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 STABAT MATER DOLOROSA

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Bonnie McQueen

nom | McQueen comme Steve, t'en es fière de ce nom.
prenom | Ton prénom, c'est Bonnie. C'est pas un diminutif, c'est juste Bonnie. Et tu t'en sors mieux que tes frères.
âge | 34 ans. Même moi ça me fait mal de l'écrire.
race | Sans grande surprise, tu es métamorphe. Tes frères sont des vermines mais toi t'es un chat.
lieu et date de naissance | T'es né le 14 février 1984 à Bray. T'es donc verseau.
orientation sexuelle | Non seulement les garçons sont idiots, mais en plus ils ne savent pas faire l'amour. Ils ne t'intéressent que s'ils peuvent t'apporter quelque chose.
statut marital | Très célibataire, qu'on te laisse en paix.
metier/etudes | Sans emploi.
situation financiere | T'as pas de chez toi, ça en dit long sur ta situation je pense.
organisation | Ouhla
ft | Stéphanie Sokolinski (c)from the morgue


détails, anecdotes et caractère

Hé, Bonnie, tu es qui, toi ? Mortimer est intelligent, Trevor est sensible, mais toi ? Toi t'es celle qui fait que de crier, t'es celle qui court partout, fait que de se vautrer et a toujours un truc cassé. T'es celle qui hurle qu'elle a raison car, de vous trois, c'est toi qui fais preuve du plus de bon sens. Enfin, tu es lucide mais tu t'en fous. Tu es clairvoyante mais tu fais un double nœud à ton bandeau autour des yeux. Bonnie, tu plonges la tête la première et te heurtes au fond du bassin, tu colles toujours la première droite et tes genoux raclent contre le bitume. Hé, Bonnie, pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu aimes avoir mal, comme ça ?
T'es une violente, c'est en toi, t'as le sang en ébullition, le sang sur tes mains et plus de lait dans la bouche. Il faut que tu te mettes en danger, il faut que tu casses des choses et des gens. C'est en toi, et tu peux rien faire contre. Comme une petite voix qui murmure au creux de ton oreille : « bousille-les. »

Et cette chance insolente qui te retient par le col quand t'as déjà un pied dans le vide...
Mais j'y reviendrai plus tard.

Oh, Bonnie, en plus d'être agressive, t'as jamais été une jolie fille. Ce qui te sauve, c'est peut-être ce truc que tu as au fond des yeux, ce truc qui veut dire « je vaux mieux que vous tous mais je suis fatiguée de vous l'expliquer », ce truc qui ressemble surtout à de la colère. C'est peut-être ça, la clé de voûte de ta personne. Cette colère qui t'étrangle. Qui t'a toujours étranglée. Ta haine est sincère et ne se dirige nulle part en particulier, ta rage est chaotique et suinte par tous tes pores. Tu es le cratère d'un volcan et ta lave coule dans toutes les directions. Infatigable. Trop preste.

Mais, Bonnie, toute cette hargne, il faut la museler. Toi, ta solution, c'est de bouffer des cachetons. Tradamol, Lexomil, Xanax, paracétamol codéïné, tout ce qui peut t'assomer un minimum y passe. Et tu fumes des joints comme si c'était des clopes, et tu gobes un carton un jour sur deux. Et, si jamais tu te sens un peu faiblarde, un trace de cocaïne suffit à te requinquer. Y'a pas de secret. C'est dangereux, tout ça, Bonnie. Heureusement que tu ne bois pas, ce serait le pompon. Mais, Bonnie, tu as de la chance.
Ça parait pas, mais t'as le cul bordé de nouilles. La fortune est entre tes doigts, autant pour trouver un pochon de weed par terre que pour jouer au casino. Du moins, ceux où l'on t'accepte encore. Bonnie, t'as de la chance, personne ne sait pourquoi. T'as toujours eu de la chance, tu as toujours échappé de trop près aux catastrophes. Le nombre de fois où tu as failli mourir foudroyée, noyée, étouffée, la nuque brisée. D'overdose. Le nombre de fois où on a appelé l'hosto parce qu'on s'inquiétait pour toi.

