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 skye + i tried to escape but keep sinking

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Careless.
Careless.
MESSAGES : 296
AGE DU PERSONNAGE : 40
RACE : Tempestaire de Vent
Skye Kinkaid
métamorphe renarde polaire

nom Kinkaid prénom Skye âge 27ans lieu et date de naissance 26 septembre à Crone en Irlande orientation sexuelle hétérosexuelle statut marital célibataire métier/études entraineuse de boxe situation financière ni riche, ni pauvre organisation OBCM, Cheffe de l'Armée ft Natalie Dormer

« buried deep within there's a human »

Plusieurs tattoos, l'un au creux de ton poignet gauche; des montagnes, l'autre au creux de ton poignets droit ; believe. Un tigre blanc qui parcours ton flanc gauche et un léopard sur ton flanc droit, les deux hommes qui les plus important de ta vie. + De multiples cicatrices, petites, grandes, béantes. Elles parcourent ton corps, tant et aussi bien que tu ne ressent plus la douleur. + Tu te spécialise dans le lancer du couteau, t'as toujours eu un petit faible pour la précision mortelle de l'arme +  Les petits plaisir de la vie, c'est ce qui la garde saine d'esprit, un repas chaud, les rayons du soleil sur ta peau, les étoiles qui parcourent le ciel + Tu te transforme souvent, le plus souvent possible, ton renard t'est synonyme de liberté. +  Longtemps privé de la nature, tu te plait loin des gens, loin de tout, près des montagnes et des arbres. + Elle adore cuisiner, c'est son petit plaisir secret. + Très petite, elle semble plutôt inoffensive, vulnérable, mais elle excelle dans l'art de tuer tranquillement, tu as plus de douze années de formation derrière toi. + Très curieuse, tu met toujours ton nez là où il ne devrait pas être +


La pluie qui tombe, les montagnes, la chaleur du soleil sur ta peau, l'odeur de l'hiver, le chant de la pluie, le grondement de l'orage, la brûlure du froid après la course, les nuits avec tant d'étoile que tu t'y perd, le doux mystère de la brume, le sable qui s'infiltre entre tes orteils, le craquement du feu. Détails dans le brouillard de ta vie, tous importants. Rendant l'impossible vivable et la paix de ton âme possible. La menace de la noirceur, seule, l'odeur de la mort, tant de haine, tant de peur, cette frustration que tu ne contrôle plus, la complexité de l'âme, cette peur qui te dévore peu à peu. Tu aimerais bien tout déchirer, crier, pleurer. Mais, tu ne peux pas être faible. Tu ne peux pas montrer tes faiblesses. Être solitaire, non par choix, mais par la tournure de ta vie. Être de colère, de haine. Être brisé. Survivante. Un sourire rare mais étincelant. Être loyal, jusqu'à ce que cette loyauté soit écrasé, brutalisé, meurtri. Possessive. Vivre pour ces petits moments, vivre pour les petits instants de bonheur.  

story of my life

Le silence des hurlements. Musique agressante mais si vite oublié. Un instant, cela ne semble qu’inévitable, mais celui d’après, vous ne l’entendez plus. Pourtant, au loin, les cris résonnent encore et encore, et encore, jusqu’à ce que cela ne soit plus qu’un écho dans le tempo de votre cœur. Et puis, tout à coup, la musique du silence qui résonne, comblant le vide des cris soudain silencieux. Tout à commencer dans ses hurlements. Une vie pour une autre. L’homme qui a essayé de t’élever ne t’as jamais pardonné ce cruel destin du sort. Il en est mort quelques années plus tard, neuf plus exactement. La musique ne le quittait plus, la seule manière de l’éteindre était de boire, boire, boire jusqu’à ne plus être capable de mettre le pied devant, jusqu’à l’entendre rire du fond de la maison, jusqu’à la voir dans les ombres des rideaux, jusqu’à dormir. Mais dormir n’était pas mieux. Et les cris n’étais alors plus que dans sa tête, et toi, petite chose, tu te cachais sous tes couvertures, un oreiller sur les tympans, pour couper la souffrance, pour arrêtez la mort. Tu voulais ne pas être née. Tu voulais revenir dans le temps pour que l’on ne t’ait jamais conçu. Il n’a jamais été capable d’aimer la fille qui lui a volé la femme de sa vie. T’étais un déchet, pas mieux qu’une ombre

‘’Fille ! Qu’as tu encore fait ?!’’

