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  I'M ONLY HUMAN AFTER ALL (DARLEEN)

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DARLEEN MCKOVONÁCH

nom | McKovonách, nom du père, fragment d’héritage.
prenom | Darleen, Darla pour les intimes.
âge | Vingt-quatre ans.
race | Seulement humaine parce que les chasseurs ne sont pas une espèce à part entière.
lieu et date de naissance | Née à Newcastle West dans le comté de Limerick le 13/10/93.
orientation sexuelle | Pan.
statut marital |  Veuve noire.
metier/etudes | Intérimaire d'exception, actuellement serveuse à temps partiel au Coffee Shop.
situation financiere | Malgré un compte bancaire bien dodu.
organisation | Dux Tenebris.
ft | Zoey Deutch (c)neon cathedral.


détails, anecdotes et caractère

Elle connaît toute la vie de Kylie, Khloé, Kourtney, Kim & Kendall. Grande fan de l'Incroyable famille Kardashian, vous ne lui ferez pas louper un épisode. La télé-réalité lui procure un sentiment de légèreté. En effet, savoir qu'ils ont une vie encore plus pourrie que la sienne, ça n'a pas de prix. + Maladroite, c'est un peu devenue sa tare, l'ombre dans son sillage. Ce petit défaut de fabrication, presque charismatique, qui lui fait monter le rose aux joues. + Extrêmement tactile, elle privilégie le sens du toucher pour communiquer. Au plus grand désarroi de la moitié de la planète qui ne supporte pas d'être effleurée. + Elle parle fort, chante fort, rit fort Darleen. Le bruit, c'est sa mélodie, son état d'esprit. Battre le silence à son propre jeu, ne plus entendre ses pensées pour réussir à oublier. + Le ventre noué par le poids de la culpabilité, ça fait longtemps que son appétit s'est tiré. Pourtant l'envie persiste, les babines retroussées à la vue d'un simple hamburger. + Regarder les albums de famille lui fait mal au coeur mais ses yeux ne parviennent à dilapider ce bonheur d'antan. Un brin de nostalgie au bord des cils et le désir de retourner en arrière. Brasser les années pour gambader à travers l'insouciance des jours perdus. + Autant elle adore acheter du maquillage, autant en mettre relève presque du carnage. Vous imaginez bien qu'avec sa maladresse, le trait d'eyeliner devient une expédition de tous les dangers. C'est à se demander comment Darleen évite la cécité à chaque tentative. Un miracle, n'est-ce pas ? + La fumée de cigarette lui donne la nausée. Effet immédiat. Odeur associée à une rancoeur profonde envers un être abject. C'est comme un mauvais souvenir, un sentiment de dégout profond et ses tripes qui remuent à l'intérieur, prêtes à s'échapper à tout instant. + A défaut d'être une machine de guerre, elle pratique la Zumba pour rester en forme. Oui parce que les arts martiaux, c'est pas vraiment son truc hein. Par contre le cardio sur des musiques dansantes avec une bonne chorégraphie, ça lui plait beaucoup plus. + Reine du Rummikub indétrônée, faut dire qu'avec quatre frères dont les cerveaux réunis ensemble font la taille d'un grain de sésame, la victoire est assurée d'avance. Quoi que, personne n'est à l'abri d'un éclair de génie.

Elle est attachante Darleen, comme une poupée de chiffon au fin fond de l’armoire, plongée dans le silence du noir. Vestiges d’une enfance révolue qui évoque la douceur et l’innocence des jours d’antan. Pourtant piégée dans cette boîte de carton, à l’abri de l’exposition parce que sa simple présence est capable d’alimenter un embarras sans nom. Elle est maladroite Darleen, comme une malformation inéluctable rongeant sa réputation, au point de faire voler en éclats le peu de crédibilité qui lui reste. Dans ces conditions, il devient difficile de garder un minimum de dignité, raillerie et  moquerie se succèdent sans modération. Pourtant c’est pas faute de faire attention. Elle est abonnée Darleen, aux conneries en tous genres, aux cons aussi. Comme un aimant à emmerdes qui se parent de velours. Ça lui colle à la peau, ce virus, n’ayant pas encore trouvé le moyen de s’en débarrasser pour toujours.

Elle est agaçante Darleen, pire qu’une sonnerie de réveil un jour férié coincé sur le bouton repeat. Pire que le volume sonore qui ne cesse d’augmenter jusqu’à réveiller l’immeuble complet. Ça rend fou. Ça donne des pulsions meurtrières. Cette façon de rappeler son existence au monde entier, sait-on jamais, si ce dernier est frappé d’amnésie totale au cours de la nuit. Elle est intrusive Darleen, comme une vipère qui se faufile partout. Débarquant dans la vie des gens avec la candeur d’un enfant, s’immisçant dans tous les recoins de leur existence, devenant un repère au milieu des ténèbres. Avant de disparaître brutalement. A la manière d’un accident de voiture qui frappe, qui heurte, qui condamne.

