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 Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières

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Ashley Sullivan

nom | Sullivan, un irlandais tout ce qu'il y a de plus typique.
prenom | Ashley, vieux prénom d'aristocrate anglais, il est pourtant loin d'en avoir l'allure.
âge | 24 ans
race | Humain
lieu et date de naissance | 2 Décembre, dans le village d'Inistioge
orientation sexuelle | Il a les femmes dans la peau, leur fait de jolis sourires, serviable, c'est un vrai gentleman. Il préfère flirter avec elles bien que les hommes lui plaisent aussi. Foncièrement pansexuel, il ne peut cependant pas faire grand chose, relativement impuissant à cause de ses médicaments.
statut marital | Célibataire tombant amoureux à la fois trop aisément et trop souvent.
metier/etudes | A décroché de ses études et de ses rêves suite à des problèmes familiaux, puis, de santé. A présent, il est agent de bibliothèque, plutôt axé sur le ménage et le rangement des livres qu'autre chose.
situation financière | Plutôt basse, il vit avec sa tante qui s'occupe de lui depuis qu'il a perdu ses parents et que ses pathologies se sont révélées.
organisation | /
ft | Timur Simakov (c)ma personne


détails, anecdotes et caractère

N'est pas particulièrement gourmand, en revanche, il serait prêt à tuer pour du Carrot Cake, c'est son dessert favori. + Faisait du somnambulisme dans son enfance avant que cela cesse, tout bonnement, pour reprendre après le décès de sa mère. Ces dernières se sont fait plus impressionnantes quand son père est parti à son tour. + Passionné par la littérature, il comptait en faire son métier avant que ses études ne soient compromises. + Sa tante est son héroïne, Ashley est obligé de le reconnaitre. Cependant, il déteste qu'elle face office d'aide-soignante auprès de lui, il ne veut pas être uniquement considéré comme un "garçon malade". + D'ailleurs, pour éviter d'avoir cette image auprès d'autrui, il veille à ne pas en toucher mot. + Ashley a eu un amour intellectuel profond pour l'un de ses professeur. Ce dernier lui a d'ailleurs fait réellement apprécier Edgar Allan Poe, que l'adolescent n'arrivait, alors, à saisir. Depuis, il s'agit de son auteur américain préféré. + Il sait jouer du piano, de la guitare et même du yukulélé. + Depuis le décès de son père, le jeune homme fait de régulières crises d'angoisses accompagnées de pleins de joyeusetés comme des malaises, de l'onirisme et de l'amnésie partielle. Une lourde médicamentation est parvenue a enrayer le gros de ces dernières, même si Ashley n'est pas à l'abri de rechutes. Devant être suivi psychologiquement, il lui est fortement recommandé d'éviter toute source de stress ou d'émotion fortes. Il aurait besoin d'un grand calme et de beaucoup de repos s'il en ressent la nécessité. + Il possède une grande fascination et un attrait pour les cimetières. Surtout lorsqu'il s'agit de les lier à une autre de ses activités favorites : la lecture. Il trouve ces endroits beaux et apaisants. En général, on y est peu dérangé. + Ashley n'a jamais été très sociable même s'il sait l'être par usage. Peu avide de sorties, encore moins pour faire la fête dans des endroits bruyants. + Il déteste se sentir obligé de communiquer. Il n'a pas souvent envie de parler et la plupart des gens ont tendance à vouloir absolument combler le vide, c'est quelque chose qui l'exaspère. Ainsi, lorsqu'il se trouve particulièrement ennuyé par quelqu'un, il ne fait même plus l'effort d'ouvrir la bouche, répondant par de vagues gestes ou alors, en ignorant complètement l'autre.  Cependant, Ashley n'a rien contre la présence d'autrui, si ceux-ci respectent son silence sans le bousculer. + Tend à être à la fois souvent, et aisément fatigué. C'est à cause de ses troubles du sommeil qui rendent ses nuits agitées, quand ce ne sont pas ses médicaments qui l'assomment. + Il existe néanmoins des occasions où il peut devenir très loquace, c'est quand on parle d'un sujet qui l'intéresse. Se montrant terriblement passionné lorsque l'on discute de littérature, d'art ou de cinéma. + Bien qu'il aime les animaux de manière générale, Ashley possède une peur farouche des chiens. + Gribouille des dessins depuis assez longtemps, même s'il n'est pas très doué. Est passé récemment à la peinture quand il a besoin de se détendre, c'est mieux que la musique pour lui. + Lié à cette activité, il essaye de dessiner ou d'écrire ce qu'il voit ou ressent lors de ses crises pour les démystifier et les rendre moins effrayantes même si, parfois, elles peuvent être de véritables beaux rêves. + Quand il était enfant, Ashley avait honte de sa bosse sur l'arrête du nez. A présent, il n'est plus vraiment gêné par quoi que ce soit en rapport avec son physique. + Très curieux, même s'il n'est pas du genre à poser des questions, il a plutôt tendance à suivre une personne discrètement lorsqu'elle pique ce vilain défaut. D'un autre côté, c'est la même chose quand il entend parler de quelque chose ou d'un lieu qui l'éveille. + En revanche, Ashley ne possède aucun sens de l'orientation. Souvent à l'ouest, souvent perdu, et bien trop embarrassé pour demander son chemin, il est capable de tourner en rond pendant des heures. Il est particulièrement patient. + Grand consommateur de pastilles parfumées et de chewing-gum, se lavant fréquemment les dents, principalement à cause de sa forte prise de médicaments, ainsi que du fait qu'il oublie assez régulièrement de se nourrir correctement, il tend à avoir une haleine de chacal s'il ne fait rien. Le pire, c'est au matin, lorsqu'il n'a pas mangé la veille. + Prend rapidement des couleurs au soleil, le bronzage facile. Il parait qu'il aurait un ancêtre espagnol lointain, très lointain, on suppose que ça vient de là. + Ashley aime jouer les princes charmant auprès des demoiselles. Leurs sourires lui plaisent.