Du haut de tes trois pommes, tu t’empresse de venir à la rencontre de l’homme qui t’as créez. Dans ta précipitation, tu trébuche sur un objet incongru et tombe tête première dans le sac de farine qui se prélassait dans un coin, bien tranquille. Une ligne d’une rouge sombre s’étire sur ton bras, fruit de la tête de clou qui dépasse du plancher à quelque centimètre de ta tête. Tu te relève, tâchant de cacher ta blessure avec la robe trop courte et tachée qui te sert de vêtement. Des larmes essaient de percer tes paupières, la douleur est douloureuse, mais pleurer ne sert à rien, être faible ne sert à rien. Tu rejoins ton créateur, qui sans même te regardé, hurlant de sa pestilente odeur, comme quoi tu n’es qu’une fille ingrate qui n’est bonne à rien d’autre qu’à paresser dans le foin sale. Son regard vitreux passe sur toi sans te voir, retourne sur sa bouteille et revient sur toi. Le corps blanc de farine, il est impossible de te cacher. La fureur envahit son regard colérique, tu te cache, sous le parquet, les meubles, peu importe où ton regard se porte. Mais il n’est pas assez rapide, une main t’attrape par les cheveux, un cri, la douleur c’est toujours douloureux. Alors que ta tête se cogne contre le bureau, ta vision se brouille, se noircit, et puis vient le néant. Une douce paix t’envahit alors que ton monde disparaît. Ça ne durera pas. Ça ne dure jamais.

Tu fuis souvent maintenant. Le hutte de bois qui vous sert d’abris contre les déchaînements de la nature se situant au milieu de la forêt, il n’avais personne d’autre que les arbres, les animaux, les insectes. Pas d’humains, d’oracles, fées, ou d’autre métamorphes. Juste toi et le paternel. Juste vous et la colère. Tu partais des heures, parfois des jours. Fuyant l’espace confiné, pénible des quatre murs. Nourris par les uns ou les autres. La nature était ton ami. Tu n’aimais pas revenir. Mais ton paternel ne s’apercevait même plus de tes absences. Pleurant, une bouteille à la main. T’aurais pu avoir pitié de lui, mais la claque qui te faisait virevolter n’était jamais bien longue à arriver lorsque tu t’approchais. Et puis c’était le déferlement et il ne s'arrêtait seulement lorsque son bras n’en pouvais plus, son corps fourbu couché sur le plancher près de toi. Tu ne t’approchais plus, il ne te frappait plus. Fin de l’histoire. Ce fût la veille du jour de mes neuf ans que je partis le plus longtemps. Ne voulant pas rentrer pour voir ton paternel dans une fureur noir comme tout ces anniversaire de mort, tu fuya. Loin et longtemps. Te couchant dans la broussaille. Bientôt le froid envahit tes os, la nuit noire se chargeait de cauchemar, le silence des loups te fit frissonner et ton corps courbatu se replia sur lui-même. Le hurlement d’un animal enragé te réveilla pendant la nuit, mais la chaleur t’avais envahit, les os de ton corps ne grelottait plus et trois petits renard s'était glissé contre toi, te couvrant de leurs douce chaleur. Le sommeil t’emporta enfin et à l’aube, lorsque tes yeux laissèrent de nouveau passer la lumière, il n’y avait plus de trace de tes trois compagnons.