Elle est abîmée Darleen, comme une feuille de papier chiffonnée, mise au recyclage parmi les autres déchets histoire d’être réutilisée. Trop de victimes au compteur. Trop d’innocents en prime. Ça l’empêche de dormir, lui cause des insomnies à en vomir. Alors le déni devient une solution, un pansement temporaire, éphémère. Elle est vulgaire Darleen, comme sa mère. C’est héréditaire faut croire. Les insultes lui échappent, deviennent sa marque d’affection. Les mots doux sont remplacés par les injures d’une fille de bonne famille. Elle est hypnotisante Darleen, comme une photo en noir et blanc qui capture l’attention. Y’a quelque chose qui accroche l’âme. Des silhouettes floues attisant la curiosité. Des émotions coupant le souffle. Et la mort au bord du gouffre.


Ton histoire, ta petite histoire

(2001) - La tension est à son comble, le public retient son souffle. Les poupées de porcelaine demeurent immobiles sur le devant de la scène, sous les feux des projecteurs. Quand le jury annonce la candidate qui remporte le premier prix, un cri strident traverse la salle. Les regards se tournent vers l'hystérique du troisième rang, hurlant comme une cinglée et pleurant comme une fontaine. Elle est fière Marla, fière comme la mère de l'année. C'est le premier concours de beauté de son bébé. Quelle émotion. La première victoire. Il faut dire que tous ses espoirs reposent sur Darleen. Unique fille d'une fratrie de quatre garçons, ça ne laisse pas beaucoup de choix. Pourtant, ils sont tous présents ce soir. Du plus petit au plus grand, sapés comme les Aristochats. Elvis porte ses lunettes Dior sur le nez, Abraham sa petite cravate bleu Gucci, Lincoln son veston de satin et O'Malley son chapeau rouge bordeaux. Chaque sortie de la petite famille est un véritable défilé de mode, une exposition des dernières tendances et un magazine interactif présentant les marques en vogue. Le tout, entretenu par la fortune McKovonách que les générations précédentes ont amassé au cours de leurs transactions immobilières. Sans oublier de mentionner les actions en bourse. Et pourtant, malgré le luxe opulent de cette vie séduisante, la rentière ne parvient à garder homme à ses côtés. Cinq enfants et cinq pères différents. Le schéma se répète inlassablement. Quand son ventre s'arrondit, le géniteur prend la fuite tel un voleur. Alors finalement, elle s'est fait ligaturer les trompes pour garder le prochain.

(2003) - C'est une magnifique après-midi d'été, bercée par la chaleur du soleil. Néanmoins, au milieu de la forêt, une petite brise de fraîcheur surprend les enfants qui suivent le sentier. Ils ont l'habitude de s'aventurer dans les parages quand les autres sont absents. C'est un peu leur jardin secret, ayant promis de n'en toucher mot aux autres. Elvis est persuadé que ses frères vont finir par tout avouer à leur mère. Or, ce n'est vraiment pas le moment ! Elle vient tout juste de congédier la nourrice, estimant qu'ils sont assez grands pour se débrouiller seuls. Alors chaque samedi, de retour de la promenade, Darleen note tout dans un carnet à défaut de pouvoir en parler librement. Elle espère finir par voir une biche, sinon à quoi bon gambader le long des sapins ? « Ecoute, ça vient de la rivière. » Il lui semble avoir entendu un bruit. Ni une ni deux, la petite irlandaise s'aventure à travers bois pour tomber sur un ours brun agité. En effet son comportement est étrange, il ne cesse de tourner en rond. Incapable de deviner la terreur qui agite le métamorphe faisant expérience de ses capacités pour la première fois, la môme s'approche de lui. Malheureusement, ce dernier effrayé, balance une patte dans la foulée. Elvis arrive à ce moment-là pour l'écarter du monstre colossal. Les choses se déroulent si vite. Les griffes déchiquettent la peau d'un seul mouvement, le sang se met à gicler de la carotide et le corps frêle du garçon vacille de droite à gauche. Darleen ne se souvient pas vraiment de la suite des évènements. Simplement du rouge recouvrant sa robe de fleurs et du coup de feu du chasseur volant à son secours.

