-20%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, 144 Hz, FreeSync ...
399 € 499 €
Voir le deal
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy!

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
avatar
Invité
Chester Jace Lynch
tempestaire métalleux

nom Lynch, pour te lyncher, du jeu de mot de qualité. prenom Abruti de Chester, sans le “Abruti” devant. Mais tu peux aussi le chopper sous le nom de J pour Jace. A tes risques et péril âge Gentleman demeuré de 35 ans, la bonne moyenne parait-il lieu et date de naissance Oakland, Californie. Chantes Eagles et il t’enfonce le crâne dans l’évier. C’est un drôle de cowboy, un ricain, qu’a vu le jour le 8 Mars 1982 orientation sexuelle Unique, Homo, les femmes, c’est trop insupportables pour avoir envie de se caser avec. statut marital Célibâtard, il est trop bon pour avoir envie de se partager. Tentes ta chance, au pire tu te mangeras un mur. Ou un bidet, tout dépend le lieu sur le tas. metier/etudes Habitué de la prison, c’est son Club Med, avec un sérieux problème pour conserver un boulot. Comme dirait Kinder “C’est si bon d’être méchant”. Pour le moment, il est barman dans le club SM de la ville mais chuuuuut ~ situation financiere C’est tranquille pépère pour lui organisation ? OBCM, les Dux les lui ont brisés et du coup, il a retourné sa chemise. On peut être une ordure, et avoir un bon fond. Ça s’appelle le contraste ft Gerard fuc**** Way. ©️fromthemorgue

« Come on, shoot faster. Just a little bit of energy ! »

✗C’est un enfoiré. Ça c’est ZE anecdote à retenir. Son petit kiff, c’est de bousculer les vieilles dans la rue, mais en plus les pousser à s’excuser parce qu’elles sont sur son passage. Il aime personne, mais avec le sourire ! S’il n’envoie pas chier quelqu’un au moins une fois par jour, il est de mauvais humeur. ✗ D’ailleurs, à propos de son sourire qu’il affiche toujours sur son faciès, ne t’y fis pas. Il est préformaté, il sert juste à faire jolie. Totalement forcé, tu peux être sur cela dit que tu es dans la merde s’il disparait de son visage. ✗ Tu te crois bon, tu penses l’avoir cerner et  tu te dis “cette fois-ci, c’est la bonne” ? Pauvre gars, t’es tellement pas au bout de tes peines. Même lui est incapable de te dire ce qui se passe dans sa tête. Il est détraqué, complètement allumé et il ne cherche pas à se cacher. ✗ Petit, on le traitait de crevette à cause de son physique très loin de Vin Diesel ou Dwayne Johnson. Du coup, pour latter les petits merdeux qui avaient quelque chose à lui redire, il a appris à se battre. Y a un peu de tout dans son style de combat : le jeu de jambe de la boxe, les coups des arts martiaux. Il a adore faire des prises de catche et briser des côtes. ✗ C’est un fanatique de Batman, et en particulier de son antagoniste, Joker. C’est sa muse, son modèle, son Jésus Christ. Il se branle tous les soirs en pensant à lui et il connait toutes ses répliques par cœur. Oui, on parle d’un personnage fictif. Mais il est tellement fan qu’il a tout copier sur lui. Avec sa propre palette de couleurs. Quoi, vous êtes encore choqués pour la branlette ? On en reparle de ceux qui s’astiquent devant Catwoman ou Black Widow ? ✗ Les couleurs flashy, c’est son dada. Il signe la plupart du temps ses faits avec une bombe de peinture rose fluo. Hey ! C’est un artiste dans son domaine, faut bien qu’il pose sa patte.✗Il est pas bon du tout pour se faire des amis. Personne ne veut l’approcher. Du coup, régime de la terreur pour avoir de l’entourage. ✗  Pourquoi il se croit supérieur ? Parce qu’il a le pouvoir, mouhahaha. Non, plus sérieusement, ce type est un tempestaire. Le métal est son salami (seul ami, salami, t’as compris ?) et il est capable de contrôler tout ce qui est fabriqué à partir de ce dernier élément. C’est un peu un Magnéto 2.0. Plaque d’égout, panneau de signalisation, ta prothèse dentaire, tout y passe. Son élément fait de lui un aimant sur patte. ✗Tant qu’on est dans le métal, il adore ça. Il l’aime tellement qu’il collectionne les balles d’armes à feu. Plus ou moins grosse. Tu ne veux pas savoir ce qu’il en fait quand y a du monde à la maison. Comme dirait tonton Jack “Tout ce qui brille n’est pas d’or, mon ami”. Les balles de tout calibre prennent le plus de place sur les étagères, mais il a aussi des katanas, des shurikens, des poings américains. Il aime le métal sur toutes ses formes et il trouve que les armes blanches l’embellissent au même titre qu’une statue embellis le marbre ✗ Étant donné qu’il contrôle le métal, il est persuadé qu’il est invincible. Du coup, il se scarifie. Il croit que plus il passera du temps à se tailler la viande, plus il sera résistant. ✗Quand il a mal, il se tape une barre. Tu l’entendras jamais crier, alors tapes dans le fond, ce n’est pas ta mère ! Parce qu’il est masochiste (et il assume totalement contrairement à un certain canasson). En même temps, vu l’anecdote d’au-dessus, tu devais t’en douter. ✗ Il adore le karaoké, se fumer un gros pétard, chanter, danser, rire. Là aussi, t’as pigé, c’est un fêtard. La fête est encore plus plaisante à son gout quand il peut la ruiner. ✗Pour rester dans le thème de la chanson, il est fan des chansons Disney. Il les connait par cœur et il n’a aucune rancune à chanter l’une d’entre elle dans une situation pas du tout appropriée. Soyez prêtes ~♪, il va ruiner l’image que vous avez des Disneys✗Qu’est-ce que ça donne quand un amoureux du métal rencontre une barre de strip-tease ? Non pas un mécanophile pauvre con, un excellent pole-danseur. Mais c’est son petit péché inavoué. Il a tout ce qu’il faut chez lui et avoir la tête en bas, ça lui fait du bien apparemment.