Ton histoire, ta petite histoire

Les cubes s’empilent pour mieux tomber. Dans leur structure hasardeuse formée par les doigts maladroits d’un enfant ils se tiennent là, comme patientant face à la fatalité qui les attend. Le garçon les regarde avec ses grands yeux, ses prunelles automnales s’arrêtent sur chaque couleur et l’envie l’étrangle. Après la création de ce château, vient sa destruction. Ainsi, la main s’avance et pousse les jouets, il frappe le plastique qui s’écrase sur le plancher de bois. Il n’y a que maintenant qu’Ashley se sent apaisé, complet.

Il a une fascination pour l’effort et la déconstruction. Ses dessins, par ailleurs, en portent la marque. C’est d’une peine amusée que sa mère le remarque. Elle lui demande ce qu’il dessine – un chien – puis, une fois l’œuvre juvénile terminée, Ashley s’empresse aussitôt de rayer le papier, gribouillant parfois même avec plusieurs feutres ou crayons entre les mains à la fois. Des traits, des cercles pour mieux briser ce qu’il avait accompli. Au final, quand l’adulte retrouve quelques griffonnages dans ses souvenirs, il lui est difficile, même pour lui, de deviner ce qu’il avait voulu dessiner. Un tic qui ennuie son vieux professeur d’école, qui se voit obligé de le reprendre et de le gronder. Au moins, il ne saccage pas les dessins des autres. accorde-t-il aux parents qui ne comprennent pas d’où lui vient cette habitude.