(2008) - L'entraînement, ce n'est définitivement pas sa tasse de thé. Pourtant, elle essaie d'être à la hauteur, pratiquant en dehors des heures définies. Hélas, sa dextérité laisse toujours à désirer quand ses frères n'ont aucun mal à manier les différentes armes. Ils font la fierté d'Alan qui se félicite de former des soldats aussi compétents, des fils aussi puissants. Il aime les appeler ainsi depuis que son statut de beau-père ne fait plus aucun doute au sein de la petite famille. Marla se repose entièrement sur lui pour élever ses enfants, bien trop accablée par la perte brutale et le chagrin insoutenable qui l'empêche de faire son deuil. Elle ne voit même pas d'objection à la proposition de son compagnon, souhaitant retirer les gamins de l'école pour parfaire leur apprentissage. Une décision un peu extrême qui ne met guère longtemps à être appliquée. Darleen est la seule à regretter la sonnerie stridente, les cours interminables et les repas immondes de la cantine. En bref, les derniers remparts de normalité de sa vie. Parce que plus rien n'est pareil depuis la disparition d'Elvis. Depuis que le surnaturel est leur nouvelle réalité. Les créatures, elle les étudie depuis sa chambre, parcourant les notes de son précepteur. De son sauveur. Un lien particulier les unit, une sorte de pacte. C'est pourquoi le chasseur ne compte pas l'abandonner à sa maladresse mais lui trouver un rôle adéquat. Il envisage de mettre à profit ses prédispositions intellectuelles et son adaptation sociale pour des missions assez inédites. Parce qu'il veut faire une armée. Son armée.

(2010) - Une menace ? Honnêtement, cela lui semble peu probable. A moins de lui foutre un coup de grimoire dans la mâchoire, ce magicien est tout ce qu'il y a de plus inoffensif au monde. Pour dire vrai, Darleen éprouve même une certaine curiosité à son égard. C'est la première fois qu'elle en côtoie un. L'appréhension des premiers jours s'est rapidement estompée afin de laisser s'installer une fascination ambigüe. Il ne la remarque pas tout de suite au milieu des livres de la bibliothèque pourtant leurs regards se croisent sans cesse. Quand il arrive le matin avec son petit chariot de revues scientifiques à ranger sur les étagères. Quand il cherche sa tupperware dans le frigo de la salle du fond. Quand il attend le bus sur le banc en face. Petit à petit, elle s'est insérée au paysage comme une fleur dans un jardin garni. Sans éveiller le moindre soupçon. Finalement, les mots viennent d'eux-mêmes, alimentant des conversations futiles jusqu'aux réunions en petit comité. Elle rencontre ce soir-là une femme de toute beauté qui lui fait complètement oubliée la raison de sa présence ici. C'est seulement au petit matin que Darleen percute sur la nature de cette nymphe à la voix envoûtante. Une sirène, une vraie. Ainsi les masques tombent, les uns après les autres, dans l'innocence des confidences. Tandis que l'infiltrée se morfond dans le mensonge pour ne pas dévoiler la raison de sa présence. Elle perd parfois de vue le but de sa mission mais la découverte des djinns lui rappellent les enjeux présents. Terrifiée par la puissance dont ils sont capables, Alan parvient à la raisonner. Avant de mener ses trois cavaliers éradiquer le nid.

(2013) - Ils ne comprennent pas son hésitation. C'est une chance inouïe de faire partie de quelque chose de plus grand. Un honneur, un privilège. Pour eux, sans aucun doute. Elle ne partage pas vraiment leur opinion, assez perplexe quant à cette organisation. Les dux tenebris. Rien que le nom est barbare. Darleen manifeste une certaine réserve. Il faut dire que depuis quelques temps, leur vengeance familial lui semble dépourvu de sens. La plupart des créatures ayant croisé sa route n'ont rien fait de mal. Cette remise en question commence à faire dangereusement pencher la balance. A vrai dire, cela impact d'ores et déjà ses choix. Lors de sa dernière mission, elle ne dénonce pas un métamorphe innocent, préférant l'épargner. Malheureusement, la nature de ce dernier finit par être découverte. L'irlandaise apprend la nouvelle dans le journal, quelques semaines plus tard. Un professeur de mathématiques décède d'un accident de voiture. Une mort maquillée digne de son précepteur, sans le moindre doute. La colère l'amène à le confronter pour découvrir l'ignoble vérité. La clope en bouche, les volutes de fumée s'écrasent contre son visage abasourdi d'apprendre que ses frères risquent de tomber. Il parle de preuves accablantes devant un tribunal, elle n'en revient pas. Le piège se referme doucement sur ses rêves d'échappatoire. Cette conversation, nul n'en découvrira l'existence. Marla ne veut rien savoir de l'envers du décor, préférant croire que ses enfants sont des héros pour l'humanité. Tandis que ses fils se contentent de cette version de l'histoire, n'imaginant pas que leurs actions soient condamnables. Ils ne réalisent combien la frontière entre bien et mal n'est que pure illusion.