Mais, Bonnie, ça flatte ton égo.
Alors, Bonnie, on ne t'a pas porté assez d'attention quand tu étais petite ? Ça t'a rendue malade qu'on se désintéresse de toi ? Un légère peur de l'abandon, peut-être ? Permets-moi de faire de la psychologie de comptoir car c'est un fait : tu aimes que l'on se fasse du souci. C'est le seul moyen pour toi d'obtenir ce que tu veux. Tout. Un endroit où dormir, de quoi te buter le crâne, et parfois même de l'amour. Ou de la pitié, parce que tu confonds encore les deux. Ton comportement les chagrine mais c'est tant pis pour eux. Tu te dis que ça fait partie de ton plan de vengeance soigneusement échafaudé au fil des années pour qu'ils regrettent tous de t'avoir négligée. De t'avoir oubliée.

Hé, Bonnie. Toi, tu es celle qui ne veut plus rester sur le carreau. Tu es celle qui ne peut pas mourir.

~~~

1. Quand t'étais petite, un médecin a décrété que tu étais une enfant hyperactive. Alors tes saints parents se sont dit que ce serait sympa de t'offrir un instrument de musique histoire de te canaliser un peu et que tu arrêtes de détruire tout ce qui te tombait sous la main. Contre toute attente et à leur plus grand malheur, tu as choisi la trompette.

2. Allant de paire avec ton apprentissage des arcanes de la trompette, tu as développé au fil des années un goût certain pour le jazz. De Count Basie à Ellington, de Calloway à Sinatra, tant d’icônes que tu vénères encore ! Et puis au sommet, le top du top, ton idole parmi les idole, trône Louis Armstrong. Tu es plutôt orientée new-orleans et ta préférence va au swing.

3. T'es métamorphe chat. Certains diraient « oh trop mignon » mais toi tu sais bien que t'es pas mignonne : t'es qu'un vulgaire chat de gouttière. Noire, rachitique, couverte de blessures, les yeux globuleux, les oreilles trop longues. Ç'aurait pu être pire, mais ç'aurait clairement pu être mieux.

4. Tu te ronges encore les ongles mais tu essaies de t'en empêcher en les badigeonnant de vernis. C'est pas super efficace, tu finis toujours par l'écailler trop vite.

5. Dans le même genre, tu es plutôt myope et ça fait peut-être dix ans que tu te traînes la même paire de lunettes que tu ne portes même pas car tu te trouves vilaine avec ça sur le pif.

6. Comme tes frères, tu as un sommeil agité. L'un ronfle, l'autre parle, et toi tu ne t'arrêtes pas de gigoter. Tu prends toute la place, tu tires la couette pour toi et tu grinces des dents. Dormir avec toi est toujours un plaisir.

7. Tu tires la langue quand tu es concentrée. Tu ne t'en rends jamais compte et ça t'agace qu'on te le fasse remarquer.

8. T'adores manger. Et tu adores qu'on cuisine pour toi. Surtout quand ce sont tes frères qui s'y collent. C'est peut-être une des seules choses que tu acceptes encore de partager avec eux.

9. Ai-je déjà mentionné que tu as été foudroyée petite ? Des séquelles t'en as, à commencer par le point d'impact sur ta poitrine et le point de sortie sous ton pied gauche. Deux tâches noires, des perforations dans ton corps si léger. Inutile de mentionner ton arrêt cardiaque ni les brûlures thermiques qui courent sur ton ventre puis le long de ta jambe comme les nervures d'une feuille de chêne, alors que ton audition a pris un sacré coup ce jour là. Tu ne sais toujours pas si ta vue s'est rétablie, si les couleurs que tu vois sont les bonnes. Et avec la quantité de LSD que tu consommes, tu sauras jamais je crois.