Sale connard arrogant qui n’a de prestance que son incommensurable ego. Chester est le genre de personne tellement imprévisible qu’il est bon de ne pas le croiser dans la rue. Un fou qui sait se tenir et qui a un débit de vulgarité plus élevé que la moyenne. Il se tortille, il semble danser. Il garde les traces de ses années en camisole, ses années de tortures, lorsqu’il croise les bras pour se les serrer contre lui à s’en arracher la peau. Oh, bien sûr, il sait s’habiller. Il sait bien se tenir, il sait se montrer intéressé. Mais c’est une pile électrique. Une boule de nerf qui ne trouve rien de mieux pour se défouler que de faire du mal aux autres. Il frappe, il tape, il fracasse, estimant que la terre entière lui en veut et que c’est la façon la plus juste de se rendre justice. Personne ne le lui a rendu, et on est jamais mieux servi que par soi-même. Excentrique personnage qui a une attitude théâtrale. Si Joker avait eu un gosse avec Jinx, cela serait Chester. Il se tient droit, il sourit toujours et il est désintéressé de tout. Un peu plus tôt, on a dit qu’il sait se montrer intéressé ? Oui, mais c’est pour mieux t’approcher et te poignarder dans le dos. Sa langue est acérée, ses moqueries crues et de mauvais goûts pour te faire sortir de tes gongs. Autrefois artiste, il a gardé cette allure de gymnaste et de danseur pour jouer le rôle d’un funeste clown. Un Pierrot qui déteste le monde, et qui adore le détester. Il provoque, il choque la moral et il y trouve son pied même lorsqu’on l’atteint parce qu’il rit. Il ne cesse de rire aux éclats même si sa peau est arrachée, découpée, tranchée, fouettée. Il est résistant, il est le métal. C’est du moins ce qu’il croit. Vous voulez savoir à quel point il n’a pas de cœur ? Il fait pleuvoir les balles comme une douce mélodie et il se fiche totalement des dommages collatéraux. T’étais sur le chemin ? Tant pis pour toi, t’avais qu’à bouger tes fesses. La vie d’autrui n’a aucune valeur à ses yeux, persuadé que s’ils veulent entrer dans son estime, ils doivent être aussi fous que lui. C’est pour se sentir moins seul que les heureux élus ont la chance –ou a malchance selon les points de vue- de se retrouver avec le cerveau grillé et plongé dans la folie. Pour les rendre merveilleux, brillant et magnifique, digne de sa personne. C’est d’ailleurs ce qu’il a réservé à sa mère. Il l’a faite sombrer, il l’a torturée mentalement en l’étouffant dans une paranoïa en crescendo. Si bien qu’elle s'est tirée une balle dans le crâne à cause de lui. Quand de rares fois, il arrive à être calme et détendu, son sourire demeure, mais ses yeux s’illuminent de mépris. Tu peux lui raconter tout ce que tu veux. Que ton voisin t’a pris la tête ce matin en sortant de ton appartement, que ton chien s’est fait écraser par une voiture ou que t’as trouvé l’amour de ta vie, son regard dira la même chose pour tout : il en a rien à foutre. C’est le seul avantage avec lui. C’est qu’il n’en a tellement rien à branler des autres que tu peux être un ange comme le pire des démons, il te traitera comme tout le monde. Sa sœur croit encore qu’il a un bon fond. Qu’il a tellement plongé dans la démence et le désespoir durant ces deux années de captivité que sa folie est une forme de détresse. Ce à quoi il lui répond un doigt d’honneur et il tourne les talons. Sa logique veut que ça soit une façon subliminale d’approuver.

