The most important kind of freedom is to be what you really are - Wolfgang
Invité
Mer 23 Mai - 18:29
(Les pensées d'Albrecht de de Pénélope et de Sheldon ne sont audibles que de Nemésis, d'où l'italique)
Invité
Mer 23 Mai - 22:17
The most important kind of freedom is to be what you really are
némésis et wolfgang
« On doit creuser les fontaines profondes si on veut de l'eau claire. Rose rouge, oh rose rouge, les eaux profondes ne dorment pas. »
Te revoilà sur ta scène, satisfait. Tu n’as pas eu trop à crier aujourd’hui, puis les “enfants” ont été relativement sages. Sans doute leur as-tu laissé un cuisant souvenir de ta dernière crise de colère. Enfin crise, c’est un bien grand mot. Tu ne te perds pas dans les caprices, mais tu restes un être humain dont le calme avait ses limites. D’autant plus que tes jumeaux sont dans ta salle de classe, et cela te perturbe. Tu te souviens pourtant leur avoir bien dit de ne plus fréquenter ta classe. Allons-bon, tu ne peux pas t’en plaindre vraiment. Au moins, ils ont le mérite contrairement à d’autre de s’intéresser à ce que tu fais. Et porter leurs intérêts sur quelque chose de moins sanglants que ta vie privée. Tu ne soupires pas, Wolfgang. Soupirer n’a jamais été de bon ton, et tu dois rester de marbre. C’est ainsi l’image que tu as ancré dans leurs cerveaux. Ta craie fait résonner un point final à ton oeuvre. Un symbole, celui du Phénix. L’une des cinqs entités représentant le feu avec le gnome, la salamandre, le djinn et la chimère. Tu veux tester, voir ce qu’ils y connaissent en créature élémentaire que l’on peut retrouver dans les symobliques magiques. Ton menton se lève, et ton regard scrutte les rangs. Puis ta voix finie par résonner : “Qui peut me dire pourquoi on associe le Phénix au feu ?” La réponse était évidente à tes yeux, mais tu avais tendance à oublier qu’il y avait de parfaits novices dans la salle. Tu avais pris appuie sur ta salle, et ce fût ta propre fille qui avait répondu : le Phénix est un oiseau entièrement constitué de feu se caractérisant par sa capacité à renaître de ses cendres, ne connaissant aucune "mort" véritable. Il symbolise ainsi le cycle de la vie, et la résurrection ou l'immortalité tant recherchée. On les retrouve dans les mythologies persanes, chinoises, aborigènes et amérindiennes. Symbole de force, de pouvoir, d'Empire, le Phénix est associé au ciel et le symbole du pouvoir impérial du Ciel. Ils gardent un caractère très noble, l'impétuosité du feu font aussi leur force ainsi que leur sagesse. Les empereurs/rois/chefs apparaissent souvent avec un Phénix comme attribut. Tu hoches la tête, forcé d’admettre que tu avais un touche de fierté. Ta propre fille se plaçait bien au-dessus de ses camarades. “Exact Mademoiselle.” Quelle cruauté, tu ne l’appelles même pas par son prénom. Puis tu reprends l’air de rien. “Son nom suffit à invoquer le feu, et il est aussi une version un peu plus douce que la destruction et la désolation. Le cycle de vie pourrait être plutôt associé à la terre, mais il reste l’élément permettant de forger, et donc, de créer.” La cloche résonne, et te voilà coupé dans ton élan. Tu lèves les yeux au ciel, tu avais horreur de cette sonnerie. Enfin bon, tu n’allais pas les retenir ici indéfiniment. Et puis, ils n’avaient pas besoin de toi visiblement pour savoir quand se lever de leurs chaises. Tu fis alors de même, rassemblant tes affaires dans ton sac en cuir pour effacer toute trace de ta présence dans l’amphithéâtre. Tu avais un peu traîné, par politesse, puisque tu avais effacé le tableau noir à la va-vite. Tu veux bien faire un geste, mais tu n’es pas non plus payé pour faire le travail de la femme de ménage. Ta troisième jambe tape en rythme après tes pas, et tu vois cette jeune femme à ton bureau. Tu es interloqué, tu ne vas pas le cacher. Très peu de personne ont l’audace de venir te déranger. Ils ne faut pas leur en vouloir, tu es plutôt imposant et terrifiant quand on ne te connaît pas. “C’est le cas.” Répondais-tu en échos à sa remarque. Diantre, que c’est affreusement mal polie de parler de quelqu’un dans son dos. De toi qui plus est. “A qui parlez-vous ?” Tu regardes autour de vous, il n’y a personne. Une folle ? Possible. Tout est possible dans cette ville. Tu sors tes clés de la poche de ton veston, et tu ouvres la porte en lui ayant demandé préalablement de se décaler pour que tu puisses accéder à ta serrure.