10. Mais, si je dois aussi lister les autres restes de tes autres accidents, il faudrait que je parle des méduses qui ont lacéré ton dos si pâle, des lésions que tu as aux poumons à cause de ta quasi-noyade, de toutes les fois où tu t'es brisé un membre (ou plusieurs), ou encore de tes côtes fêlées et tes articulations qui ne fonctionnent plus qu'à moitié.

11. Tu ne fréquentes plus de cercles de jeu mais tu es incapable de refuser une partie de cartes s'il y a quelconque mise. Tu tentes de compenser avec des tickets à gratter sur lesquels tu gagnes toujours au moins cinq balles.

12. De même, tu consommes moins d'anxiolytiques depuis que tu es rentrée en Irlande. T'as un peu plus de mal à en trouver, et c'est franchement pas plus mal.


Ton histoire, ta petite histoire


Hé, Bonnie, ça fait quoi d'être la petite dernière ? T'es même pas la préférée, en plus.

De ton enfance tu n'as gardé que quelques très vagues souvenirs. Des journées au parc ? Des nuits passées devant les dessins animés avec tes frères tandis que les grands faisaient la fête ? Des bagarres qui, avec le recul, te paraissent bien musclées pour la petite que tu étais ? La fois où tu as cassé le nez de Trevor.

Hé, Bonnie, ça fait quoi d'être la petite dernière ?

En fait, tu n'as pas de réels souvenirs de ton enfance. Juste ceux qu'on t'a raconté. Ils ne t'appartiennent pas vraiment.

En fait, tu as oublié certains trucs quand tu as été foudroyée. C'était peut-être un an ou deux après ta première transformation. Il paraît que tu avais fait le mur un soir d'orage, et ça t'est tombé dessus. Comme susmentionné : arrêt cardiaque, amnésie, surdité temporaire et perception des couleurs altérée, de façon temporaire également (enfin, ça t'en es pas vraiment sûre). Le lot classique.
L'amnésie, c'est pas très drôle. T'avais oublié ce qu'il y avait à l'intérieur de toi, comme ça te faisait souffrir chaque fois, que le reste de ta famille aussi vivait la même chose. Tu te battais toujours avec Trevor sans trop savoir pourquoi et tu injuriais toujours Mortimer sans trop non plus savoir pourquoi. Tes potes de l'époque t'étaient complètement sortis de la tête et ne t'intéressaient plus, l'école non plus, de toute façon tu finissais toujours par te battre avec les filles qui te regardaient de travers. T'as commencé à te retrouver un peu toute seule, seule avec Trevor. Oh, on s'occupait de toi ! Mais c'était trop superficiel, on ne s'occupait de toi qu'à cause de cet accident. Où alors c'est ainsi que tu le ressentais. La moindre interaction sociale à laquelle tu étais confrontée passait automatiquement par ce filtre. Passent-elles toujours par ce filtre ?

T'avais quel âge quand Trevor a commencé à entrer dans son délire de magie ? Tu ne te souviens plus. De toutes les choses d'avant, c'est celle qui a réveillé le plus d'émotions en toi. Faut dire que Mortimer t'avait bien vendu le truc. Apparemment tu t’entraînais à être l'assistante de votre frère tandis que lui écrivait les numéros. L'idée était séduisante. La perspective de faire de la scène t'animait. Tu n'allais presque plus en cours, tu passais tes après-midis sur le parvis du lycée à fumer des joints en rêvant de gloire.

Et enfin, t'as eu l'âge pour arrêter l'école.
Enfin, t'as pu rejoindre ton frère préféré sur les planches.
C'était pas facile, vous deux. Tu aimais travailler avec lui mais tu n'aimais pas le voir travailler. Le stress le rendait odieux, les injonctions de Mortimer le rendaient odieux, tes coups le rendaient mauvais. Toi et Trevor le magicien, vous n'aviez pas un rythme de vie très sain. Vous partiez en vrille chacun de votre côté, chacun à votre façon, et toi tu te désintéressais de plus en plus du monde qui t'entourait. T'étais à peine majeure et tu passais le balais devant la porte de ton frère alors que l'aîné... T'étais à peine majeure et tu t'en foutais déjà plein les nasaux alors que l'aîné...