story of my life

Le monde crée ses propres démons. Il n’y a besoin ni de croyances et de monstres, ni d’utopie, ni de facéties et de mensonges. La guerre créera les victimes, les blessées, les morts. Les pertes donneront naissances aux âmes en détresse, à la vengeance et au deuil. Puis le désespoir conduira à la volonté de se battre, créant le conflit, la guerre. 8 Mars 1982 naquit ce démon parmi les autres. Un enfant d’Oakland dont les jupes de sa mère lui servait de planque. Il était rayonnant, il était magnifique. Ce chérubin qui, à défaut d’avoir un père présent, se réconfortait dans les histoires de sa matriarche. Elle lui racontait les exploits de l’homme de la maison, de ce soldat américain. Il était “fils de“, fils de Mike Miller, sergent d’un commando d’élite d’espion. Fils d’un homme qui passait régulièrement au-delà du rideau de fer pour donner des nouvelles du front et des avancements technologiques du bloc soviétique. C’était son papa, son modèle, son héros. Mais il a grandi avec son absence. Quelques fois, il revenait de mission pour passer un week-end avec eux. Chester en profitait pour le regarder, l’analyser. Impossible de dire pourquoi, mais il semblait fasciné par cet être que l’on nommait père. Un fantôme, et surtout un abonné aux absents. Il avait beau faire comme si de rien était, sa mère voyait bien que quelque chose ne tournait pas rond. Et cela depuis qu’il a posé les pieds en maternel. Au début, c’était sur ces dessins à la con que les institutrices demandent. Chester ne dessinait ni lui, ni son père. Il n’y avait que sa mère, celle qui résumait à elle toute seule le mot famille lorsqu’on lui demandait de dessiner papa et maman. Pas même lui. Puis il y a eu les inquiétudes, la sensation d’absence qui n’a fait que monter en crescendo. Le garçon restait assit pendant des heures dans les marches des escaliers, face à la porte. Il attendait que son père rentre et franchisse le seuil de la maison, mais il n’est jamais revenu. Il entendait les sanglots de sa mère à l’étage, et il ne savait pas quoi faire. Loin, très loin d’Oakland, dans les terres moscovites, son père se faisait torturer. Le fils Bäckähäst écoutait les ordres du sien et lui tirait dessus pour le faire parler tel un chien bien dressé. Une première fois, une seconde, et l’interrogatoire s’était fini dans le sang et les coups pour Mike Miller jusqu’à ce qu’il rende son dernier soupir. Cela dit, Chester était trop loin pour savoir ce qu’il était devenu de sa figure paternelle. Il se contentait de grandir sans lui, acceptant la possibilité de plus jamais le revoir.
Des dessins, ce sont les coups qui ont fini par pleuvoir. Comme s’il les pressentait les mensonges autour de lui. Pourquoi n’était-il jamais rentré à la maison ? La maternel était loin maintenant, c’était le collège et sa dose de petits caïds qui rythmaient ses journées. Chester était devenu un adolescent tourmenté et impulsif. Il avait la sale impression que les regards se tournaient vers lui pour lui lancer tous leurs mépris au visage. Si bien qu’il n’avait pas beaucoup d’amis et qu’il préférait se renfermer sur lui-même. Sa mère avait fini par refaire sa vie, se mariant avec un autre homme. Un geste que Chester n’avait pas vraiment apprécié d’ailleurs. Que l’on soit clair tout de suite : il n’aimait pas beau-papa. Il lui tournait toujours le dos, il ne l’écoutait pas et lorsqu’il haussait un peu trop la voix à son encontre, il n’y allait pas par quatre chemins pour lui rappeler qu’il n’était pas son père. Sa mère remettait souvent la faute à la période qu’il traversait. Que c’était l’adolescence et ses envies de rébellions. Mais pour lui, c’était totalement autre chose. C’était le sentiment de trahisons et l’impression qu’elle avait oublié un peu vite Mike Miller. Elle, de son côté, le regardait avec peine et constatait surtout qu’il n’avait toujours pas fait son deuil. De ce nouveau mariage, il avait hérité neuf mois plus tard d’une petite sœur répondant au nom d’Anna.