Mais Ashley reste un enfant adorable. Contemplatif, sage et calme, on lui associe une timidité certaine. Il est le genre de garçon qui s’accroche aux jupes de sa mère, plutôt que de faire face aux étrangers. Son père le bouscule un peu, il rit de lui quand il est présent à la maison. Cependant, ce n’est pas méchant et n’entache nullement l’affection qu’entretient le fils pour son géniteur. Le plus jeune aime le savoir là, puisque l’adulte s’absente de temps en temps pour son travail. C’est un labeur flou, sur lequel Ashley a bien du mal à mettre des mots. C’est gênant, lorsque ses copains demandent. Sa mère lui affirme qu’il va aider des gens et ça ne l’aide pas à mieux comprendre. Dans tous les cas, Ashley se souvient que son père était néanmoins bien plus présent à l’époque, puis, en grandissant, les choses auront progressivement changé.

C’est dans un sursaut qu’il se réveille, un spasme. Son corps tremble plus fort que de raison, un clignement d’yeux, il a l’impression que des centaines de minuscules aiguilles lui traversent l’épiderme. La pluie, quant à elle, fait coller ses vêtements à sa peau, ça l’étouffe, il tire sur son pyjama nerveusement et il ne sent plus ses pieds nus contre le béton. Le garçon est frigorifié, terrorisé. Il ne sait pas ce qu’il fait là, il est seul puis une large main l’attrape par l’épaule et il est ramené vers l’intérieur. Face à lui, sa mère a les larmes aux yeux, elle panique en lui disant que ça va aller. Pauvre Deirdre, les crises de somnambulismes de son fils lui feront perdre la tête. Parfois, il parvient même – comme en cette nuit – à sortir de leur maison. Heureusement, ce n’est jamais pour aller très loin et les voisins sont au courant. Le docteur lui a dit que ça arrive, chez les enfants mais que ça tend à passer avec l’âge. Cette affirmation sera rapidement vérifiée lorsqu’au début de son adolescence, Ashley ne se lèvera plus la nuit. Un soulagement. Dans leur petite maison aux alentours du village, la pire crainte de la femme est qu’il se retrouve à marcher sur la route et qu’une voiture le fauche. Elle en a d’autres, des frayeurs, mais qu’elle prend soin de taire quand les oreilles de son fils ne sont pas loin.

Ashley a une enfance heureuse au sein du charmant Inistioge, avec ses parents qui s’aiment et qui le cajolent. Il profite des verdoyants champs et des bois pour s’amuser, dans le même temps, le garçon joue avec leurs quelques poules et se plait à s’en occuper. Un jour, son père lui aura dit que ça devenait sa responsabilité, Ashley n’a jamais été aussi fier. L’homme était le genre de personne assez dure, mais très chaleureuse qui, sans être grand, avait une carrure impressionnante. De l’entrainement, l’armée, peut-être, avec des valeurs. Plus tard, Ashley veut être comme lui, être le genre d’homme qui inspire la sécurité aux êtres qui lui sont cher. Ça fait rire sa mère qui s’empresse de dire, avec un air faussement vexé, qu’elle est forte elle-aussi. A l’époque, le garçon a du mal à comprendre. Pour lui, la force se résume à la taille et aux muscles. Ce n’est qu’adulte qu’il comprendra comme la femme savait s’occuper de tout. Elle travaillait durement au pub, vendait le surplus de leur petit potager pour se faire de l’argent en plus, s’occupait seule de leur fils pendant les absences de son mari et, jamais, elle ne paraissait être fatiguée ou ne cessait de sourire.
C’est une force que l’on ne comprend qu’en grandissant.