Ce fût l’odeur qui t’assailli en premier. Pourriture, désespoir, décomposition. Elle te chatouilla les narines bien avant que tu n’apparaisse sur le seuil des quatre murs. La porte ouverte, ce n’était plus que douleur immense. La puanteur n’avait plus de semblable. Pourriture. Une forme se balançais, une silhouette dans le contre jour, une ombre sur un mur. Tu ne pensais rien ressentir, tu pensais être plus forte que la douleur, que la mort. Étrangement, tu ne pu te retenir de t’effondrez sous les pleurs, les sanglots. T’étais réellement seule maintenant.

Tu errais des jours durant. Les nuits devenaient des jours et des jours des semaines. Tu ne t’étais jamais retrouvé aussi loin des quatre murs, tu ne savais pas où allé, tu ne savais même pas rien de ce monde. Tu errais entre les arbres, perdant et retrouvant ton chemin, mais n’ayant nul but, tu ne faisais que marcher. Mettre le pied devant, ne pas s’effondrer, manger, ici et là, des racines, petits fruits. Ton ventre grondait comme les géants au ciel qui faisait tomber le tonnerre.  La faim n’était plus faim, la soif n’était plus soif. Un état second. Des hallucinations, ton paternel qui apparaissait entre deux arbres, te criant de revenir, qu’il t’aimais, d’autre fois il balançait sa ceinture, disant que si tu revenais pas, tu allais voir de quel bois il se chauffait. Tu sentit mon corps changer, dans un état second, tu ne compris même pas, tu ne savais même pas toi-même qui t’étais, qu’est que t’étais. Même si je te répétais en boucle dans ta petite tête qu’il ne fallait pas que tu t’’effondre, le sol est arrivé bien trop vite pour que tu empêche quoi que ce soit. T’as vu la terre dans ton visage, le sable dans ta bouche, déshydratant une langue déjà sèche, des pattes blanches devant tes yeux.

La lumière perça l’ombre de tes paupière en premier, lumière blanche, aveuglante, douloureuse. Ton corps encore éreinté, tes lèvres toujours sèches, ton ventre encore vide. Tes paupières se referme devant cette lumière si peu accueillante. Ton bras se lève, non, les poignets sanglés sur le lit empêche le mouvement. Aussitôt, tes yeux s’ouvre, s’agitent. Tu sens les sangle de cuir autour de ta tête, tes poignets, tes chevilles. La pièce blanche, aseptisé, nu de tout meuble et décoration. Tu y es seule, au centre, nue, sur cette table dont la froideur te gèle les os, la peau, l’âme. Tu sens la panique se lever au fond de ton être, mais tu ne cri pas, ne pleure pas.

Cette pièce trop lumineuse, semblait arrêtez dans le temps, rien ne bougeait, seul l’echo de ton coeur te parvenais. La porte ne sembla s’ouvrir que bien longtemps après ton réveil. Un homme la traversa, tout de blanc vêtu. Il ne te parla pas, ne dit rien. Fixer sur lui, tu ne vit pas les autres arriver, mais tu senti l’aiguille entrer dans ton bras, pointu, mais la douleur avait vite disparu. D’aucun ne t’adressa la parole, ils travaillaient dans le silence. Et puis, tu sentit le sommeil t’envahir, la tête lourde, les paupières se fermant tout seule.

‘’Au travail maintenant, son pouvoir n’aura bientôt plus de secret pour nous.’’

Tu ne compris pas, mais le noir avait déjà envahit ton esprit.