Anna était l’emmerdeuse, Anna était la chouchoute, Anna était sa bête noire et Anna n’a fait qu’augmenter la sensation d’abandon de son côté. Chester Lynch, qui a dû prendre le nom de famille de son nouveau père par la force des choses, ne voyait pas cette gamine d’un bon œil. Cependant, l’ironie du destin a voulu lui jouer un tour. La personne qu’il jugeait comme une petite chieuse était aussi celle qui remarquait ses absences, celle qui lui portait le plus d’attention. Il était Grand-Frère, elle était un poil trop pure pour faire la différence entre frère tout court et demi-frère. Elle ne craignait pas ses colères, parce qu’il avait beau japper contre elle, elle revenait toujours au seuil de sa porte pour lui demander de la laisser entrer. Elle se sentait seule, tout comme lui, il a dû se faire une raison. Alors Anna était devenue son emmerdeuse, sa chouchoute et sa petite-sœur. Pendant que sa mère et son nouveau Don Juan se permettaient des escapades en amoureux, Chester s’occupait d’elle et la divertissait. Au début, c’était les dessins, puis après les jeux vidéo et la danse. Anna, c’est la petite qui a révélé sa passion pour la danse et la gymnastique. Qui l’a encouragé à prendre des cours et à se présenter pour des spectacles de Broadway. Parce que oui, Chester avait des rêves pleins la tête à l’époque. Il ne voulait pas être un simple fonctionnaire bien placé, un simple “fils de”. Il voulait s’exprimer, monter sur les planches et laisser parler son corps à défaut d’ouvrir la bouche. Il voulait être un acteur, un danseur, mais son connard de beau-papa lui disait qu’il lui fallait des diplômes et un boulot stable. Quand venait l’hiver, et que la grande patinoire d’Oakland était installée, il emmenait Anna avec lui pour patiner. C’est lui qui a appris à sa sœur comment danser sur la glace. Quand elle tombait, il la rattrapait en grognant un peu et en la traitant de boulet. Il souriait en même temps, et elle savait pertinemment que dans ces cas-là, ses paroles n’étaient pas véridiques.
Il entrait à l’université, elle arrivait tout juste en primaire. Alors il continuait de veiller sur elle en prenant souvent des nouvelles et en allant la chercher à la fin de l’école. Leurs parents étaient bien trop occupés avec leurs petites affaires. C’est ce qu’ils disent tous de toute façon. Depuis qu’elle a rencontré cet avocat, elle est devenue sa secrétaire. Un boulot assez rabaissant et cliché pour une femme, c’est d’ailleurs pour ça qu’il l’assassinait du regard lorsqu’ils se mettaient à parler travail pendant le diner. Pour faire plaisir à sa mère, et pour que cet intrus lui foute la paix, il avait choisi d’étudier le droit. Ça l’ennuyait. Plus il s’enfonçait dans le programme, plus il avait l’impression de se faire lobotomiser le cerveau à coup d’hypocrisie. D’autant plus que le pays sortait de Guerre Froide alors forcément, il y avait encore quelques traces dans les cours. Les soviétiques étaient les vilains pas beaux, les américains étaient les héros. Pathétique. Le seul avantage qu’il avait trouvé à aller en cours, c’était de pouvoir profiter de la bibliothèque et sortir l’excuse du “je peux pas, je dois réviser” pour être tranquille. Quand Chester avait retrouvé la boite à chaussure dans le grenier contenant  toutes les affaires de son père durant une partie de cache-cache avec sa sœur, c’est comme s’il avait eu la révélation. Il devait continuer de chercher. Il devait savoir ce qui lui était arrivé.

Jeune adulte, il avait retrouvé cette fascination étrange pour son défunt paternel. Anna était à côté de lui de temps en temps, à pointer du doigt de vieille photo en lui demandant qui c’était. Ce qui était drôle avec cette gosse, c’est qu’elle continuait d’entretenir son cocon d’innocence. C’est du moins l’impression qu’il avait. Il redressait les lunettes de vue, celle de son patriarche qu’il avait récupéré, et il lui expliquait. Le mot Papa venant de sa bouche devait être étrange pour Anna qui ne l’a jamais entendu prononcer ce dernier à l’encontre du sien, alors il l’appelait Mike. Pour ne pas qu’elle soit choquée, et qu’elle écoute.

A la fin de son cursus, il se mit à chercher du travail. D’abord embauché au tribunal d’Oakland comme greffe, il a été renvoyé à cause d’un gros accident. Ce don, ce contrôle du métal, s’est manifesté alors qu’il était furieux contre son supérieur. Auparavant, il arrivait à le maitriser. A limiter l’usage et s’en servir uniquement par fainéantise. Mais là, il y avait l’accumulation de tellement de choses qu’il ne maîtrisait plus rien du tout. Son beau-père, ce même individu qu’il n’arrive pas à aimer même lorsque c’était sa mère qui le lui demandait de vive-voix, était son supérieur hiérarchique au tribunal. Il était avocat, mais trop désordonné pour être indépendant alors il n’y avait qu’un endroit où il pouvait exercer tout comme Chester. C’était un sale coup du destin encore. En acceptant ce contrat pour faire plaisir à sa mère et à sa sœur, il savait qu’il s’engageait dans un terrain glissant. Qu’il allait péter les plombs et c’est ce qu’il avait fait. Les reproches à répétition de beau-papa quant à sa tenue, sa façon de se comporter, d’être lui-même tout simplement étaient journaliers et Chester a fait ce que l’on appelle couramment un burnout. Le souci, c’est que sa nature Tempestaire a suivi aussi le mouvement et que sa plume était allée éborgner ce pseudo père en traversant son crâne de part en part. Il a été tué sur le coup, son cerveau ayant été gravement endommagé. Cependant, étant donné la confusion de la scène et les témoins autour d’eux à ce moment-là, son beau-père a été tué officiellement d’une balle dans la tête par un sniper. C’était bien trop gros comme mensonge. Comme le tireur imaginaire était forcément insaisissable et qu’il fallait un coupable, Chester a dû laisser tomber ses rêves de grandeurs et sa robe de greffe pour une tenue de taulard. Complicité de meurtre, sept ans de prison avec libération sous conditions au bout de cinq ans, étant donné c’est connaissance en droit, il estimait que c’était juste officiellement Mais trop faible officieusement. Pendant l’audience, il n’avait pas prononcé un mot, encore sous le choc. De temps en temps, ses yeux détournaient leur trajectoire en direction de sa mère et de sa petite-sœur, mais jamais très longtemps. Il avait beaucoup trop honte pour les regarder en face.
Son premier séjour en prison fût donc pour l’assassinat de son beau-père. C’est à partir de là qu’il a commencé à s’endurcir et dérailler. C’est ce séjour en prison qui a tout précipité. Toutes ces personnes qu’il a vu défilé au tribunal, à écrire chacune de leurs paroles, de leurs propos, de leurs faits, l’avaient reconnu et il savait qu’il n’allait pas passer un très bon séjour. Il restait fier cependant. Il avait la tête haute, il refusait de plier face à leurs menaces. C’était comme au collège et au lycée après tout, il fallait tenir tête aux petits caïds. Les heures des repas et des douches étaient les véritables peines et aussi la parfaite ouverture pour les gros bras de montrer leurs supériorités. Il n’y avait vraiment pas de quoi se vanter d’être ici depuis plus longtemps qu’un autre. Alors en guise de réponse, il ne mangeait que lorsqu’il n’y avait plus personne dans la salle et il jetait son plateau aux pieds du menaçant lorsqu’il y avait du public. Il cherchait la petite bête, montrait qu’il n’avait pas peur. Il encaissait les coupures de lames cachées dans ses savons sous la douche, tandis que son sang se mélangeait à l’eau fuyarde. Il serrait les dents et il continuait de faire comme si de rien était. Mais au fond, il les détestait. Chester les détestait  tous sans aucune exception et il attendait d’être seul dans sa cellule pour craquer et pleurer.  Il a commencé à les sentir, les regrets. Revoir le crâne éclaté par sa propre plume de son beau-père le hantait ainsi que les visages des deux femmes les plus importantes de sa vie. Il regrettait de ne pas avoir pris plus de temps avec ce beau-papa pour apprendre à le connaitre. Puis il s’assombrissait, rejetant la faute sur les divinités tout là-haut en demandant où était la justice dans tout ça. Il n’avait pas fait exprès, il ne voulait pas ce résultat. Il n’a pas voulu le tuer, c’était un accident. Son don était une malédiction, et il accusait le ciel de lui avoir donné sa propre Epée de Damoclès.