Arrivé dans l’enseignement secondaire, Ashley se voit obligé de partir en internat, l’établissement se trouvant dans la ville d’à côté. Néanmoins, il a la possibilité de rentrer chaque week-end, chose dont il ne se prive nullement. Ses parents sont fier de lui, il est bon en classe, en particulier dans le domaine des langues et de la littérature. Il a une bonne maitrise de l’anglais et du gaélique, ensuite, c’est une vraie passion qui se dessine au sein de la lecture. Ashley dévore les livres, même ceux qui semblent trop compliqués. Sa part de chambre semble désordonnée à cause des piles de bouquins dont il ne veut se séparer. C’est une chance qu’on ne vienne jamais à lui annoncer qu’il a besoin de lunettes, vu comme il veille parfois tard, avec une petite lumière, pour poursuivre ses lectures. Les surveillants l’appellent Le Petit Prince, toujours là à aider les demoiselles et à proposer de porter leurs affaires. Mine de rien, Ashley s’entoure aisément de filles et ça fait rire. Pour lui, c’est bien normal, il a vu son père faire la même chose et il sait que ça fait plaisir. Il y a peut-être de la jalousie qui se crée, avec quelques copains mais il ne connait pas de gros soucis durant sa scolarité.

Diplôme en poche, il entre à l’Université de Dublin avec une bourse d’études. Cependant, le garçon ne passera pas beaucoup de temps loin du village de son enfance. Il apprend lors d’un appel téléphonique que sa mère est très malade, un cancer, décelé alors que la maladie est déjà trop avancée. Avec son père qui ne passe presque plus qu’occasionnellement à la maison, Ashley quitte l’université avant même de terminer sa deuxième année. Sa mère aura caché le mal qui la ronge pendant trop longtemps, elle voulait être forte, Deirdre, elle pensait que ce n’était rien, que ça passerait. Ashley fait les champs, chez les voisins, pour gagner un peu d’argent, pour le reste, il s’occupe de sa mère à temps plein. Mais, ce qui lui use l’âme et les nerfs, c’est les rares retours de son père. Son silence, et la manière dont il repart toujours si vite. Ashley ne comprend pas, il commence à lui en vouloir, mais la femme lui dit que ça va, que c’est ça manière de digérer les choses. Puis vient l’hospitalisation, les longues heures à attendre et le coup de téléphone de bon matin, avant même que le soleil ne soit levé. Elle est partie.

Et lui qui prend la fuite. C’est Ashley, qui s’occupe des papiers. C’est Ashley, qui appelle le notaire. C’est Ashley, qui décide quoi faire de son corps. C’est Ashley, qui récupère les effets personnels de sa mère depuis l’hôpital. Son père Sean, lui, ne vient que pour les signatures, les chèques à délivrer. Il est détruit et, pour le jeune homme, c’est comme assister à une légende qui s’effondre. Il parait loin, le temps où l’adulte rayonnait de chaleur. Ashley ne reconnait plus son géniteur et il commence à se sentir seul, profondément seul.

Les psychiatres affirment que c’est à partir de cette période qu’il a flanché. Ce n’est pas vrai. Il était encore capable. Ashley, c’était le seul putain d’homme dans cette maison trop grande. Il trainait son père pour le coucher quand ce dernier s’endormait dans le canapé, il lui laissait toujours de la bouffe au frigo, pour les rares fois où il passerait. Non, ce qui l’a renversé, ce qui a changé sa vie au point de ne plus savoir saisir ses propres pensées, ça s’est passé l’année d’après.

C’est une nuit sous une maigre pluie. Pour une fois, Sean est là mais il pourrait tout aussi bien être absent. Le jeune Sullivan a mangé dans son coin, rangé la cuisine, laissé les restes pour l’autre homme. Ashley ne réalise pas tout de suite ce qu’il se passe tandis qu’il entend les poules s’agiter. C’est étrange, elles sont censées dormir depuis un moment. Mais les voilà qu’elles paillent avec leurs petits cris. Peut-être un regard, le garçon se lève d’un coup, enfile des bottes et se prépare à sortir. C’est alors que son père le retient. Va chercher le fusil dans la chambre. qu’il lui dit. L’incompréhension se dessine au fond de ses yeux, il se demande s’il n’aurait pas trop bu. Mais le paternel est sérieux et l’inquiétude se fraye un chemin, quelque part, dans son esprit. Ashley tourne alors les talons, file dans la chambre de ses parents, avec un moment d’hésitation, il tire la caisse qui se trouve sous le lit. Elle pèse son poids. Il en sort l’arme, ainsi qu’une boite de munitions qu’il manque de faire tomber quand un grondement – un cri ? – déchire l’air. C’est un son indescriptible qui le fait détaler. Un animal ? C’est un animal qui croise son regard non loin du corps de son père. C’est un animal qui se déforme sous ses yeux pour fuir.