(2017). C'est définitivement au-dessus de ses forces. Malgré l'épée de Damoclès qui s'agite autour de sa tête, elle ne peut se résoudre à vendre cette famille comme du bétail prêt à l'abattoir. Il lui faut intervenir d'une façon ou d'une autre. Consciente de ne pouvoir les protéger par ses propres moyens, l'infiltrée décide de mettre un terme à cette mascarade. Au début, Abraham est perplexe, un peu chamboulé par ces révélations inattendues. O'Malley ne dit pas grand chose non plus, le front plissé. Tandis que Lincoln fait les cent pas dans la petite chambre d'hôtel. Rarement réunie ensemble, la fratrie se retrouve seule pour la première fois depuis des années. Sans la présence accablante de leur précepteur. « Le petit garçon à l'âge d'Elvis. » Darleen les prend par les sentiments, choisit minutieusement ses mots. Elle sait que tout leur monde s'écroule subitement. Elle sait que leurs croyances, repères et principes sont subitement bafoués. Néanmoins, ils ne prennent pas le temps d'y réfléchir et décident d'agir dans la nuit pour qu'au petit matin, les cibles soient hors de danger. Ou en tout cas, hors du champ de mire. Combien de temps Alan mettra-t-il avant de découvrir leur alliance ? Sans nouvelles de lui depuis une semaine, ils commencent à faire des plans, envisagent de quitter l'organisation. Quand la police vient chercher Abraham, l'accusant du meurtre de trois individus. L'affaire remonte à plusieurs mois mais la vidéo l'incriminant annonce d'ores et déjà la couleur. Le procès est assez expéditif, il faut dire que la justice ne manque pas d'éléments pour le condamner.

(2018) - Nouvelle ville, nouveau dossier, nouveau nom. Qui est le suspect cette fois ? Son regard s'arrête quelques instants sur les papiers prisonniers de ses phalanges. Les dux tenebris continuent d'utiliser ces chemises cartonnées roses de l'antiquité quand l'ère du numérique est de toute évidence en marche. Faut dire qu'Alan aime bien lui remettre les identités des créatures en mains propres, histoire de bien rappeler sa position. C'est un petit manège auquel il s'adonne avec plaisir depuis l'incarcération d'Abraham. Ce coup de maître, il le doit à son esprit calculateur. Et surtout, sa paranoïa croissante, qui lui vaut des insomnies de compétition. « Ne foire pas la mission. » L'irlandaise l'écoute sans prendre la peine de répondre, partant de ce pas rejoindre l'arrêt de bus le plus proche. En attendant de se procurer une voiture de location, elle utilise les transports en commun. Durant le trajet qui la ramène à la petite auberge, ses doigts s'agitent sur la pochette. Il lui faut recruter des créatures pour mener à bien l'évasion de son frère. Et son point de départ se trouve sur l'une de ses feuilles. Rongée par un mélange de curiosité et de nervosité, elle finit par regarder le nom inscrit dessus. Ce n'est pas la première fois que ces syllabes croisent sa route. Ça lui parle vaguement. Ça lui rappelle Dublin. C'est dans un brouhaha de pensée que son esprit se met à se questionner. Kyle Osborn. « C'est qui ce con ? » Elle l'ignore encore à cet instant, mais ce con va lui permettre de se fondre dans la masse, de trouver une bagnole digne de ce nom, de se rapprocher des gens du coin, de commencer une colocation avec une native, de mettre sur pied un plan. Parce que ce con, c'est l'espoir qu'il lui reste.


Salut salut ! Moi c'est ΛURORΛ BOREΛLI et je débarque du haut de mes VINGT-QUATRE ans. J'aime MES CHEVEUX, je déteste LE GACHIS et on me dit souvent que J'AI UNE CHANCE INFIME DE GAGNER À L'EURO MILLION. On me verra dans les parages RÉGULIÈREMENT. Je suis fier(e) de dire que j'ai découvert le forum grâce à MADDEN & OSBORN QUI M'ONT PROMIS UN CAFARD et d'ailleurs je le trouve BEAU, ÉPURÉ, BIENVEILLANT. Je suis un INVENTÉ et puis je tenais à terminer en vous disant que LA TEAM BOULETTE CEY LA VIE ! Une toute dernière chose: avoir un rp d'intégration avec l'un de nos parrains: Non



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