Au fur et à mesure des mois, puis des années, il se murait dans le silence. Il n’osait plus dormir, et il se contentait de jouer avec le métal puisque c’était la seule chose qu’il contrôlait dans cette prison. Il se mit à faire peur aux autres détenues à cause de ses regards rivées et des couverts qui tremblaient en sa présence. Il n’était plus le menacé, il était le menaçant. Ça n’avait pas aidé pour se construire un cercle d’amis, on est d’accord. Mais il s’en fichait, il ne pensait qu’à la sortie. Les visites de sa mère s’étaient amoindries à cause de lui. Dès lorsqu’il voyait cette femme de l’autre côté de la vitre, il l’ignorait et il ne daignait même pas à décrocher le téléphone pour lui parler. Chester estimait que c’était de sa faute. Si elle n’avait pas récolté ce gars en allant se soûler pour oublier son chagrin dans le bar du coin, jamais elle ne se serait mariée avec. Sauf que, il y avait un blocage dans cette logique. Jamais il n’aurait eu sa sœur également. Anna, c’était la privilégiée et la seule à qui il acceptait de parler durant les séances. Chaque année, elle lui apportait un cadeau pour son anniversaire. La première année, c’était un dessin. La seconde, une breloque. La troisième, un gâteau qu’elle avait fait elle-même. Dommage qu’il avait perdu l’appétit, mais il faisait au moins l’effort d’en manger la moitié pour lui faire plaisir. A chaque fois, elle lui demandait quand est-ce qu’il allait sortir, et il lui répondait bientôt en ne sachant pas quelle date exacte lui donner. Il devait encore tenir deux ans sans débordement, c’était d’une difficulté. Il n’avait qu’une envie, c’était de tous les envoyer rejoindre beau-papa. Mais il a tenu bon, et comme promit, il a pu sortir et être mit en liberté conditionnelle.
Il est rentré chez lui, avec le même costard qu’il portait le jour de l’audition. Ce n’était pas anodin, Chester l’avait fait exprès. Il avait changé. Il n’affichait pas cet air de cocker triste, mais un regard vague. Il parlait d’avantage avec Anna. Elle allait bientôt entrer au lycée, et elle n’avait aucune idée d’où aller. Avec un sourire faussement amusé, des paroles sarcastiques, il lui avait déconseillé d’aller en droit parce que c’était nul. Pour la fin de sa tirade, il avait relevé son regard vers sa mère, ajoutant qu’il n’y avait pas de justices dans ce bas-monde, ça ne sert donc à rien de l’apprendre mots pour mots. Il ne comptait pas rester dans cette maison qui empestait la mort, alors il avait rassemblé ses affaires et il a bénéficié d’un programme de réinsertion pour obtenir un logement à lui et un travail. Pendant les deux dernières années de sa peine, il était employé comme photographe au journal local. Ce n’était pas un travail qui rapportait de l’or, mais il s’en fichait. Etant donné son casier judiciaire maintenant, il ne pouvait plus exercer dans sa fonction d’origine.

