La fête peut commencer !

nom | Nash
prenom |Devon  
âge | 42 ans
race | Fée
lieu et date de naissance | Owensboro US ; 4 Mars 1977
orientation sexuelle | Curieux
statut marital | Divorcé deux fois
metier/etudes |Concept à explorer
situation financiere | Stable
organisation | En étroite relation avec les Dux tenebris
ft | Christian Bale

Devon est un homme simple, avec des gouts simples et des envies simples, il  les voit juste de manière excessifs. Pourquoi se contenter de peu quand on peut posséder plus ? Car bien que son nom soit inconnu, certaines savent qu’il n’est pas sans lien avec la famille Pritchard et que cette dernière veille à ce qu’il ne manque de rien, selon les dernières volontés d’un vieil homme.. + Personne sûr d'elle et de son charisme, il dégage une autosuffisance qui n'a d'égale que sa "sans gêne" en toute situation.+ Se prête à des pratiques peu orthodoxes ce qui a le don de tendre ses relations avec le chef des Dux + Sa maxime, «toujours avoir le sourire, la vie est pleine de surprise ! » "+Possède un plaisir non dissimulé à se faire ses soupes maisons. + Il a eu une fille avec sa première femme mais cette dernière l'a finalement quittée à cause de ce qu'il appelle "son plus vilain défaut", il n'éprouve pas le besoin de reprendre contact avec eux.+ Aime rester assit de longues minutes à fixer ses tapisseries et nombreuses collections exposées dans son domaine. L’esthétique, plus qu’une forme, est une fin en soi. + Se sert régulièrement de ses pouvoirs sur les humains. + Le style à son importance, un gentleman se doit d'être présentable en toutes circonstances. + Il aime qu’on lui résiste. Par ailleurs le corps «en action" le fascine , surtout celui des autres, mais il a tendances à se lasser rapidement d’une situation +Voit le monde surnaturel comme un tableau dont lui seul est capable d'en comprendre l'essence et d'en faire ressortir toutes les nuances…+ Son admiration pour les créatures magiques n'a d'égale que l'auto-vénération dont il est sujet. + Possède un groupe "d'invités" qu'il a convié dans son sous-sol afin de prendre du bon temps dans ses différentes installations. + Se sert de son statut particulié pour se fournir directement auprès des Dux, il adore ce sentiment d'impunité dont il jouit vis à vis de l'organisation. + Quand il n'est pas occupé par ses hobbies, il organise de grandes réceptions afin de mousser ses partenaires et se faire valoir auprès d'éminentes personnalités.

Comme tous les enfants, Devon a toujours été conforté par « tout » son entourage (seulement sa mère en fait) dans l'idée qu’il était quelqu’un d’exceptionnel. Seulement elle le lui a juste un peu trop dit, tant et si bien qu’il développé une légère pathologie mégalomane.
Pendant toute sa scolarité,  Devon avait l’impression que les enfants de son âge étaient des arriérés mentaux. Il n’eut donc pas beaucoup d’amis et les quelques rares, il les rencontrait en dehors des cours, n’y allant pratiquement jamais.
Avec le temps, il développa une curiosité à toute épreuve pour chaque chose qui composait le monde vivant, ce que sa mère surnommait avec tendresse son « plus vilain défaut ».
Car oui, il passait le plus clair de son temps à la bibliothèque Owensboro.
Dans laquelle il découvrit  de nombreux histoires qui relataient les légendes de ce qu’on appelle les « créature magique ». Seulement, étant lui même une fée il comprit rapidement qu'il était possible que d'autres espèces que la sienne pourrait coexister dans ce monde. Qu'il n'était pas la seule mais une parmit tant d'autres espèces, toutes aussi exotiques que passionnantes.
Il se lança alors dans la création d'un receuil personnel dans lequel il compila toutes les légendes et espèces possibles, un monde parallèle à porter de main.
Il faut dire que depuis que sa mère fréquentait plus que de raison ses clients, il ne pouvait
plus supporter de rester chez lui et se contentait simplement d’y manger et dormir.
Car oui, les modèles masculins s'enchainaient tels des plateaux télés industrielles,  c’est à dire les uns après les autres sans réelle bonification du rapport qualité prix.
Des hommes qui n’avaient pas compris que, si ils étaient les meilleurs, c’était uniquement parce qu’ils payaient au lit pour qu’on le leur disent.
Sa mère, elle, n’était pas du tout « la » meilleur.
La seule chose qu’elle considérait avoir réussi dans la vie c’était d’avoir été engrossée par un homme de grande famille.
Inlassablement, elle racontait à son fils comment ils avaient filés le grand amour, comment il lui écrivait encore des lettres passionnées malgré la distance et son travail des plus prenants, il rentrait un jour pour rattraper le temps perdu.
Pour autant, elle ne parvenait pas à prendre le dessus sur ses  clients les plus « fervents » et ces derniers en profitaient pour dépenser tout l’argent qu’elle gagnait, dont la pension du père.  
Un « plateau télé » s’éternisa plus que les autres à leur domicile.
Jason, maçon de son état qui n’arrivait pas à fidéliser sa  clientèle mais qui était, lui, le principale client de sa mère.
Devon  ne comprenait pas, il rétorquait à sa mère que ce n’était pas possible, que son père, qui finirait bien par rentrer un jour, ne le prendrait pas très bien de voir un Jason affalé dans le canapé de la maison, une bière à la main.
En guise de réponse, elle lui lançait toujours un pauvre sourire, devenue une rhétorique courante chez elle.
Seulement, après sa mère, décevante de son point de vue sur quelques plans,son plus grand amour fut Marion. Engagée pour la cause animale et les réserves naturelles, elle avait cette volonté à tout donner dans ce qu’elle entreprenait.
Il admirait son énergie, et toutes ces choses qui l’éloignaient de son quotidien.