C’est un animal qui ressemble à un homme.

On affirmera qu’il s’agissait d’une attaque de chien sauvage. Enragé, probablement. Il en aurait eu après les poules mais c’est Sean qui se sera retrouvé sur son chemin. Une nouvelle fois, Ashley se retrouve seul.
C’est comme une boucle familière. Morgue. Affaires. Enterrement. Notaire. Papiers. Succession. Il a déjà fait tout ça. La fatigue se fait de plus en plus présente, sous ses yeux. On lui dit qu’il a mauvaise mine. En même temps, il n’arrive pas à se coucher et parfois, il se réveille même debout dans sa chambre. Il s’use en faisant des cartons, en travaillant à gauche à droite, il oublie de manger puis, un beau jour, c’est en plein milieu de la rue qu’il s’effondre. Rien de grave, juste un malaise. Sauf que cet évanouissement sera suivi d'un autre. Et d'un autre encore. Ses mains tremblent, son corps se fige, il étouffe. Pas d'air. Des montées d'anxiétés soudaines le poussent à se tirer les cheveux, se frotter les bras et la nuque jusqu'au ce que celles-ci rougissent de brûlures. Parfois, il finit sur le sol de son salon, terrorisé en entendant les aboiements de chiens.
Sauf qu'il n'y a pas de chien aux alentours.

Ashley fini par parler de ce qu'il a vu à un spécialiste. Avec son état de santé, il se retrouve interné. C’est une année et demie de flou qui s’écoule. Lever. Cachets. Manger. Tourner. Cachets. Manger. Dormir. Ce n’était pas un animal, au fond, il essaye de s’en persuader. Il n’est pas taré, il sait ce qu’il a vu. Vous n’avez pas tué votre père. qu’on lui répond. La culpabilité du survivant, le fait de ne pas avoir agi assez vite, de se sentir coupable de la mort de son père, il parait que c’est ce qui le tourmente. Il faut du temps, avant qu’Ashley ne se fasse à ce diagnostic. Qu’il se fasse à ces crises régulières qui lui font voir des choses folles, qui épuisent son corps et son esprit. Il n’y a qu’une personne qui lui rende visite, et c’est sa tante, la sœur de son père. Foncièrement, le jeune homme ne l’a vu que deux ou trois fois tout au long de sa vie, avant de se retrouver entre ces murs blancs. Il aurait besoin d’assistance, une assistance légale, pour qu’il puisse sortir. Contre toute attente, c’est cette femme qui propose de lui prodiguer celle-ci. Sincèrement, Ashley ne sait pas pourquoi elle a fait ça, mais il ne peut cracher sur son aide. Ainsi, il quitte enfin l’hôpital pour vivre chez elle, dans la ville de Bray. Sa tante a ce côté étrange que possédait son père, mystérieux. Dans un sens, la ville, elle-aussi, regorge de curiosités. Cependant, c’est humiliant que de se faire surveiller par une personne que l’on connait à peine et qui se comporte comme si Ashley était un enfant fragile. Avec le temps, ce dernier n’est pas tant exemplaire sur la prise de ces médicaments. Il y a des moments comme ça, un ras-le-bol, il n’en peut plus, il n’en veut plus. Son rétablissement se fait lent, trop long à ses yeux. L’auto-sabotage, ça fait des ravages, mais il se reconstruit, petit à petit.

Ashley reprend gout à la vie.