Chester était devenu haineux, et venimeux avec sa mère. Il n’avait plus aucunes estimes pour elle, mais il était suffisamment intelligent pour épargner sa petite-sœur des mots qu’il proférait à son encontre. Il lui disait combien elle était méprisable, combien elle était détestable. Que tout était de sa faute, et qu’elle était responsable autant de la mort de Mike, de son beau-père, que celle de Chester Lynch. C’est là que sa mère a compris que son fils était mort avant même de sortir de prison. Il se présentait devant elle physiquement, mais moralement il n’était plus là et il avait pris soin de la plonger dans une paranoïa démente. A tel point que par usure et par fatigue, elle a saisi l’arme de service du défaut espion qu’elle avait gardé en souvenir, et elle a mis fin à ses jours en se tirant une balle dans la tête. Chester était resté indifférent face à cette mort. Ce n’est que lorsqu’Anna a dévalé les escaliers suite au coup de feu que ses yeux ont rougis et que ses larmes ont perlé. Qu’est-ce qu’il avait fait ? Il avait rendu Anna orpheline et il s’était créé un nouveau démon. Il avait nourri son désespoir de son propre chef et il pouvait seulement serrer sa sœur dans ses bras en cachant ses larmes au-dessus de sa tête. Ils étaient seuls, et il n’avait clairement plus aucuns avenirs aux States. Sa famille avait nourris les tirages de la presse, désignée comme maudite. Si Mike les voyait, il se retournerait sûrement dans sa tombe. Lorsque sa peine a pris fin, et que le bracelet lui était retiré, il avait attendu qu’Anna termine ses années d’études avant de lui proposer d’aller en Irlande. De tout laisser tomber, de vendre l’appartement dans lequel ils vivaient en colocation pour tout refaire là-bas. Anna est trop gentille, Anna est traumatisée, Anna ne peut pas résister à son grand-frère parce qu’il est son dernier point d’ancrage et qu’elle comprenait pourquoi il voulait partir de ce pays de cowboys. Alors Anna a dit oui. Ils ont fait leurs valises et ils sont partis. D’abord à Dublin, mais c’était trop animé pour eux, pas assez calme pour le considérer comme un havre de paix. Alors, sa petite-sœur lui a proposé Bray. Le classique des amis on dit que leurs amis, etc… Et c’était à son tour de la suivre.

Les violons étaient déjà sortis ? Précoces, le pire restait à venir pourtant. Bray aurait pu être un nouveau départ. Chester s’était mis à chasser pour trouver un nouveau boulot afin de payer l’appartement et les études de sa sœur. Anna ne comptait pas le laisser nourrir les revenues seules, alors elle avait trouvé un petit job d’appoint dans un café en tant que serveuse pendant que son grand-frère était barman dans le même établissement, mais à temps plein. Ils avaient emménagés dans les appartements au-dessus et ils partageaient un lieu de vie plutôt correct pour deux personnes. Anna était pétillante, mais Chester était plutôt renfermé, septique. Il sentait que cette ville avait un bon effet sur son moral. Il se tourmentait moins, il regrettait toujours autant, mais c’était des regrets adoucis. De temps-en-temps, il repensait à sa mère. Puis, il a fait connaissance du surnaturel. Du moins, des autres races. Que le monde ne tournait pas autour des Tempestaires et qu’il y avait pire encore. Lui qui pensait qu’ils étaient uniques, autant dire que son ego a été légèrement blessé, mais c’était pour la bonne cause. Sa sœur s’était faite embarquée par des dealers bizarres qui vendaient la poudre dorée de Clochette aux premiers abords. Aussi, quand il a découvert la raison pour laquelle sa sœur paraissait aussi joyeuse (à savoir un petit rail de poudre magique), il s’en est pris immédiatement à ces dealers. Il avait remodelé la cage d’escalier de secours au-dessus deux avec ses dons pour les emprisonner contre le mur. Plus les secondes s’écoulaient, plus Chester resserrait leur étau avec la seule force de sa volonté. Anna était terrifiée, elle le suppliait d’arrêter, mais il n’écoutait rien. Il avait fallu attendre l’intervention de deux chasseurs des Dux Tenebris pour qu’il les relâche. En vain, puisque ces deux-là ont fini ses cibles qui n’étaient autre que des fées. D’après leur dire. Il s’était surtout fait remarqué pour ses facultés et l’un des deux chasseurs lui avait proposé qu’ils se revoient et qu’il avait une offre pour lui.
Chester a dû se faire pardonner auprès d’Anna, et il l’avait emmené dans un café pour discuter. Il la suspectait de commencer à comprendre comment leurs parents étaient morts, mais il espérait secrètement qu’elle n’en sache rien. S’il y avait bien un sujet dont elle ne parlait jamais, c’était bien de leurs décès. C’était un sujet tabou et silencieux entre eux, et Chester crevait d’envie de savoir ce qui se tramait dans sa petite tête à ce propos. Le chasseur des Dux avait tenu sa promesse, ils s’étaient revus au Coffee Shop où il avait extrapolé sa proposition. Il lui avait fait le topo sur la situation en ville, il lui avait jeté de la poudre aux yeux et des mensonges pour avoir le Tempestaire à la solde des Dux. Que les créatures débordaient dans cette ville et qu’ils devaient les maitriser avant qu’elles ne fassent trop de dégâts. Au début, Chester s’en fichait, il le montrait clairement. Mais, dès lors que l’autre avait usé de sa sœur comme argument, il s’était montré plus intéressé. S’il voulait la protéger de tous ces dangers, il avait tout à y gagner en rejoignant son organisation. C’est ce qu’il a fait et pendant deux ans, il a été chasseur à la solde des Dux. Jusqu’à ce qu’un nouvel évènement arrive et bouleverse tout jusqu’à sa santé mentale.