                             
Et puis il y eu ce soir-là, cette révélation à double tranchant. Ce soir où il embrassa une femme pour la première fois, sensation incontrôlable qui ne purent empecher… ses ailes d’apparaitre aux yeux de cette dernière, au milieu de la nuit, telle des lucioles.
Bouché bée pendant les premières longues secondes, elle ne put ensuite réprimer un sourire :

« Je savais que tu étais quelqu’un d’exceptionnel, toi aussi. »

C’était exactement les mots dont il avait besoin pour tomber amoureux, du moins ce soir-là. Elle fixa intensément son regard et ses yeux devinrent de Jaïs, elle lui dévoilait un secret à son tour. Un secret sous forme de poil sombre et de griffes élimées, le tout surmonté d’un museau humide.
Sous la pâleur timide de la lune, ils n’étaient plus seul désormais et explorèrent les méandres inconnus de l’autre, dans une nuit qui s’étira jusqu’aux premières lueurs du jour.

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Mais de retour chez lui, c’est une toute autre scène qui se présente.
Au sol entre les débris de mobiliers et des verres brisés. Il aperçoit sa mère, là,  au sol, le visage enfouit sous une épaisse couche de cheveux gras et ensanglantés. Il ne réfléchit pas une seconde de plus et se précipite vers elle….

« Tu la touche, c’est toi qui te retrouve par terre gamin tu entends ? »

Il lève la tête en direction de la masse sombre qui le toise deux mètres plus haut.
L’homme tiens une ceinture fermement entre ses mains, faisant glisser à l'intérieur de ses paumes.

« Si elle se retrouve dans cette position c’est qu’elle a bien cherchée, maintenant casse-toi de cette baraque. »

Devon jette un regard à sa mère et passe par-dessus son corps afin de faire bouclier avec le sien.

« Tu n’es pas chez toi ici mais chez ma mère donc c’est toi qui va te barrer d'ici tout de suite ! »

Un grognement grotesque sort de sa gorge, plus de retour en arrière possible.
Le géant s’avance et arme son fouet, prêt à infliger une belle correction au merdeu.
C'est à ce moment précis que Devon déploye ses ailes et recouvre le corps de Jason de poussière, lui brouillant totalement les sens.
Ce dernier se met à alors à convulser, hurlant que ses yeux sont en train de fondre, il se cogne à pleines vitesse dans tous les meubles à portée et se cambre de douleur.
Puis il arme de nouveau sa ceinture, mais cette fois ci pour frapper sa propre tête.
Ayant la sensation que cela l’apaise, il lacère ses joues, son front et se sert  de toute la puissance centrifuge pour se donner un coup puissant dans les orbites. Un cri déchirant traverse la pièce dont on ne saurait dire si s’agissait de jouissance ou de douleur.
L’adolescent a le regard fixé sur la scène, satisfait du châtiment qu’il inflige. Prenant de plus en plus de plaisir à chaque nouvelle rafale donnée.

Encore ! Encore ! Encore…. Encore !

«  Arrête Devon ! Ça suffit ! »

Il se stoppe dans sa contemplation et jette un regard autour de lui.
La voix ne vient du petit corps recroquevillée qui passe entre ses jambes, et se dirige vers son amant. Et va jusqu’à le toucher et caresser son visage morcelé.
Le regard de sa mère ne montre aucune tendresse, encore moins de la détresse.
C’est de la colère et du mépris.

« Cela ne te regardais pas ! Va-t’en  et ne remets plus jamais les pieds ici ! »

Comment peut-elle le protéger, lui, après tout ce qu’il lui fait subir, ce qu’il leur a fait subir….

« Si tu n’as pas la volonté de voir à quel point tu te fais du mal à rester avec cet homme, je l’aurais, mon père n’aurais jamais été d’accord qu’on t’inflige un te… »

« Mais ton père est un putain de connard ! »


….