Tu les aimes, tes frères, c'est pas le problème.
Tu as la rancune facile, McQueen, mais cette fois c'est justifié.
T'as pleuré quand t'as appris ce que Trevor avait fait. Pourtant, c'est vraiment pas ton genre. Mais, Bonnie, tu as pleuré de rage. J'crois même que tu as essayé de te battre avec Mortimer. T'as l'impression d'avoir été la seule à croire les explications de votre aîné. La seule à comprendre cette dynamique entre tes frères.
Et Trevor a fini au trou. Et Mortimer n'a rien fait. Qu'aurait-il pu faire ? Et toi tu perdais ton partenaire de scène. Et Mortimer n'a rien fait. Et toi, t'aurais voulu le défigurer.

Bonnie, t'étais à peine majeure et pour la première fois de ta vie tu te sentais seule au monde. Tu ne voulais plus monter sur scène, tu ne voulais plus voir ta famille, tu n'avais pas d'amis. T'as stagné là encore quelque temps, voguant de teufs en plumards car c'était la seule chose que tu savais encore faire. De toute façon, tu avais oublié tout le reste.

Et puis t'es partie. Ça t'a pris comme ça. T'as gagné des sous sur un jeu à gratter et tu t'es payé un billet d'avion pour Paris.
En fait, tu voulais renouer avec tes premières amours. La musique. Le jazz. T'es arrivée en France avec ta trompette, quelques fringues et ta chance miraculeuse. Pourquoi pas ? Tu étais partie pour la plus belle ville du monde, ça ne pouvait pas être pire que Bray.

Oh, Bonnie, tu es parfois si naïve ! Ça doit être à cause de ces trous béants dans ta mémoire.
Paris, c'était la jungle. Tu t'es pas remise à jouer de la trompette mais tu passais presque tous tes débuts de soirée à squatter des concerts de free jazz. Les fins de soirée, en revanche, c'était autre chose. Tu collectionnes les addictions, Bonnie, ça date pas d'hier. Tu t'en es découverte une nouvelle sur le continent. Mais d'abord, posons le contexte, tu veux bien ?
C'est pas si longtemps après ton arrivée que tu as commencé à fréquenter ces gens là. Un peu inquiétants. Pas très recommandables. Pleins aux as. Ils te donnaient ce que tu voulais et parfois tu leurs donnais ton cul. Mais bon, c'est pas comme si tu y attachais une grande importance. En tout cas, tu te battais moins qu'en Irlande. Ou alors tu étais juste trop défoncée pour être violente.
Et ces gens là, ils ont commencé à t'emmener au casino. Ah, les salles de jeu ! L'atmosphère lourde et toutes ces lumières, ça te grisait. Et surtout, Bonnie, je l'ai déjà trop dit. Tu as de la chance. T'as commencé à t'attirer des ennuis, les croupières t'accusaient de compter les cartes et tu leur collais des marrons. Tu t'es faite blacklister par un casino, puis par un autre. Les videurs te regardaient de travers et on te sortait de force si tu jouais juste. Mais, Bonnie, tu ne perds jamais et la fièvre du jeu t'avait gagnée. Tu t'es crue Zelda Fitzgerald et avec tout ton bel argent tu as déménagé sur la côte d'azur.

Parfois Mortimer t'appelait. Tu ne lui répondais que rarement mais il te donnait des nouvelles de Trevor. Il allait finir par les faire, ses quinze ans. Quel con.

Toi, il n'y a plus grand chose qui te retenait en France si ce n'est le climat et les benzodiazépines. Dois-je mentionner ces quelques fois où tu as fini aux urgences ? Non, ça te vexerait. Tu vaux mieux que ça.