(c) DΛNDELION
Invité
Jeu 7 Juin - 17:51
(Les pensées d'Albrecht de de Pénélope et de Sheldon ne sont audibles que de Nemésis, d'où l'italique)
Invité
Dim 1 Juil - 11:45
The most important kind of freedom is to be what you really are
némésis et wolfgang
« On doit creuser les fontaines profondes si on veut de l'eau claire. Rose rouge, oh rose rouge, les eaux profondes ne dorment pas. »
Mon dieu, tu ne connaissais pas cette jeune femme, mais tu sentais que cette entrevue allait être particulièrement longue. Avec un peu de chance, peut-être qu’elle réussira à t’amuser. Chose qui était bien partit avec cette petite boulette de sa part. Te juger alors qu’elle ne te connaissait pas, se bercer dans des préjugés pour anticiper. Et là, tu apparais, brisant toutes ses images et ses anticipations pour la surprendre. Avec du recul, tu ne le prends pas mal finalement, puisque cela t’a fait plaisir de la casser dans ses songes. Le seul point qui semblait t’ennuyer, c’était le fait est qu’elle arrivait au moment où toi tu comptais partir pour rentrer à la maison et savourer ton verre de vin avec un fond de musique pour te détendre. Rashlan t’y attendait, et c’est là que tu réalises que tu étais prêt à lui accorder du temps pourvu que cela en fasse moins à passer aux côtés de cet être maléfique. Un bref sourire apparait sur le recoin de tes lèvres et tu lui jettes un regard en coin tandis que tu ouvrais ta porte pour entrer. « Ce n’est rien, ne vous en faites pas. Je suis plutôt … Atypique dans mon domaine. » Et ce n’est pas rien de le dire. Tu avais cherché le mot juste, prolongeant ainsi ta phrase le temps de le trouver. Tu ne connaissais pas beaucoup de magicien en ville, à croire que tu étais le seul réellement actif du coin, et donc tu ne savais pas comment était tes congénères physiquement parlant et s’ils répondaient à cette description. Le clic de la serrure finit par se faire entendre, et tu la pousses, dévoilant ainsi un bureau richement décorer, tout dans la classe, le bon gout, et avec une touche de rusticité car tu avais décidément bien du mal avec la décoration moderne. Tu déposes ta sacoche sur la table, inspectant le courrier reçu et que tu avais précédemment ramassé par terre. Tu l’écoutes d’une oreille attentive. Elle vient te réclamer des connaissances, et tu ne peux t’empêcher de lui lancer un regard suspicieux tout en lui répondant : « Pour en faire quel usage, je vous prie ? Et comment avez-vous su que j’enseignais la magie ? Après tout, je ne suis qu’un humble professeur d’occultisme, qui vous dis qu’il s’agit de mon domaine ? » Tu feuillettes ton courrier tout en lui répondant, t’arrêtant de temps en temps sur des nouvelles qui ne te plaisaient pas comme des plaintes de parent d’élève, une convocation chez le directeur pour parler de l’avenir de ton cours. Heureusement, pour contrebalancer tout ça, tu recevais des félicitations, des nouvelles de tes anciens élèves et leurs encouragements. Tu l’entends ricaner pour une raison que tu ignores et comme vous n’êtes que tous les deux dans cette pièce à tes yeux, tu en déduis rapidement que tu as dû dire quelque chose de drôle. Non seulement, elle te juge sur ton apparence sans te connaître, mais en plus elle se permet de se moquer de toi alors que tu acceptes de l’aider. Ta patience est relative, Wolfgang, et tu te doutes qu’elle n’en a pas conscience. Aussi, tu te contentes de poser la question pour être sûr de ne pas partir sur une fausse piste. « Puis-je savoir pourquoi je vous fais rire ? Si vous ne prenez rien au sérieux, inutile de venir me voir pour des cours. Je ne prends que des élèves disciplinés et sérieux. » La tonalité de ta voix est sèche, presque glaciale, mais légère. Tu ne supportes pas les petites-frappes, cela te donne une horrible envie de les châtier jusqu’à leurs trépas. Bien sûr, tu ignores aussi son petit problème mental, alors il est normal que tu te montres aussi direct dans ton jugement. Pourquoi te priverais-tu ? Elle ne s’était pas gênée pour te traiter d’hippie sans même t’avoir déjà vue après tout.