Au fond de ta cellule, tu chantonnait, un air sortant tout droit de souvenirs enfoui. Tu étais encore en vie, ton esprit en morceaux, mais pas complètement cassé, parce qu’ils avaient été là. Allen et Chase. Deux êtres, plus fort, plus grand, plus puissant. Et ils t’avaient pris sous leurs ailes, ils t’avaient protégé du mieux qu’ils le pouvaient, dans la mesure qu’ils le pouvaient. Deux métamorphes pris dans le même déluge de haine, de colère, de douleur, que toi. Les cris résonnaient dans les salles sous-jacentes, percuté contre les murs de pierres, se faufilait dans les craques, se perdait dans la pièce. Ton corps semblait douloureux, mais la douleur n’étais plus qu’un vague souvenir dans ton esprit fracturé. Il te semblais que tu n’étais plus, que ton être était disparu depuis trop longtemps. Ton corps brisé et réparé de trop nombreuse fois. Ils n’avaient pas compris, n’avaient jamais compris que ton pouvoir n’étaient pas de ceux que l’on pouvait comprendre, qu’il venait de ton âme, autant que de ta génétique. Ils en avaient appris. Mais jamais assez, jamais suffisant. Enragé dans leurs incompréhension, ils avaient plutôt décidé de t’utilisé à leurs fin, une esclave entrainé à tuer, un assassin enchainé. Quoi de mieux qu’une enfant qu’ils pourront modeler à leurs goût et désir. Septs années était passé depuis ce jour où la panique t’avais prise à la gorge, sept longue années où ton corps as été assiégé par des êtres plus grand que toi, beaucoup plus grand que toi. Mais la rébellion grondais, se terrait, prenait de l’ampleur. Bientôt, murmura t’elle, bientôt. Et tout au fond, le renard gronda, en accord.

Ce fût bien longtemps après qu’elle frappa enfin. La confiance régnait depuis que tu avais commencé tes missions, quatre années auparavant. Tu avais pris ton temps pour disparaître, ils t’ont cru morte, torturée. Ils ne t’ont jamais chercher. Tu n’étais même plus utile de toute manière maintenant que tu avais commise une erreur. Tu ne pris pas la peine de te cacher, ceux qui connaissais ton visage ne sortait jamais au grand jour. Tu découvrit l’OBCM, ils avaient besoin de personne talentueuse dans l’art de la mort.

Et puis, ils t’ont retrouvé. T’as essayé de te fondre dans la foule, dans le monde, dans cette ville, ce village où tous les autres se rassemble. On ne te trouveras pas alors que tant d’autre sont comme toi, différent, mais avec ce pouvoir dans les entrailles. Ici, ils ne te trouveront pas, ici tu es sauve. Ici, tu peux enfin vivre. Du moins, c’est ce que tu avais cru, n’est-ce pas petite renarde? T’as vécu, l’espace d’un courant d’air. T’as rencontré Ezeckiel, t’as aimer comme t’aurais jamais cru aimer. Pendant l’espace d’un instant, t’as réussi à trouver ton souffle, à voir la lumière dans les ténèbres qui envahissent ton âme, ton être. Jusqu’à ce que ton passé te revienne au galop, jusqu’à ce que Chase le kidnappe, le torture. Jusqu’à ce que ton passé soit trop pour lui et qu’il te laisse, au bord du précipice, un enfant dans ton ventre, le votre. Tu as cru avoir le droit de vivre, le droit d’être heureuse, mais la chute n’en fût que plus douloureuse. Ton enfant mort-né, alors que tes larmes coulaient sur tes joues, que tes sanglots résonnait. Tu n’avais plus rien. Seulement que ton poste dans l’OBCM. Tu pensa pendant un instant retourner au Centre, leurs donner ta vie, leurs donner tout ce que tu pouvais. Tu n’avais plus rien à perdre n’est-ce pas? Mais quelque chose t’en empêcha, tu savais pas quoi en fait. Alors tu resta, t’enfouissant dans tes missions avec l’OBCM, donnant des cours de boxe dans le fond de la salle d’entrainement de la ville. Jusqu’à ce que l’organisation t’envoie en Norvège.

Trois ans. Trois longues années depuis qu’Ezeckiel t’avais laissé. T’avais vécu un peu partout dans le monde, là où on te disait d’aller, t’étais pas revenu dans le coin depuis longtemps. T’avais eu aucune envie de revenir en fait. Mais les événements récent dans la ville avait poussé l’organisation à te faire remettre à Bray. T’avais qu’écouter au ordre. T’étais bonne la dedans, t’avais fait ça toute ta vie, obéir. Mais t’étais là maintenant, dans cette ville qui avait vu ta première chance, dans la ville qui avait assister à ton premier amour.