« Quoi ? »

« Il ne m’a jamais aimé, il ne t’a jamais désiré, tu comprends ?! Cet enfoiré nous a abandonné depuis ta naissance car il avait honte de devoir assumer officiellement des parasites comme nous. »

« Des… »

« Oui parasite, tu as bien compris, tu es un parasite ! Et ta seule utilité est la pension que tu me rapporte, alors maintenant vas t’en et laisse nous tranquille ! »

Sur ces mots, elle se ramasse un peu plus sur elle-même et se blottie contre le Jason gémissant.
La voix faible, le jeune homme souffle une question qui n’en est plus une.

« Alors depuis tout ce temps, tu m’as menti… Quand tu disais qu’il allait revenir et rattraper tout ce temps où il n’avait pu être là… il me déteste c’est ça ?»

« Il n’a même pas prit la peine de ressentir quoi que ce soit à ton regard. »

Un long silence se fait, qui dura plusieurs minutes, ponctués des gémissements des deux amants et des hoquets, de plus en plus fébriles de Devon.
Il suffoque, manquait d’air et sa vison commence à se brouiller, des sillions humides se creusent discrètement le long de ses yeux.
Puis le goût de sel, de sel, de sel, de fer ;
Il se mord frénétiquement la lèvre inférieur et tente de retrouver un semblant de lucidité mais rien y fait.  Il tremble de tout son corps  sans pouvoir se contrôler, cloué sur le plancher de la révélation.

A ce moment-là, Jason ajoute, sentant qu’il reprend le dessus:

«  T’as entendu  « parasite », casse-toi de chez « elle ».
A ce moment-là, Devon relève brutalement la tête avec un regard totalement ahuri.
Ses pupilles fixant tout à tour l’homme et la femme, ne clignant plus des yeux.

La respiration lente, ils se figent sur Jason,
«  Non, c’est vous qui allez-vous « casser » de cette vie. »

Il hypnotise de nouveau le colosse mais qui cette fois-ci devient totalement incontrôlable.
Il se met à mordre de rage ses vêtements et presse ses pouces contre ses dents grinçantes, bousculant brutalement la mère sur le côté.
Elle pousse un cri et attire l’attention du berzeker qui se retourne brutalement vers  elle, la peau rouge fumante.
Il arme son coup et donne une puissante taillade sur sa compagne qui s’égosille telle une truie tout en suppliant Devon d’arrêter.
Sous les hurlements, les stimuli s’amplifie et les coups reprennent de plus belle et le jeune homme ne peut s’empêcher un léger sourire à la vue de ce spectacle jouissife.
Le maçon, se prend alors de fous rires déments et achève la femme au sol à coup de poing et d’objets contondants en tout genre


Lorsque qu’elle ne bouge définitivement plus, le jeune homme se saisit de la ceinture et toise le corps en bouillie.
Il le pommeau métallique serre jusqu’au sang et arme la sentence envers le plateau télé, décidément pas à son gout.
Le deuxième corps s’étale de tout son large puis il humilie avec enthousiasme leurs cadavres pendant plus d’une heure. Puis il s’évanouit d’épuisement, des larmes rouges au creux des mains.
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Durant cinq années, il parcouru le monde à la recherche de réponses sur ses origines, paternelle puis d’espèces. Remontant les adresses de numéros de comptes, les boites postales aux quatre coins des pays du monde, il démurait introuvable. Il fit alors le deuil d’un deuxième parent devenu dès lors fantôme. Toutefois il comprit qu’il n’était pas la seule famille différente de par le globe et se rapprocha de nombreux êtres exceptionnels comme lui. Ce fut les « année folles » durant lesquelles ils voyageaient en petits groupes et expérimentaient toutes les sensations extrêmes et borderline des différentes cultures. La curiosité de Devon était insatiable et jamais il ‘avait jamais autant extérieur à lui-même depuis ce fameux incident. Si tant et bien qu’il se surprit à songer à une vie plus paisible.
Mais après un mariage plus que conflictuelle avec une congénère, Elidjah Harris, il se convainquit définitivement que les fées étaient une race manipulatrice et profondément hypocrite. Qu’il avait besoin d’émotions fortes et centripètes, ce ne pouvait être la famille. Afin d’essayer de mieux comprendre ses capacités et améliorer son pouvoir de régénération, il opéra fréquemment diverses scarifications et mutilations sur son propre corps. Cela était douloureux mais il n’arrivait pas à atteindre le plaisir qu’il avait ressenti ce soir-là, quand la souffrance était infligée aux autres.
Les deux fées divorcèrent  finalement  au bout de 2 courtes années, l’un devenant trop entreprenant et l’autre effrayée par le comportement ésotérique de son compagnon….Il Laissait ainsi sa fille unique, qu’il ne revu jamais revue depuis