Mais, Bonnie, tu pars du principe que chaque chose a une fin. Et puis faut avouer que tu n'as jamais été très copine avec les français. Tu es restée combien de temps, dix ans ? Onze ? Le temps de six ou sept vies. Tu as oublié.

Alors tu es rentrée. Ça t'a pris comme ça. T'es rentrée et tu as recommencé à te battre comme avant, car faut croire que c'est ce pays qui te met en colère. Il te restait de l'argent mais t'avais pas envie de t'acheter quoi que ce soit ni de payer qui que ce soit. T'avais pas envie de trouver un travail, de mener une vie lambda. T'es pas une personne lambda, Bonnie McQueen. Tu n'es pas retournée voir tes parents car tu ne ressens plus d'affection pour eux. Tu as juste envoyé un sms à Mortimer, tu t'es dit qu'il préviendrait Trevor.

Ça fait combien de temps que tu es revenue ? Un an ? Deux ? Tu as oublié.
Tu crèches chez un type, un dealer avec qui tu t'entends bien car il pose pas trop de questions. Parfois vous couchez ensemble alors il n'ose plus vraiment te faire payer pour ce que tu consommes. J'crois qu'il t'aime bien. Et j'crois aussi que t'en profites un peu.

Pourquoi tu te retrouves toujours dans des situations incongrues ? Tu sais pas trop.
Tu as oublié.

Salut salut ! Moi c'est hydb/Naomi et je débarque du haut de mes 19 ans. J'aime la vie, je déteste la vie et on me dit souvent que la vie. On me verra dans les parages la vie. Je suis fier(e) de dire que j'ai découvert le forum grâce à la vie et d'ailleurs je le trouve daaaaaaammmmmnnn. Je suis un pré-lienventé et puis je tenais à terminer en vous disant que JE VOUS AIME VOUS M'AVEZ TROP MANQUES AAAA ! Une toute dernière chose: avoir un rp d'intégration avec l'un de nos parrains: Non

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Invité
T'ES LA PLUS BELLE JE T'AIME JE SUIS TROP CONTENTE QUE BONNIE REVIENNE STABAT MATER DOLOROSA 3630884276 et ta signa déchire
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Alors j'ai un Clyde qui est chat aussi, qui dit mieux ? Faudra qu'on se trouve un lien du coup STABAT MATER DOLOROSA 2077382092
Rebienvenue chez toi STABAT MATER DOLOROSA 2981188539
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Vous ici princesse ? ♥️

T'es belle STABAT MATER DOLOROSA 359736634

Tu m'as manqué STABAT MATER DOLOROSA 395642456

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Invité
Bonniiiie
re-bienvenuuue
C'est beau une famille recomposée T-T
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Re-bienvenue à la maison STABAT MATER DOLOROSA 118876108
(je ne suis pas bavard au réveil /PAN)
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Invité
Re-bienvenue!! La famille McQueen au complet, si c'est pas bô ça STABAT MATER DOLOROSA 3293157673
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Invité
Re-bienvenue parmi nous STABAT MATER DOLOROSA 508348443
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Invité
STABAT MATER DOLOROSA 3764945929 STABAT MATER DOLOROSA 3764945929 STABAT MATER DOLOROSA 3764945929 STABAT MATER DOLOROSA 3764945929 STABAT MATER DOLOROSA 3764945929
vous m'aviez manqués STABAT MATER DOLOROSA 3630884276
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Invité
T'es de retouuuur STABAT MATER DOLOROSA 508348443 (je te l'avais dit, même pas six mois haha STABAT MATER DOLOROSA 2210271934)
Soko STABAT MATER DOLOROSA 508348443 je l'ai tellement aimée dans bye bye blondie STABAT MATER DOLOROSA 3630884276
Bon courage pour la fin de ta fiche STABAT MATER DOLOROSA 508348443 :brill:
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