Ordure est un terme assez vaste qui peut regrouper tout de sorte de déchet. Celui-ci était l’équivalent du boss final de tous bons jeux vidéo. Un passionné des créatures, au point de coller leurs morceaux en vitrine comme des trophées. Cette nuit-là, c’est comme s’il l’avait effacé de son propre grès de sa mémoire. La nuit où il était juste venu déposer une lettre. Où il était juste venu échanger des banalités par politesse pour bien paraître auprès de ce confrère Dux et du petit-ami de sa sœur. Où il avait fini par déverser toutes les larmes accumulaient en cachette, où il est mort étouffé par les regrets et les souvenirs ressassés. Il venait tout droit d’Oakland, il était … Rien techniquement. Ce n’était pas son demi-frère, puisqu’ils n’avaient pas le même père. Le premier fils de son beau-père. Il était l’ombre qui le suivait partout où il allait. Il était son plus grand fan, disait-il, sa muse. La source de sa passion pour ceux qui manipulent les éléments. Il avait tout prévu, jusqu’à concevoir la pièce avec tous les dérivés du plastique, même les plus solides pour l’enchainer et lui donner aucune arme qu’il pourrait retourner contre lui. Il sent encore les électrocutions sur sa peau tandis qu’il expliquait qui il était. Le manipulateur, le calculateur. S’il s’était rapproché d’Anna, c’était pour l’approcher lui. Si ces chasseurs étaient venus à sa rencontre, c’est parce qu’il leur avait demandé. Manipulateur, et tortionnaire qui lui faisait passer des tests pour savoir jusqu’où son affiliation avec les métaux pouvait aller. Au printemps, les tests tournaient autour de la foudre. Chester était électrocuté tous les matins à 10h, puis le soir à 19h. Lui, il était là, à côté de sa chaise, à prendre des notes avec sa petite tête de fouine et son café. Il parlait, encore et encore, toujours de la même chose. Puis à 13h, il lui donnait de force des pilules riches en fer afin de voir si cela altérait sa conductivité. L’été, c’était le feu. De 11h à 14h, sans manger ni boire, il était enfermé dans une pièce chauffée à 70° tous les jours. Ce pauvre con était persuadé qu’il allait fondre dans un sauna s’il restait trop longtemps à l’intérieur. Lorsqu’il se blessait, il cautérisait systématiquement la plaie afin de voir si sa peau pouvait se montrer résistante à ce genre de cicatrisation. C’était long affreusement long. Il répétait la même chose, qu’il l’avait manipulé, qu’il le punissait, qu’il rattrapait les mensonges et qu’il n’aurait pas honte de se taper sa sœur si jamais il montrait le moindre signe de résistance.
Torture mentale, physique et psychique, il pleurait. Chester pleurait sans cesse en criant à l’aide à s’en égosiller. Ce n’est pas qu’une belle façon de le dire, il en avait réellement perdu la voix. Plus les larmes coulaient sur ses joues, plus le scientifique fou riait aux éclats. Mais rigoles voyons, tout ceci n’est qu’une blague, une immense et monstrueuse blague. Tu ne voudrais pas qu’Anna te voit comme ça. Alors RIGOLES !. C’est sûr, qu’est-ce qu’il se marrait. Ses zygomatiques s’étiraient péniblement, et il se mit à rire, à obéir, persuadé que ça raccourcirait sa peine. Ce même sourire forcé, ce rire faux, ce qui fait aujourd’hui sa démence a pris racine durant ces deux années. Il aurait pu claqué, durant l’automne où le thème tournait autour de la terre, ou bien l’hiver l’eau qui l’étouffait quand sa tête était plongée de force dans la baignoire et que sa remontée dépendait du temps de caprice de son bourreau. Mais il a tenu bon. Il pensait à Anna, il n’a jamais cessé de penser à elle et de lutter pour elle.