Enfin tranquille et débarrassé des inconvénients éthiques marital et parentaux... Devon put enfin s’adonner pleinement à ses envies et commença à exercer ses pouvoirs sur les humains. Une satisfaction temporaire malheureusement car leurs réactions étaient peu spectaculaires voir bestiales. Il se mit alors  à collectionner tout objet pouvant se rattacher de près ou de loin au monde magique.  Ce qui lui permit en outre d’énormément voyager et ainsi parfaire sa culture des mythes et légendes. Enfin, tant de choses à découvrir en ce monde, tout ce qui était écrit dans ses livres se révélait de plus en plus vraisemblable.
Ses recherches le menèrent en Ecosse ou il fit la rencontre de plusieurs collectionneurs aussi passionnés que lui des archives et reliques anciennes.
Notamment une certaine comtesse  Elizabeth Northumbrie qui possédait une collection à plus d’un titre prestigieuse. Il trouva le moyen de se laisser inviter à l’une de ses soirées mondaines qu’elle organisait et  prit rapidement gout à ce monde de raffinement qui lui était totalement inconnue.
Fasciné par tous ces nouveaux codes, il se mit en tête que tout cela devait lui être dû de naissance.  Sans descendance directe, il se dit que la comtesse serait enchantée d’être l’épouse d’un homme tel que lui.
C’est donc sans trop de remord qu’il perturba ses sens à l’aide sa propre poudre. Si bien qu’elle le vit bien plus impressionnant et beau qu’il ne l’était. Quelques semaines suffire à ce que ses petits stratagèmes portent leurs fruits. Ils se marièrent deux mois plus tard.
Elle lui apprit les multiples codes qui régissait l’aristocratie, et bien qu’il ne fût pas très à l’aise cela lui permit de découvrir un nouveau monde.
Au fil des années, il se créa une cave dans laquelle il pouvait secrètement s’adonner à ses anciennes expériences mais cette fois ci avec un matériel digne de ce nom. La plupart  de ses invites étaient était des hommes dans la force de l’âge et quelques fois des femmes. Seulement, il finit par se lasser rapidement de ce format d’exploration et recassa ses souvenirs… à la rivière avec Marion, les animaux sauvages, aux réserves naturelles…. c’est ça ! Il devait s’occuper de ces êtres exceptionnels, , les rassembler, mieux les comprendre. Lui seul pourrait voir à quel point ce sont des êtres à part, ils sauront qu’il est une personne exceptionnel et ils ne se permettraient pas de remettre sa parole en cause. Tel Moïse pour les juifs, Mahomet pour les musulmans ou encore le christ… il serait leur lumière de rédemption d’un monde triste et sale.
Seulement voilà.
Un soir, Elizabeth n’eut pas sa dose d’hallucination de poussière et défendit malencontreusement dans le sous-sol afin d’aller se chercher spiritueux                         Absenta Argenti Cerca…dommage. qu'elle se fusse noyée dans les douces eaux du Teith.

Quelques mois s’écoulèrent sans qu’il ne songe à prendre une nouvelle femme, ses nouvelles ambitions ne lui en laissaient guère le temps. Mais c’est pourtant à ce moment précis qu’une vielle dame prit contact avec lui. D’abord flatté que la demande soit tout de suite au rendez-vous malgré son statut encore récent de veuf.  L’arrogance se transforma vite en curiosité lorsque cette dernière lui fit prendre connaissance des réelles intentions de son rapprochement.
Elle serait la femme d’un certains Peter Pritchard, son père. Un homme dont elle est veuf depuis…40 ans. Depuis tout ce temps c’est elle qui envoyait la pension à sa place et, sachant qu’il vivait en Ecosse depuis plusieurs années. Elle ne s’était décidée que récemment à venir enfin lui parler. Elle a employé des mots comme « erreur de parcours », « famille », « pardonner » et lui a proposé de tenir la parole qu’elle avait faite à son mari il y a 4 décennies à savoir lui donné ce qu’il lui est dû malgré sa non appartenance à la branche principale. A savoir une dote conséquente une propriété A Bray, en Irlande.
Il lui allait lui rétorquer qu’il ne pouvait faire ce déplacement car d’autres affaires occupait ses journée et que..
« Je sais tout vous concernant monsieur Nash. »
Car oui, une des raisons pour laquelle elle fermait les yeux sur l’agissement de son beau-fils, c’est qu’elle pourrait bien mieux superviser ses agissements et extravagances à Bray plus qu’à tout autre endroit.
Car, son plus beau projet qui était à venir, il faut le dire, c’est ce qu’il nommait « son terrarium » là où il prendrait soin  de toutes les créatures magiques qu’il acquerrait, grâce aux Dux Tenebris.  

Oncle Nash débarque à Bray ce soir, la fête peut commencer.