Salut salut ! Moi c'est starsovermountain/myriam et je débarque du haut de mes 23 ans. J'aime tout! les montagnes, la mer, mon chien, la plage, les étoiles, le vélo de montagne, la musique, mon amoureux, je déteste la noirceur, le fait que je suis pas mal certaine que mon amoureux est entrain de pourrir de l'intérieur, les noeuds que je suis pas capable de défaire et on me dit souvent que j'ai un accent québécois (du tout, du tout, pfff). On me verra dans les parages souvent, pas souvent, ça dépend des saisons haha. Je suis fier(e) de dire que j'ai découvert le forum grâce à oh mon dieu, ça fait beaucoup trop longtemps pour que je m'en souvienne et d'ailleurs je le trouve bah c'est moi qui ai fait le design et le codage làààà, affreux. tout simplement affreux.. Je suis un inventé et puis je tenais à terminer en vous disant que plein de looooove !


natalie dormer ► skye kinkaid

skye kinkaid ► renard polaire


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Je suis content de la revoir parmi nous la petite Skye skye + i tried to escape but keep sinking 508348443
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re-bienvenue madame si j'ai bien compris skye + i tried to escape but keep sinking 3692820387
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J'ai hâte d'en découvrir plus sur ce perso vu qu'on en entend que du bien skye + i tried to escape but keep sinking 755063539
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Careless.
Careless.
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RACE : Tempestaire de Vent
Miiih, je suis contente de la revoir aussi Cas skye + i tried to escape but keep sinking 118876108

Merci à vous deuuux! skye + i tried to escape but keep sinking 508348443
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re-bienvenue sweetie skye + i tried to escape but keep sinking 508348443
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Bienvenue :)
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Bienvenue chez nous !
« I want you in my team ! »


Le petit mot du staff

Notre Ezye skye + i tried to escape but keep sinking 508348443 Oublie pas de te rajouter dans les bottins et de poster dans le sujet des orgas sweetie skye + i tried to escape but keep sinking 2077382092 Le Zecke en moi ronronne, jotem et Skye jolem même si elle est tarée ! skye + i tried to escape but keep sinking 2210271934

Les liens utiles !

Maintenant que tu es validé, toutes les possibilités s'offrent à toi ! (Rien que ça). Je te propose d'aller faire ta fiche de liens pour te lier avec les autres membres du forum ! N'hésite pas à te connecter également à la CB où tu pourras discuter et faire plus facilement connaissance avec tout le monde. Comme un téléphone portable est toujours bien pratique, pense à poster le tien et tu peux également ouvrir un sujet formspring afin de satisfaire la curiosité de tes voisins. Si jamais l'envie te prend de poster des questions anonymes, envoie un MP à Anne O'Nyme afin d'obtenir son mot de passe pour te connecter en toute discrétion. Et puisque les logements, c'est important, va vite demander à en avoir un !

Si tu es un peu perdu, et que tu sens bien qu'un peu d'aide ne serait pas de trop, n'hésite pas à te tourner vers le parrainage, toute note communauté sera prête à t'aider

Certaines personnes dans ton entourage te manquent? Pas de problème, j'ai la solution à ton angoisse, cette catégorie te permettra de créer tes scénarios ou pré liens.

Et enfin, si le forum te plaît et que tu veux aider à son bon fonctionnement, n'oublie pas de voter sur le top site régulièrement ! Bon jeu skye + i tried to escape but keep sinking 2077382092
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Re-Bienvenue !
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Invité
Re-biienvenuuue Skye !!

OMG ! Natalie ! Mais quel choix énorme *.* ! Elle est soo gorgeous ! skye + i tried to escape but keep sinking 508348443
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