Salut salut ! Moi c'est charlie et je débarque du haut de mes 25 ans. J'aime les thés russes, les cornes de gazelle, les plaids toudou, je déteste le langage sms et on me dit souvent que je suis un enfant et que je ressemble à un enfant. On me verra dans les parages trois fois par semaine environs. Je suis fier(e) de dire que j'ai découvert le forum grâce à mes favoris (depuis combien de temps ce forum y était sans que j'ose m'inscrire ??) et d'ailleurs je le trouve ah bah, le codage est doux aux yeux, sans trop d'animations ni de police de texte trop petite ( mes yeux vous remercient ), le contexte quant à lui est simple, concis, intéressant. Je suis un inventé et puis je tenais à terminer en vous disant que pantoufle ! Une toute dernière chose: avoir un rp d'intégration avec l'un de nos parrains: Non



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Bienvenue à toi sur le forum Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 2571641524
j'ai lu tes anecdotes, j'aime tellement déjà ton personnage Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 2210271934
(spéciale note pour ton avatar, je le connaissais pas mais il est cool Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 508348443 )
bon courage pour le reste de sa fiche **
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Basil Egerton
Basil Egerton
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MÉTIER/ÉTUDE : Gardien du cimetière
Bienvenue sur UL ! J'avoue j'ai aussi craqué sur le feat et le personnage, ça s'annonce à merveille Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 2210271934 (J'aime bien les nids à drames)
Si tu aimes les cimetières je vais être obligé de te prendre un lien Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 118876108
Bon courage pour la suite en tout cas, et n'hésite pas si tu as des questions, ma boîte MP est ouverte Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 655785576
(UL patientait dans tes favoris c'est trop mignon voilà Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 1226555958)
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River -> Merci beaucoup ! Je suis flatté ! Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 3293157673 ( je crois qu'il n'est pas très connu oui, mais il s'agit de mon feat favori, j'avoue Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 1159721841 )

Basil -> Ooooh ! Merci merci ! Je suis bien content que le feat vous plaise ! Et effectivement, en tant que fossoyeur, cela va de soi Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 118876108 ( j'avoue aussi que je craque sur ton feat Basil. J'adore quand on prend des bouilles d'anges pour des perso ...un peu moins angéliques disons Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 1158672222 ) Je n'hésiterai pas et merci encore ! Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 625224626
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Bienvenue à toi Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 508348443
Ça fait super longtemps que j'avais pas vu Timur joué, c'est trop cool Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 4232276276 Les anecdotes donnent vraiment le ton du bonhomme , j'ai hâte de lire la suite Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 508348443
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Bienvenuuuuue
Le pauvre petit bouchon :'( j'ai envie de lui faire un câlin et des cookies '3'
Ton personnage est super intéressant, j'ai hâte de découvrir l'histoire :)
Je viendrai te demander un lien parce qu'ils se sont sûrement croisé au rayon livres pour enfants hihi
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Invité
Bienvenue!! Effectivement les anecdotes donnent envie de connaitre plus le personnage! Pis j'adore Ashley en prénom de garçon.
Bon courage pour la suite de la fichette!
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Invité
BIENVENUE Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 508348443
De ce que j'en ai lu ton personnage a l'air au top, j'ai hâte de voir son histoire Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 2571641524
Si t'as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas à MP ! (super choix d'avatar soit dit en passant, je le connaissais pas mais il est quand même archi cute Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 379025902 )
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Invité
Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 359736634 Bienvenue a toi !

Hate d'en savoir plus sur ce perso ! J'espere que tu te plairas ici !
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Invité
Oooooh, un potentiel ami pour Adam, bien qu'ami soit un bien grand mot. On va se faire des réunions tupperware à ce rythme dans le cimetière Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 2210271934 Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 2210271934
En tout cas, bienvenue à toi sur le forum, et bon courage pour la suite Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 359736634

N'hésites pas si tu as la moindre question, doute, etc... On ne mord pas, promis ! Ashley Sullivan - Des nuages sous les paupières 118876108
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