(c) DΛNDELION
Invité
Dim 22 Juil - 18:14
(Les pensées d'Albrecht de de Pénélope et de Sheldon ne sont audibles que de Nemésis, d'où l'italique)[/quote]
Invité
Sam 25 Aoû - 11:18
The most important kind of freedom is to be what you really are
némésis et wolfgang
« On doit creuser les fontaines profondes si on veut de l'eau claire. Rose rouge, oh rose rouge, les eaux profondes ne dorment pas. »
Tu ne prends pas de gants avec elle, Wolfgang, mais tu estimes que si elle souhaite à ce point ton aide, elle doit se préparer à supporter un être qui n’a ni coeur, ni âme, seulement une soif intangible de puissance. Elle répond à ta remarque par une adroite flatterie qui lui vaut le mérite de te faire décrocher un sourire aussi léger que discret. Tu ne rétorques rien, rien d’autre qu’un soupir et une respiration profonde. Comme quoi, tu apprécies les compliments, mais tu as du mal à les recevoir. Si elle savait ce que tu étais, tu doutes qu’elle continue dans cette lancée. Elle aurait même totalement le droit de t’insulter de monstre, de démon, de sans-coeur. Tu en serais blessé ? Nullement. Car tu réussirais à prendre ceci comme un compliment. Les yeux dans le vague quelque instant, tu ne peux laisser sa remarque sans réaction. Aussi, tu finis par répondre : “C’est une façon de voir les choses relativement correcte, je vous l’accorde.” Donner raison à autrui, tu détestais cela. Tu fais de ton mieux pour ne pas montrer ton mécontentement, mais tu as le même faciès qu’un loup grognant et menaçant. Tes dents blanches teintent ton sourire d’une certaine colère, ou alors est-ce de la frustration, et tu écoutes sa réponse avec intérêt. Ainsi donc, elle était au courant pour la magie, et elle avait sû faire le lien avec ta matière en usant d’un sérieux à toute épreuve et d’une bonne logique. Elle obtient de bon point à tes yeux, et tu conçois à lui venir en aide. “Très peu de personne sait faire ce lien pour la simple et bonne raison qu’aux yeux de Monsieur Toulemonde, la magie n’existe pas. Or, si vous me sortez cela avec autant de sûreté, c’est que vous devez être au courant. Deux options se présentent à moi alor ; soit vous êtes vous-même magicienne, soit vous êtes une Djinn ou une Génie.” Autant abattre les premiers murs qui pourraient entraver son apprentissage dès maintenant : ceux du secret. Ainsi, tu peux lui expliquer ouvertement et avec autant de subtilité possible que tu es toi-même particulier. Que tu n’es pas simplement un charlatan, et que tu es sans le plus puissant des magiciens qui demeurent dans cette ville. Au plus grand damn des créatures magiques qui auraient pu gagner beaucoup à t’avoir dans leur poche. Ton regard à son encontre s’était noirci au même moment où elle avait osé rire. Oh, tu ne l’avais pas loupé au tournant, et tu n’avais pas tardé à lui faire une remarque peu commode à ce sujet. Elle s’embrouillait dans ses propres excuses, et tu trouvais cela suspect. Non seulement parce que cela débordait d’honnêteté qui te donnait presque de l’urticaire, mais aussi parce que tu trouvais cela étrange. Tu l’as vois tourner son alliance autour de son doigt, et tu comprends vite de quoi il en retourne. La perte d’un être cher. Dommage que tu n’aies pas de coeur, car ce n’est pas cela qui va t’attendrir. Tu te contentes de soupirer discrètement dans le col de ta veste, et tu l’écoutes étaler ses mots comme si elle étalait un CV et une lettre de motivation. “Très bien, dans ce cas, donnez-moi cinq représentations de l’élément “Eau” dans un cercle d’invocation, et parlez-moi un peu de la personne qui vous a passé cette alliance à votre doigt. Prouvez-moi que vous êtes si disciplinées que vous le prétendez.” Tranchant, tu soupires cependant de la bonne volontés à l’accepter parmi ton entourage professionnel. Il faut dire que la curiosité à son égard te pousse à accepter. C’est sans aucun doute ce qui l’a sauvé. Tu t'assois lourdement sur le fauteuil de ton bureau, et tu désignes de la main ceux en face de toi, de l’autre côté, pour qu’elle s’installe et qu’elle t’en dise plus avec un minimum de confort.
(c) DΛNDELION
Invité
Mar 28 Aoû - 17:53
(Les pensées d'Albrecht de de Pénélope et de Sheldon ne sont audibles que de Nemésis, d'où l'italique)
Contenu sponsorisé
The most important kind of freedom is to be what you really are - Wolfgang