Après ces deux années de captivité dans l’antre du diable, il était devenu aussi dément que lui. Voir pire. Il riait, et il était tombé amoureux de lui. Un stupide syndrome de Stockholm qui le poussait à rire, encore et encore, ne serait-ce que pour le séduire et le provoquer. Il savait qu’il adorait ça, il l’avait supporté suffisamment longtemps pour le découvrir. Lorsque Chester relevait la tête, il avait ce sourire digne du chat de Cheshire, mais aucun éclat dans ses yeux. Il a dû attendre qu’il fatigue, qu’il se lasse et qu’il comète une erreur en apportant des billes en métal. Le genre de petite chose que l’on oublie dans un recoin de poche. Tic-tac, tic-tac, il les avait bien entendu résonner sa veste. Il n’était pas sourd. Alors il s’en est servi pour sortir.  Il avait changé leur forme pour créer une clé et ainsi se libérer de ses chaines. Il leur avait redonné leur forme d’origine et il en a collé une dans son crâne. Pas suffisamment rapide pour le tuer, mais assez pour l’assommer. Puis il avait remonté les marches, il a quitté les sous-sols et il continuait de sourire tête baissée vers le sol. Les portes s’ouvraient facilement une fois que la première a été franchie, il suffisait d’arracher les serrures. Ce jour-là, il a fait beaucoup de dégâts dans le QG des Dux en arrachant tout ce qui était constitué d’atome métallique pour leur faire bouffer. Automatiquement, Chester était rentré chez-lui. Anna n’avait pas bougé, mais elle avait fait tomber la cafetière en le voyant franchir le seuil de la porte. Un salut avait traversé sa bouche, comme s’il n’était partit que depuis quelques jours sans prévenir tandis que sa petite-sœur avait l’air confronté à un revenant. Mais surtout, voilà qu’elle était dans la même situation que sa mère sept ans plus tôt lorsqu’il était rentré de prison. Pendant les premières secondes, elle a cru que c’était un étranger. Un mauvais plaisantin qui se faisait passer pour son grand-frère. Et après, elle a stagné dans son regard. Ce regard de fou, et elle y a vu le traumatisme et la détresse derrière ce sourire dément.
Quelque part, il était encore conscient qu’il représentait un danger pour elle. Aussi, il s’est mis à chercher un logement pour vivre seul. Il lui avait promis de venir la voir régulièrement sans donner plus d’explication. Son remue-ménage chez les Dux étaient parvenus jusqu’aux oreilles de l’OBCM et c’est un membre de cette dernière organisation qui est venu à sa rencontre tandis qu’il passait une nuit en garde-à-vue pour avoir tabasser un pauvre type présumé innocent dans la rue. Il connait les visages des chasseurs, il connait leurs prénoms, il a été l’un d’entre eux. Aussi, l’OBCM jugeait qu’il pouvait être un allier de taille et ils ont usé de son envie de vengeance pour le recruter. Oh, il est toujours sous surveillance, et il en a parfaitement conscience. Alors pour échapper à leurs regards embarrassés il a sortis son CV et il s’est pointé dans le club SM du coin pour devenir leur barman. Qu’est devenu l’ancien ? Oh, il a eu un potentiel accident dont il n’est pas responsable ; sans doute. La suite ? La suite est le présent, le passé, le futur. La suite est une manifestation de l’insatisfaction. Il faut toujours qu’il y est une suite à une histoire, parce que les fins sont mauvaises. Personne n’aime les fins, ça laisse un petit gout d’amertume. Je pourrais vous la dire, mais je n’ai pas envie de donner suite à votre demande. Je vous sers ou on continue à compter les cougars incestueuses ensembles ?

Salut salut ! Moi c'est Shirosaki et je débarque du haut de mes 24 ans (bientôt, bientôt). J'aime réf. Shura, je déteste réf. Shura et on me dit souvent que Je suis une âme faible qui en est à son cinquième compte déjà. On me verra dans les parages une fois par moi-/BUS On m'y voit tous les jours. Je suis fier(e) de dire que j'ai découvert le forum grâce à réf. Shura et d'ailleurs je le trouve trop beau, comme toujours. Je suis un inventé et puis je tenais à terminer en vous disant que j'suis fatigué comme d'hab' aussi /PAN ! Une toute dernière chose: avoir un rp d'intégration avec l'un de nos parrains: Non


gerard way ► chester j. lynch

chester j. lynch ► métal


Revenir en haut Aller en bas
Basil Egerton
Basil Egerton
MESSAGES : 3959
AGE DU PERSONNAGE : 49
RACE : Fantôme (ex-fée)
MÉTIER/ÉTUDE : Gardien du cimetière
Je t'aime putain (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 3764945929
Bienvenue pour la cinquième fois, encore un p'tit bijou, non mais t'as pas honte !
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Re-bienvenue parmi nous (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 508348443
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Re-bienvenue ! J'ai lu les anecdotes, et jpp de toi (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 2210271934 (et oui, le coup de la branlette m'a marqué (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 2210271934). Faudra un lien avec Ethan, je sens que ça va être épique XD.
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Basil > Je n'ai aucunement honte mon cher (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 3692820387
Merci jtm aussi, t'es trop mignon blblblblbl (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 508348443

Utah > Merciiiiiiii (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 755063539

Seth > Déjà ?! Mais j'ai mis que les anecdotes (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 3692820387 Bien sûr qu'on aura un lien, ça risque d'être explosif (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 755063539
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Reee (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 3035841550
Entre le prénom, le vava et la chanson de la signature, tu réveilles de la nostalgie en moi (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 2695044505
J'ai hâte de voir ton petit en jeu, éclate toi bien avec (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 281824892
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Merci (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 755063539
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Tiens encore un gentil perso de Shu (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 3692820387 (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 3692820387 (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 3692820387 Bon courage pour la fichette, ça promet encore de dépoter!!
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Welcome back, il semble...sympathique ;) mais je n'aimerais pas le croiser dans une ruelle sombre...Ni dans un parc en plein jour remarque, en fait.... :D
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Merci à vous mesdames, n'ayez pas peur (chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy! 3692820387
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
 
(chester) I wanna try something fun right now, I guess some people call it anarchy!
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
► URBAN LEGENDS :: Archives de UL V3 :: Présentations et scénarios :: Présentations et scénarios-