que je vous raconterais certainement plus tard, mais là déjà je commence à me déshydrater à force de parler. C’est papa qui entendit parler de Bray, la ville « refuge » pour des personnes comme nous. Traverser toute l’Irlande aura été un voyage formidable, surtout en famille et c’est là d’ailleurs que je commençai à découvrir ma passion, ce qui allait être mon métier actuel. J’ai toujours adoré joué la comédie, mais le faire pour de vrai, et pour gagner en plus de l’argent c’était plus que cool. De plus, il s’avérait que j’étais doué selon les dires d’un agent artistique qui me repéra lors d’une pièce de Shakespeare que je jouais avec d’autres personnes dans l’association de quartier où nous habitions pour le moment. Mais vu que notre but était d’atteindre Bray, je refusai un peu amèrement je vous l’avoue, l’offre alléchante qu’il me proposa. Toutefois je me consolai rapidement à l’arrivée dans cette petite ville assez magique quand j’obtenu un rôle, certes mineur dans un petit téléfilm. De fil en aiguille, je montai en grade et je créai même une association de théâtre et de comédie qui marche assez bien. Et comme, je pense que j’ai un petit côté hyperactif, j’interviens à la demande de différents professeurs dans des classes pour apprendre pleins de choses aux élèves. Bon ça, maintenant qu’on se connait un peu mieux, et que je commence à vieillir, c’est aussi mon désir d’avoir des enfants. Enfin je n’ai pas envie là tout de suite maintenant, mais je sens que ça arrive et je vous assure, c’est vraiment très étrange. Heureusement que je ne suis pas tout seul dans ce bateau, parce que sinon ça fait longtemps que j’aurais déjà pris le large.

J'ai été fan dès les premières lignes de tes infos utiles
J'aime beaucoup comme tu as dépeint la relation de Nath avec Alexandra, sa disparition et les conséquences que ça a eu sur ton personnage, tu ne mentais pas quand tu as dit que le début de l'histoire était triste !
J'ai vraiment été porté par ton histoire du début à la fin, c'est un super beau récit et une très jolie plume
Je ta valide donc avec plaisir, bienvenue dans la famille
(et embête bien Sonny le leprechaun, ça me fera plaisir )

Tu vas maintenant pouvoir aller recenser ton avatar . Une fois cela fait, tu seras libre de créer ta fiche de liens ainsi que de te trouver un logement ou même de demander un joli rang ! .nEt enfin pour finir, tu peux créer ton ou tes scénarios en cliquant ici ! Si tu as toutefois envie de rp tout de suite, voici un sujet de demandes de rp, tout beau tout propre ! Une dernière chose et puis ce sera bon, pour récolter ton argent et te procurer les dernières nouveautés IG (et sur le forum, sait-on jamais), je te propose de te rendre au marché de Bray. N'hésite pas à voter pour le top site, ni à poster un joli message sur PRD pour nous faire connaître . Bon jeu sur UL !!!!